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De Zerbi : "L’OM me ressemble"

De Zerbi : "L’OM me ressemble"

Après six mois à Marseille, quelle est votre relation avec la ville et le peuple marseillais ?

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Roberto De Zerbi :"Moi, j’ai besoin de ressentir une connexion avec l’endroit où je travaille, sinon j’ai du mal à m’exprimer. Travailler sans engagement affectif, sans y mettre du cœur, sans impliquer cette part de moi, personnelle et émotive, ce n’est pas quelque chose que je veux faire. Ce n’est pas ma manière de fonctionner, je n’en ai ni l’envie ni la capacité. J’ai besoin d’établir des relations avec les gens autour de moi, que ce soit avec ceux qui travaillent au centre d’entraînement ou avec les joueurs. C’est ce que j’avais à Brighton : un lien très fort avec les joueurs et aussi avec les supporters. Évidemment, partir n’a jamais été facile. Mais je suis venu ici parce que c’est ce que je recherchais. Je suis venu à Marseille pour trouver un environnement qui me fasse vibrer, qui me donne des frissons, qui me transcende. Et ici, je me sens vraiment bien.

Je vois ce club et je trouve qu’il me ressemble. Je vois aussi de plus en plus de joueurs qui partagent cette même intensité, cette même façon de vivre les matchs. C’est d’ailleurs pour cela que je les fais parler dans le vestiaire, comme si ce qu’ils exprimaient, c’était aussi ce que j’aurais pu dire moi-même. Quand on crée une connexion de ce genre, ce n’est plus un simple travail. Quand je suis chez moi, j’ai hâte de retourner au centre d’entraînement, et les jours de match, j’ai hâte d’être sur le terrain. Avec Medhi Benatia, nous sommes déjà en train de planifier les prochaines saisons. Nous sommes toujours tournés vers l’avenir. Ce qui m’importe, ce n’est pas de compter les heures de travail, mais de voir ce que je peux apporter, ce que je peux offrir aux personnes qui viennent au stade et qui soutiennent cette équipe. C’est ça, la magie du football. Peut-être est-ce l’un des rares métiers où l’on peut transmettre autant d’émotions à des personnes qu’on ne connaît pas, simplement parce qu’elles sont en tribune."