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OM : Rabiot sait ce qu'il veut voir contre Monaco !

OM : Rabiot sait ce qu'il veut voir contre Monaco !

Après la défaite chaotique à Reims, Adrien Rabiot n’y était pas allé par quatre chemins. Dès le coup de sifflet final, il s’était exprimé sans détour au micro du diffuseur, ciblant certains de ses coéquipiers. Une heure plus tard, il était prêt à affronter la presse pour réitérer son message, mais il lui a finalement été conseillé de laisser la place à Valentin Rongier. Face aux journalistes avant le match contre Monaco, après avoir été l’un des artisans de la victoire face à Toulouse, Rabiot ne parle plus à chaud. Mais le message, lui, reste inchangé :

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Le petit jeu pour deviner qui était visé par le milieu de terrain n'est pas bien compliqué. L’effectif ne compte actuellement que quatre joueurs de moins de 23 ans : Luis Henrique, Mason Greenwood, Amar Dedic et Quentin Merlin. Mais il ne faut pas croire que Rabiot cherche à régler des comptes. Au contraire, il souhaite les pousser à se dépasser, sans ménagement, comme on l’avait fait avec lui, en Italie notamment.

D’où ses prises de parole, qui, selon lui, doivent permettre à l’OM d’afficher un meilleur visage à Monaco. Cela n’assurera peut-être pas les trois points, mais l’objectif est de n’avoir aucun regret au coup de sifflet final. Grâce à ce qui s’est passé la semaine dernière, l’OM est désormais sur la bonne voie, mentalement parlant, selon l’international français.

Rendez-vous à 17 heures sur la pelouse de Louis-II pour voir si les paroles se transforment en actes.

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OM : "La meilleure décision que j’ai pu prendre, c’est vraiment d’être venu ici, à Marseille"

OM : "La meilleure décision que j’ai pu prendre, c’est vraiment d’être venu ici, à Marseille"

Depuis le début de saison, vous dites que vous êtes venu pour jouer au Vélodrome. Le stade était à fond derrière vous ce soir. Comment recevez-vous cet amour ?

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R.D.Z. : "J’en parlais avec Élodie et avec Franckie (Élodie Malatrait et Franckie Tourdre, responsables de la communication du club, ndlr), et je disais que j’ai commis beaucoup d’erreurs dans ma vie, mais que la meilleure décision que j’ai pu prendre, c’est vraiment d’être venu ici, à Marseille. Après, peut-être que ça durera un, deux, trois ans, peut-être qu’on ira ou pas en Ligue des champions. Mais je pense que, quand on est aussi passionné que moi pour le football, qu’on vit pour le football, que vraiment le football est à la première place dans tout ce qu’on fait, on ne peut pas ne pas venir à Marseille. C’est vraiment quelque chose d’exceptionnel. Après, vous, vous êtes un peu lourds parfois, vous aimez bien faire des polémiques, créer des problèmes là où il n’y en a pas forcément. Mais je l’accepte, parce que je suis dans un grand club, je sais comment ça fonctionne dans le football. Mais vraiment, quand on part de la Commanderie avec le bus et qu’on arrive aux alentours du Vélodrome… Ça me donne la chair de poule. Je vois déjà toute l’ambiance. C’est vraiment une grande émotion. On en parle beaucoup dans le vestiaire, avec les joueurs, qui sont heureux, ils sont fiers d’être ici. Après, évidemment, ce n’est pas facile parfois. Mais quand je vois les équipes qui luttent pour les mêmes objectifs que nous… Honnêtement, ils font un autre sport, parce que ce n’est pas la même chose que de jouer ici. C’est vraiment quelque chose de particulier pour nous."

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Mercato OM : cinq clubs intéressés par Luis Henrique ?

Mercato OM : cinq clubs intéressés par Luis Henrique ?

Mercato OM : cinq clubs intéressés par Luis Henrique ?

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Luis Henrique traverse une période délicate à l’OM. Après un début de saison prometteur, le Brésilien de 23 ans semble décrocher mentalement dans le sprint final. Face à Monaco, son attitude nonchalante a irrité le staff, notamment sur le second but de l’ASM, où il couvre maladroitement Embolo au lieu de jouer le hors-jeu. "Une faute professionnelle", souffle un membre du club à L'Équipe. Déjà pointé du doigt en mars contre Lens pour un manque d’implication défensive, Luis Henrique inquiète alors même que son profil polyvalent intéresse plusieurs clubs européens, dont l’Inter Milan, un autre club italien dont l'identité n'a pas filtré, Newcastle, Nottingham Forest et le Bayern Munich, où il figure dans une liste élargie. Reconverti piston droit par De Zerbi, il reste apprécié pour son état d’esprit, sa générosité à l’entraînement et ses qualités physiques, validées par les statistiques internes du club. Mais ses sautes de concentration agacent jusqu’à ses coéquipiers, qui tentent de le remobiliser, tout comme Mason Greenwood. Alors que l’OM, en quête de liquidités avant le 30 juin, envisage de le vendre, il lui reste cinq matches pour redresser la barre et confirmer son potentiel auprès des recruteurs. Sans cela, ses errements risquent de freiner une progression qui suscitait encore récemment de belles convoitises.

 

Ulisses Garcia, la solution durable ?

Ulisses Garcia a marqué des points samedi face à Monaco. Aligné en défense centrale gauche, un poste qui n'est pas le sien, le Suisse a tenu son rang dans un match pourtant compliqué pour l'OM. Ses interventions décisives et un centre dangereux mal exploité par Luis Henrique ont illustré sa prestation solide dans le marasme général de la défense olympienne. Roberto De Zerbi a salué sa vitesse, l'une des rares satisfactions d'une soirée difficile. Garcia, qui avait déjà été testé à ce poste par Jean-Louis Gasset la saison passée sans grand succès, a cette fois montré un visage convaincant, surpassant ses coéquipiers défensifs en difficulté. Longtemps mis de côté après l’arrivée de Dedic, Garcia avait vu son temps de jeu fondre depuis janvier. Pourtant, son abnégation, sa polyvalence et le manque de solutions fiables en défense centrale le replacent aujourd’hui dans la course à une titularisation pour les cinq derniers matchs de la saison. Avec Balerdi blessé, Luiz Felipe peu fiable physiquement, et Cornelius en difficulté, Garcia apparaît comme une option crédible pour De Zerbi, qui cherche à stabiliser son système à trois centraux. Reste à savoir s’il sera reconduit face à Montpellier, où il avait brillé à l'aller.

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OM : Les raisons de la venue de Franck McCourt à Marseille

OM : Les raisons de la venue de Franck McCourt à Marseille

Franck McCourt, propriétaire américain de l’Olympique de Marseille, sera présent ce dimanche à Marseille pour assister aux matchs de l’OM contre Toulouse et des féminines face à Nice. Bien que son agenda soit chargé, avec des affaires en cours, notamment dans le cadre de son implication dans la course au rachat de TikTok aux États-Unis, sa visite à Marseille est un moment crucial pour discuter de la situation actuelle du football français, selon La Provence.

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Cette visite, bien qu’évoquée depuis mi-mars, arrive à un moment où la situation interne du club est préoccupante. En dépit des tensions et des difficultés rencontrées par l’équipe dirigée par Roberto De Zerbi, McCourt se concentre principalement sur des discussions avec Pablo Longoria et les dirigeants de l'OM concernant la situation générale du football français, qui le préoccupe de plus en plus. L’Américain a exprimé son inquiétude concernant la gestion et la direction du football français, notamment en ce qui concerne les conflits avec les diffuseurs et les enjeux économiques du secteur.

Lors de sa dernière visite en novembre 2024, McCourt avait assisté à la défaite inattendue de l’OM face à Auxerre (1-3), un moment difficile pour le club. Cette fois, sa présence pourrait être un signe d’union pour les joueurs, dans un contexte tendu. La direction olympienne espère que cette visite, même si elle n’est pas directement liée aux problèmes sportifs actuels, sera un moment de soutien moral pour l’équipe.

En dehors de ces préoccupations internes, McCourt semble également vouloir mettre en lumière ses préoccupations sur la gouvernance du football français et a insisté sur la nécessité de réformes profondes pour redresser la situation, des discussions qui se poursuivent avec les instances du football, selon La Provence. Une intervention à la fois symbolique et stratégique qui montre que l’Américain n’est pas seulement un investisseur, mais également un acteur engagé pour le renouvellement du modèle économique du football en France.

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OM 4-1 Brest : les notes des Olympiens !

OM 4-1 Brest : les notes des Olympiens !

EXCEPTIONNEL

Gouiri Amine 9.5

Il est ni plus ni moins que l’homme de cette rencontre. Auteur d’un triplé, dont un retourné acrobatique exceptionnel. Mais au-delà de ses buts, c’est son importance dos au jeu, sa qualité technique et ses replis qui sont encore plus louables. Bravo Monsieur Gouiri pour cette masterclass !

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LES TOPS

Balerdi Leonardo 7.5

Si certains pouvaient avoir quelques doutes sur son état de forme, il les a très vite levés. Il est venu rappeler tout simplement pourquoi il est l’un des meilleurs défenseurs du championnat. Retour réussi !

Greenwood Mason 7.5

Du bon Greenwood ce soir, concerné et en jambes. L’ancien Mancunien a marqué l’un des buts les plus importants du match (même si sa frappe déviée sera peut-être comptée comme un CSC de Chardonnet). Avec un peu plus de réussite, notamment de la part de Quentin Merlin, Greenwood aurait pu finir le match avec une passe décisive en plus. Il en avait déjà signé une avec son centre déposé sur la poitrine de Gouiri avant qu'il n'enchaine avec son retourné. Du bon boulot.

Rulli Gerónimo 7.5

Comme à son habitude, Geronimo Rulli a été rassurant. Décisif en début de match en détournant un tir de Sima, dévié juste avant par le tacle de Balerdi. Sur le but encaissé, il ne peut pas faire grand-chose. Il sort ensuite une autre parade magnifique sur un tir presque à bout portant de Pereira Lage. Encore un gros match de l'Argentin.

Rabiot Adrien 7.0

Encore omniprésent au milieu dans un rôle de milieu relayeur, qui semble encore mieux lui convenir. Auteur de deux passes décisives sur le but de Greenwood et le troisième but d’Amine Gouiri, qu'il lance parfaitement dans la profondeur.

SATISFAISANT

Højbjerg Pierre-Emile 6.5

Véritable métronome au milieu de terrain, il est d’ailleurs l’un des Olympiens qui a touché le plus de ballons, comme souvent quand il est sur le terrain. Il aurait même pu être crédité d’une passe décisive à la 75ᵉ minute si Jonathan Rowe, bien lancé par le Danois, avait été plus juste dans le dernier geste. Un match de patron.

Kondogbia Geoffrey 6.5

Ses dernières sorties n’avaient pas rassuré, mais ce soir, il faut reconnaître que l’international centrafricain a livré une prestation solide. Et dans une défense à quatre ! Sûrement rassuré par la présence de Balerdi, il a livré un de ses meilleurs matchs de la saison.

Henrique Luis 6.0

Fini le rôle de piston ! Le Brésilien retrouvait son poste de prédilection, là où il avait brillé en début de saison : ailier gauche. Auteur de la première passe décisive sur l’ouverture du score d’Amine Gouiri, il a permis à l’OM de lancer le match. Une très bonne première mi-temps, puis plus grand chose ensuite. On l'a tout de même un peu retrouvé, par séquences.

Bennacer Ismaël Non noté

Une très bonne entrée de l'international algérien à la 67e minute. Bennacer s'est tout de suite mis au niveau et a brillé par sa qualité technique. Que du positif ce soir pour lui.

Cornelius Derek Non noté

Il a relayé Balerdi, sorti en fin de match. Une entrée sobre et propre.

Merlin Quentin Non noté

Entré à gauche, il s'est notamment procuré une très bonne occasion, mais son tir du gauche a fui le cadre de Coudert. Un bon quart d'heure de jeu.

Rowe Jonathan Non noté

Il avait de l'énergie à revendre et son entrée à la 67e minute est globalement positive. Il aurait pu obtenir un pénalty, mais il était hors-jeu de quelques centimètres. Il regrettera sa frappe trop croisée du gauche alors qu'il avait réalisé un très bel appel dans le dos de la défense des Pirates.

MOYEN

Garcia Ulisses 5.5

De nouveau titulaire, cette fois-ci dans un rôle de latéral gauche, Ulisses Garcia n’a pas déçu, mais il n'a pas crevé l'écran non plus. Quelques imprécisions techniques tout de même, mais un ensemble convenable.

Murillo Amir 5.5

Actif dans son couloir droit et impérial derrière, notamment en première mi-temps, le Panaméen livre encore une belle copie dans un rôle de pur latéral droit, comme il aime. Attention toutefois au relâchement qui aurait pu coûter un but sur une très mauvaise relance dans la surface.

Rongier Valentin 5.0

Peut-être le Marseillais le moins en vue et le plus en dessous ce soir. Précieux tactiquement et dans le pressing, beaucoup moins dans l’utilisation du ballon, où pas mal d’imprécisions techniques sont venues noircir le tableau. Il reste à la moyenne malgré tout.

Harit Amine Non noté

Dix minutes avec beaucoup d'envie de bien faire. Trop. Il en a gâché la plupart de ses ballons offensifs en essayant de faire la différence et d'exister dans ce sprint final. Dur de lui en vouloir, mais il en a trop fait.


Pour plus de lisibilité, la rédaction du Phocéen vous fait découvrir sa nouvelle grille de notation :

De 0 à 3 – AFFLIGEANT
Le joueur a été nullissime. Tout est dit !
De 3.5 à 4 – LES FLOPS
Le joueur est passé à côté de son match, il est clairement dans les flops
De 4.5 – DECEVANT
Le match est considéré comme médiocre, c'est-à-dire qu'il est en dessous de la moyenne. Le joueur n'a pas donné satisfaction.
De 5 à 5.5 – MOYEN
Mais à ce niveau, les professionnels doivent apporter plus à leur équipe. La prestation n'est pas forcément satisfaisante…
De 6 à 6.5 – SATISFAISANT
Enfin ! Le match est considéré comme bon. Le joueur a effectué une bonne partie, même s’il peut mieux faire. Il a fait le boulot comme on dit dans le jargon.
De 7 à 8.5 – LES TOPS
Très bon match. Le joueur a apporté tout ce qu'il pouvait à son équipe et on ne peut pas lui demander beaucoup plus.
De 9 à 10 – EXCEPTIONNEL
Ne nous y trompons pas, ces notes ne seront pas souvent de sortie. Elles salueront une partie extraordinaire d'un de nos Olympiens.
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OM : son rôle de leader, de défenseur central, sa relation avec De Zerbi… les explications de Kondogbia

OM : son rôle de leader, de défenseur central, sa relation avec De Zerbi… les explications de Kondogbia

Dans le labyrinthe tactique de Roberto De Zerbi, Geoffrey Kondogbia occupe une place essentielle. Le défenseur central de l’OM s’est longuement confié à L’Équipe pour expliquer les spécificités de son poste dans le système exigeant du technicien italien. À 32 ans, celui qui compte déjà 19 titularisations en Ligue 1 cette saison est devenu l’un des garants de l’équilibre marseillais, dans une animation où les défenseurs sont exposés mais aussi responsabilisés. Sous De Zerbi, Kondogbia n'est pas un simple destructeur. Il est un constructeur, le premier relanceur d'une équipe qui cherche à dominer son adversaire en contrôlant le ballon. "Premier critère demandé par le coach : produire du jeu", rappelle-t-il. À l’OM, ce sont les défenseurs qui doivent amener le ballon vers les attaquants, et non l’inverse. Une nuance cruciale qui demande une grande qualité technique et une lecture constante du jeu.

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Le Centrafricain mesure pleinement les risques inhérents à ce style offensif. "Quand tu joues la majeure partie de ton match dans le camp adverse, tu es plus découvert", analyse-t-il avec lucidité. Défendre haut sur le terrain, accepter les duels en un contre un face à des attaquants rapides, c’est le quotidien du numéro 19 olympien. Mais loin de s’en plaindre, Kondogbia s’épanouit dans ce défi permanent qui exige courage et concentration de chaque instant. Ce n’est pas seulement une question d’efforts individuels, c’est aussi un travail de fond collectif, une quête d’identité que l’ancien de l’Atlético de Madrid juge primordiale. "Le luxe, c’est d’avoir une identité, de choisir comment tu gagnes et comment tu perds", insiste-t-il. Avec De Zerbi, cette philosophie est claire depuis les premiers matches amicaux, où l’empreinte du coach était déjà perceptible.

Dans le cercle restreint des cadres du vestiaire, Kondogbia joue également un rôle de relais entre le staff et le groupe. Sa relation avec De Zerbi est basée sur la franchise et la confiance mutuelle. "Si tu es sûr de cette décision, que cela peut nous permettre de nous améliorer, moi je fonce", lui a-t-il confié au moment d’évoquer la mise au vert décrétée après la défaite à Reims. Une preuve supplémentaire de son implication totale dans le projet de jeu marseillais. Dans cette équipe encore perfectible mais résolument ambitieuse, Kondogbia est bien plus qu’un cadre d’expérience. Il est l’un des dépositaires de la philosophie de De Zerbi, un guide discret qui veille à la bonne application des principes du coach italien sur le terrain. À l’approche du choc face à Monaco, son ancien club, il saura une nouvelle fois faire valoir sa lecture du jeu et sa solidité pour maintenir l’OM sur sa trajectoire européenne.

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L'OM sur la corde raide : colère en interne, tensions sur le terrain, et besoin de sérénité

L'OM sur la corde raide : colère en interne, tensions sur le terrain, et besoin de sérénité

La soirée de samedi à Reims n’a pas seulement laissé des traces sur le plan comptable. Elle a également mis en lumière un malaise plus profond à tous les étages de l’Olympique de Marseille. La défaite 3-1 au Stade Auguste-Delaune a ravivé les tensions, exposé des fractures internes et déclenché une vague d'agacement qui couvait depuis plusieurs semaines. Dans les couloirs, les visages étaient fermés, les discussions tendues. Plus qu’une simple mauvaise passe, l’OM semble pris dans un engrenage où les frustrations sportives rencontrent les crispations institutionnelles.

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Des déclarations qui ne passent pas

Au centre de l’attention, Adrien Rabiot, dont les déclarations après la rencontre ont jeté un froid. Très critique envers ses coéquipiers, le milieu de terrain n’a pas mâché ses mots :

« J'ai l'impression de voir des mecs qui n'ont pas envie d'aller en Ligue des champions la saison prochaine… Si certains n'ont pas cette ambition-là, qu'ils le disent tout de suite et qu'ils laissent d'autres jouer. »
Un message fort, brut, qui a peut-être mis le doigt sur une réalité, mais dont la forme n’a pas été appréciée en interne. L’OM aurait préféré que le linge sale soit lavé en privé. La direction, tout comme une partie du vestiaire, s’est montrée agacée par ce déballage public qui risque de fragiliser encore un peu plus une unité déjà mise à mal.
Car cette nervosité, elle n’est pas née hier. Depuis plusieurs semaines, l’atmosphère est tendue : crispation autour de certaines décisions arbitrales, comportements jugés limites dans le vestiaire, divergences au sein de l’administration… Tous ces éléments, qui auraient pu rester cantonnés en coulisse, se sont petit à petit diffusés jusqu’au rectangle vert. Et à Reims, cela s’est vu. Les Marseillais sont apparus brouillons, sans envie, incapables de réagir. L’état d’esprit, une fois encore, fait défaut. Valentin Rongier, lucide, ne s’en cache pas :

« On peut perdre des matchs, mais pas de cette manière. Là, il faut qu’on fasse profil bas, qu’on se remette à travailler et qu’on montre un visage différent. »
Pourtant, les responsabilités ne doivent pas peser uniquement sur les épaules des joueurs. Si certains, censés être des dynamiteurs comme Greenwood, Luis Henrique, Gouiri, Maupay ou encore Merlin, sont passés à côté, le plan de jeu proposé interroge. Trop lisible, trop rigide, il semble manquer de créativité et de prise de risque. Et cela ne peut être dissocié des choix de Roberto De Zerbi. L’Italien, malgré une vision ambitieuse, n’a toujours pas réussi à transmettre pleinement ses valeurs à son groupe.
Après la rencontre, il est resté enfermé plus de 40 minutes avec ses joueurs. Selon nos informations, la discussion s’est focalisée davantage sur l’état d’esprit que sur les aspects tactiques. Un choix qui confirme que, pour lui aussi, le mal est mental avant d’être technique :

« La mentalité ne s’achète pas au supermarché. Ce que je veux pour mon équipe, ce n’est pas ce que je vois aujourd’hui. »

Il faut que l'institution se montre plus forte que jamais

Mais alors, que faire pour éviter que la maison ne prenne feu à deux mois de la fin de la saison ? L’OM est encore sur le podium. Rien n’est perdu, mais chaque point gaspillé peut avoir des conséquences dramatiques dans une course à la Ligue des champions où la moindre baisse de régime se paie cash. Il ne s’agit pas de tout balayer. Ce groupe a montré de belles choses par le passé. Mais pour avancer, une remise en question globale s’impose.

Dans cette période, l’institution doit montrer qu’elle est plus forte que les tempêtes. Ferme, mais lucide. Médiateur et pacificateur, Medhi Benatia a un rôle central à jouer. Il connaît le club, ses excès, ses emballements. C’est à lui d’apaiser, d’encadrer, de guider. De son côté, De Zerbi doit désormais faire passer son message de manière plus directe et visible. Et les cadres, eux, doivent prendre le relais : remettre le groupe sur les rails, rappeler les exigences du haut niveau, exiger des attitudes dignes du maillot qu’ils portent.

Car si l’OM échoue, ce sont encore les supporters qui paieront l’addition. Eux n’ont pas failli. Eux n’ont pas triché. Et eux, plus que tous les autres, méritent que ce bateau, même s’il tangue, atteigne la rive en vie.

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OM 4-1 Brest : le changement (dans les têtes) que l'on voulait voir !

OM 4-1 Brest : le changement (dans les têtes) que l'on voulait voir !

En s’imposant avec autorité face à Brest (4-1) en clôture de la 31ᵉ journée de Ligue 1, l’Olympique de Marseille n’a pas seulement repris la deuxième place du classement : il rassure, confirmant que le travail du « ritiro » romain, mis en place par Roberto De Zerbi, commence à porter ses fruits.

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À l’énoncé du onze de départ, certains auraient pu croire que De Zerbi s'entêtait avec son 5-2-3. Pourtant, c’est bien en 4-3-3 que l’OM s’est aligné, avec Luis Henrique sur l’aile gauche, Adrien Rabiot dans un rôle plus axial, et Mason Greenwood positionné pour dynamiter le flanc droit. Un choix validé dès les premières minutes tant les Marseillais ont affiché du mordant.

Et c’est bien là l’enseignement majeur de cette rencontre : l'OM aurait sans doute gagné dans n'importe quelle configuration. Ce 4-3-3 n’est pas une révolution mais plutôt l'expression d'un groupe qui a retrouvé confiance et plaisir. Les courses de Greenwood, l'abattage de Rabiot, l'abnégation de Rongier, la générosité de Luis Henrique, la vigilance de Kondogbia : tout témoignait d’une équipe enfin libérée de ses doutes.

Roberto De Zerbi, souvent critiqué pour son intransigeance et ses principes de jeu jugés parfois inadaptés au contexte marseillais, a ainsi démontré qu’il avait toujours eu raison sur un point fondamental : le problème de l'OM n'était pas structurel, il était psychologique. Ce soir, c’est une équipe apaisée et sûre de sa force qui s’est imposée. Qui n'a pas douté après l'égalisation. Évidemment, tout n’a pas été parfait. Certaines phases de gestion ont montré que la sérénité défensive reste perfectible. Mais même sur le tableau du goal-average, l'OM repasse dans des temps de passage intéressants (+23 contre +22 à Monaco).

Même les joueurs qui étaient dans le dur, comme Luis Henrique ou Greenwood, semblent régénérés. De Zerbi, souvent acculé ces dernières semaines, peut lui aussi savourer. En restant fidèle à ses principes, en refusant de céder à la panique ambiante, il a restauré une dynamique victorieuse. L’image du match restera ce retourné de Gouiri, mais en réalité, c’est tout un collectif qui a signé sa renaissance. Du gardien Geronimo Rulli, décisif en début de match, jusqu'aux entrants en fin de rencontre, chacun a apporté sa pierre à l'édifice. Cette performance permet d’aborder le déplacement à Lille avec une ambition décuplée mais légitime : finir le travail, enfin.

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OM-Lyon : « J’ai compris ce que signifiait risquer de mourir », raconte Fabio Grosso

OM-Lyon : « J’ai compris ce que signifiait risquer de mourir », raconte Fabio Grosso

L’histoire entre Fabio Grosso et Lyon aura tourné court. Arrivé en septembre 2023 pour tenter de relancer un OL en perdition après le départ de Laurent Blanc, l’ancien latéral gauche n’aura tenu que sept rencontres sur le banc rhodanien, avec un maigre bilan d’une seule victoire. Un passage éclair, sans résultats, mais marqué par un épisode tragique : le jet de bouteille dont il a été victime à Marseille. Le 29 octobre 2023, alors que le bus de l’équipe lyonnaise arrive près du Vélodrome pour affronter l’OM, des projectiles sont lancés par des supporters marseillais. L’un d’eux, une bouteille, traverse une vitre et frappe violemment Fabio Grosso au visage. L’Italien s’en sort avec 15 points de suture au-dessus de l’œil gauche et à la paupière, et le match est logiquement reporté.

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Dans un entretien accordé à La Repubblica, le technicien italien, désormais entraîneur de Sassuolo en Serie B, est revenu en détail sur ce moment qui l’a profondément marqué. "Les ultras de Marseille ont lancé une bouteille juste au moment où je me retournais pour baisser le rideau. Ce geste m’a peut-être sauvé la vie, car sinon la bouteille m’aurait atteint la tempe", raconte-t-il. "Au lieu de cela, elle m’a touché sous l’œil gauche. J’ai compris ce que cela signifiait, risquer de mourir sur le coup. Tout peut basculer en une seconde."

Presque un an et demi après les faits, Grosso n’en a pas encore fini avec les séquelles de cette agression. Cette semaine encore, il a dû repasser par la salle d’opération : "On m’a retiré trois morceaux de verre que les médecins français avaient oubliés. La cicatrice est visible si je baisse la paupière. Ce n’est pas grand-chose, mais au moins, je suis encore là pour en parler." Une blessure physique, mais surtout psychologique, que le champion du monde 2006 n’est pas près d’oublier.

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Gerets : "De Zerbi, c'est un crack !"

Gerets : "De Zerbi, c'est un crack !"

À l’occasion du "Match des Légendes" organisé pour les 125 ans de l’Olympique de Marseille, Éric Gerets s’apprête à reprendre place sur un banc de touche, dix ans après avoir mis fin à sa carrière d’entraîneur. À bientôt 71 ans, le technicien belge, affaibli physiquement depuis une hémorragie cérébrale en 2012, retrouve le Vélodrome avec une émotion intacte. Invité par le club, celui qui a marqué l’OM de son empreinte entre 2007 et 2009 revient là où il a laissé bien plus que de bons souvenirs.

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Pour Gerets, qui s'est confié à La Provence, revenir à Marseille ne se résume pas à un simple passage, mais à un véritable retour à la maison. Il garde en lui une affection viscérale pour le club, la ville et ses supporters. Lorsqu’il évoque les retrouvailles avec ses anciens joueurs, Cissé, Niang, Taiwo et bien d’autres, l’émotion est là. Même diminué, il se dit heureux d’être là, prêt à diriger son équipe d’anciens olympiens avec enthousiasme et humour, malgré ses difficultés physiques.

Durant son passage express sur la Canebière, Gerets a su incarner l’esprit du club. Sans trophée mais avec un charisme rare, il a su rallier le vestiaire et les tribunes. Son style, mélange de rigueur, de passion et de simplicité, a forgé un lien fort avec les fidèles du Vél'. Aujourd’hui encore, il parle de cet attachement comme d’un amour réciproque. Pour lui, retrouver Marseille et revoir ses anciens joueurs, c’est comme rattraper le temps perdu.

"De Zerbi ? C’est un crack"

Gerets suit toujours l’OM, même s’il ne regarde plus les matchs en direct. Il garde un œil bienveillant sur le parcours du club et ne tarit pas d’éloges sur Roberto De Zerbi, qu’il considère comme un entraîneur moderne, passionné, et en phase avec l’ADN marseillais. "De Zerbi ? C’est un crack, il n’y a que des bonnes choses à dire sur lui, c’est un champion et un homme qui vit le foot comme les supporters."

Malgré les coups durs, le "Lion de Rekem" reste debout. Et on a hâte de retrouver cet homme fidèle à lui-même, fier, humain et profondément attaché à l’OM, qui refera vibrer le Vélodrome le 2 mai prochain.