Categories
Cassino

OM : "Aucune chance que le Pana donne 11,5 millions d'euros pour Ounahi"

OM : "Aucune chance que le Pana donne 11,5 millions d'euros pour Ounahi"

Chotard également dans le viseur rennais !

Le Stade Rennais, en quête de renouveau pour redresser sa 12e place en Ligue 1, prépare un mercato hivernal ambitieux sous la houlette de Jorge Sampaoli. Le club mise sur des joueurs expérimentés en Ligue 1 pour renforcer un effectif en difficulté. Seko Fofana, milieu ivoirien de 29 ans, devrait rejoindre Rennes pour 20 millions d’euros, signant un contrat de trois ans et demi. Son arrivée répond à la nécessité de solidifier l’entrejeu, où des départs sont prévus. Naouirou Ahamada, prêté par Crystal Palace, n’a pas joué en Ligue 1, et Glen Kamara, peu convaincant, pourrait partir. Baptiste Santamaria, testé en défense centrale, suscite l’intérêt de Saint-Étienne, mais il privilégierait un départ à l’étranger. Joris Chotard (23 ans, Montpellier) est ciblé comme renfort potentiel pour environ 6-7 millions d’euros. Au poste de gardien, Rennes vise Brice Samba (30 ans, Lens), un transfert qui pourrait reléguer Steve Mandanda, sous contrat jusqu’en juin, à un rôle secondaire. Gauthier Gallon, numéro 2 actuel, voit son avenir lié à ces mouvements.

casino drive – casino drive : Un Casino Moderne, Sécurisé et Compatible avec les Cryptomonnaies Pourquoi casino drive attire-t-il de plus en plus de joueurs en ligne ?

"Aucune chance que le Pana donne 11,5 millions d'euros pour Ounahi"

Azzedine Ounahi, prêté par l'OM au Panathinaïkos à la fin du mercato estival, peine à totalement convaincre en Grèce. Après 19 apparitions (1 but, 1 passe décisive), le milieu marocain laisse toutefois une "impression positive", selon Bill Kozikopoulos, suiveur du championnat grec, mais il reste en concurrence avec des joueurs de premier plan comme Nemanja Maksimovic et Anastásios Bakasetas. L’avenir d’Ounahi au Panathinaïkos reste flou. Bien que le club athénien souhaite le conserver, l’option d’achat semble inaccessible. "Il n’y a aucune chance que le 'Pana' donne un jour les 11,5 millions d’euros", explique Kozikopoulos, qui évoque plutôt un nouveau prêt avec une option réduite de moitié et un pourcentage à la revente. Pour Ounahi, ce prêt était l’occasion de "ne plus commettre les mêmes erreurs", mais son avenir pourrait se dessiner ailleurs. Le joueur, qui n’est pas certain de vouloir rester en Grèce, pourrait explorer d'autres options, notamment au Qatar, une destination qu’il avait envisagée cet été. À l’OM, où il avait été recruté pour 8 millions d’euros en janvier 2023, on attend désormais une issue favorable pour récupérer une partie de l’investissement consenti.

Categories
Cassino

OM : Faut-il relancer les oubliés face à Saint-Étienne ?

OM : Faut-il relancer les oubliés face à Saint-Étienne ?

Alors que l’Olympique de Marseille s’apprête à affronter l’AS Saint-Étienne en 32ᵉ de finale de la Coupe de France, une question s’impose : Roberto De Zerbi doit-il profiter de cette opportunité pour donner du temps de jeu aux joueurs moins utilisées cette saison ?

casino enghien app – Vous souhaitez jouer au casino depuis votre mobile et profiter d’une offre exceptionnelle ? Comment télécharger l’application Casino Enghien ? Est-ce facile à

Depuis son arrivée, l’entraîneur italien tâtonnait pour trouver la bonne formule. Mais avec le passage au 3-4-3, l’OM semble enfin avoir trouvé un équilibre. Les pistons Quentin Merlin et Luis Henrique occupent des positions très hautes, offrant de la largeur et une menace offensive, tandis que la défense à trois Murillo-Balerdi-Kondogbia commence à trouver ses repères. Au milieu, Valentin Rongier s’est imposé comme le métronome, en "remettant de l'ordre" dans l'entrejeu pour paraphraser De Zerbi lui-même.

Cette configuration a permis aux Marseillais de rester invaincus sur leurs quatre derniers matchs (trois victoires, un nul) face à des adversaires solides, avec une dynamique de jeu en progrès. Pourtant, tout n’est pas parfait. Les automatismes ne sont pas encore totalement rodés, et des erreurs défensives persistent. Mais il est indéniable que l’OM commence à dégager des certitudes, un luxe en cette première partie de saison.

C’est dans ce contexte qu’arrive le match contre Saint-Étienne, une équipe en crise, récemment privée d’entraîneur, et qui reste sur trois défaites consécutives, dont une face à Marseille. Une rencontre a priori idéale pour relancer certains joueurs en mal de confiance.

Les joueurs en quête de rédemption

La récente montée en régime a ses laissés-pour-compte. Derek Cornélius, qui avait pourtant montré des choses intéressantes lors de ses dernières titularisations, a vu sa progression freinée par une blessure et va devoir faire face désormais à la bonne forme de Geoffrey Kondogbia. Si sa relance et sa solidité dans les duels avaient convaincu lors de ses précédentes apparitions, son entrée en jeu contre Lille a souligné un manque de rythme. Dans ce contexte, le match face à Saint-Étienne pourrait être l’occasion idéale pour le remettre en selle.

Au-delà de Cornélius, d’autres noms méritent une attention particulière. Lilian Brassier, arrivé avec de grandes attentes en provenance de Brest, peine à s’adapter à l’exigence olympienne. Des sources internes évoquent un blocage mental plus qu’un réel manque de talent. Ce match pourrait lui permettre de repartir sur de meilleures bases.

Autre cas délicat : Elye Wahi. L’attaquant, présenté comme l'avenir de l’attaque olympienne, peine à s’imposer face à la concurrence de Neal Maupay, irréprochable en ce début de saison. Mais Elye Wahi a un allié de poids en la personne de Pablo Longoria, qui n'a pas hésité, pas plus tard que ce mercredi en conférence de presse, à afficher publiquement son soutien à l'ancien buteur de Montpellier :
"Pour nous, c’est hors de question de le faire partir cet hiver. Je prends l’initiative de le dire même sans en discuter avec la partie sportive, car au club, nous croyons énormément au potentiel d’Elye. Comme je l’ai dit lors de précédentes conférences de presse, Marseille n’est pas un club facile. Mais il est aussi vrai que chaque joueur a son propre rythme, son adaptation, son timing. Avec Elye Wahi, je suis convaincu que nous avons l’un des meilleurs jeunes attaquants en Europe. Même aujourd’hui, malgré des hauts et des bas, je crois que son heure viendra. Nous sommes sereins à ce sujet, et il doit l’être également. Nous avons une grande confiance en son avenir et nous sommes persuadés qu’il finira par s’imposer ici, car il a toutes les qualités pour réussir."

Ismael Koné, l’international canadien, fait également figure de candidat à la relance. Après des débuts prometteurs en amical, il s’est effacé, au point de susciter un petit agacement en interne en raison de son manque d’intensité à l’entraînement. Le coach a récemment réclamé "un déclic", et cette rencontre de dimanche pourrait offrir une opportunité précieuse.

Jonathan Rowe, lui, n’a pas déçu lorsqu’il a été titularisé, enchaînant des performances décisives comme face à Lyon ou Angers. Mais son irrégularité à l’entraînement le maintient dans un rôle secondaire. Avec un état d’esprit irréprochable sur le terrain, il mérite sans doute une nouvelle chance.

Enfin, le cas le plus touchant est celui de Jeffrey De Lange. Le gardien néerlandais, barré par un Geronimo Rulli impérial, pourrait bénéficier de ce match pour prouver sa valeur. Ses performances à l’entraînement et son professionnalisme, loués par toute l'équipe dirigeante, en font un candidat idéal pour une titularisation avant les fêtes. Un beau cadeau avant l'heure, pour un des joueurs qui le méritent certainement le plus au vu de sa mentalité.

Harit et Meïté dans tout ça ?

À ces recrues en mal de temps de jeu, on pourrait également ajouter Bamo Meïté, qui n’a disputé que 24 minutes cette saison. Comme Elye Wahi, il a été publiquement soutenu par Pablo Longoria en conférence de presse, après avoir traversé un été compliqué. De son côté, Amine Harit, pourtant décisif en début de saison, est peu à peu rentré dans le rang. Depuis son carton rouge injustement reçu contre Paris, il n’a plus refoulé la pelouse, en raison d’une récente blessure. Présent dans le groupe contre Monaco, il n’est toutefois pas entré en jeu. Son retour sur le terrain semble se préciser, et cela peut-être dès dimanche.

Entre pragmatisme et ambition

Cependant, Roberto De Zerbi pourrait décider de ne pas chambouler son équipe, tant il fait de la Coupe de France un objectif prioritaire. L’AS Saint-Étienne, malgré ses difficultés, reste un adversaire à ne pas sous-estimer. Si l’idée de relancer certains joueurs paraît séduisante, "Robby" pourrait opter pour la continuité afin de maintenir la dynamique positive enclenchée ces dernières semaines.

Une chose est certaine : ce match offrira des enseignements précieux sur les intentions de l’entraîneur italien. Fera-t-il le choix de la gestion ou celui de l’ambition immédiate ? 

 

Categories
Cassino

Longoria : "Il est indispensable d’être en Ligue des Champions pour garantir la stabilité financière du club"

Longoria : "Il est indispensable d’être en Ligue des Champions pour garantir la stabilité financière du club"

L'OM a fait de gros efforts financiers pour débuter ce nouveau cycle. Est-il impératif, voire primordial, de se qualifier pour la Ligue des Champions la saison prochaine ?

casino drive Retraits – Vous avez gagné gros sur casino-drive.com et vous vous demandez comment retirer vos gains rapidement ? Vous voulez savoir quelles sont les options de dépôt

Pablo Longoria : "L'OM a fait de gros efforts financiers pour débuter ce nouveau cycle. Il faut contextualiser : c’est la première saison d’un cycle de trois ans. Une saison sans Coupe d’Europe, et en particulier sans Ligue des Champions, signifie forcément un déficit. Tout le monde en est conscient, mais l’objectif est de le limiter tout en construisant un projet solide et en garantissant des résultats sportifs. La Ligue des Champions est-elle importante ? La réponse est simple : l’Olympique de Marseille est structuré économiquement pour y participer chaque saison. Une présence régulière dans cette compétition place un club dans une dimension complètement différente. Les revenus commerciaux peuvent se multiplier par deux ou trois pour les clubs qui y participent de manière stable. Avec notre modèle économique et notre structure actuelle, conçue pour un club de Ligue des Champions, il est indispensable d’y être pour assurer la stabilité financière.

Cela dit, cette saison, nous devons accepter le déficit. Je tiens à remercier Frank McCourt, qui a compris qu’il était nécessaire de prendre un risque financier cet été. La question était claire : devions-nous prendre un risque sportif ou un risque financier ? Nous avons choisi le risque financier, et c’est une décision que peu de propriétaires auraient prise. Frank l’a assumée fermement, et tout le monde doit le remercier pour cela. Nous avons également pris d’autres risques, comme la mise en place du loft cet été ou l’investissement conséquent pour recruter un des meilleurs entraîneurs européens, Roberto De Zerbi. Ce sont des choix importants à souligner. C’est grâce à Frank que nous avons eu la possibilité de prendre ces risques financiers sans compromettre nos ambitions sportives, et il est important de le dire publiquement."

L'année dernière, à la même période, vous aviez répondu à des questions sur le mercato en affirmant que l’OM avait les moyens financiers pour recruter, même dans une situation sportive délicate. Et effectivement, des joueurs ont été recrutés. Qu’en est-il cette année ? Vous avez mentionné un rendez-vous interne, probablement avec le coach, pour discuter des besoins de l’effectif. Quelles sont les possibilités financières cette saison ? Faut-il vendre avant d’acheter ? Peut-on se permettre des efforts en fonction des opportunités ? Ces efforts sont-ils déjà budgétés ? Quelle est la position de l’OM sur ce mercato ?

Pablo Longoria : "En tant que dirigeant, il serait irresponsable de prendre un double risque économique. Nous avons déjà pris des risques financiers cet été, et ce serait un manque de respect envers notre propriétaire de les augmenter. Le mercato doit toujours répondre à une double vision : améliorer l’effectif sur le plan sportif et optimiser les résultats économiques du club. Je ne vais pas cacher que ne pas participer à une compétition européenne, notamment la Ligue des Champions, rend cette saison économiquement difficile pour l’OM. Tout le monde en est conscient. J’aimerais utiliser ce mercato pour récupérer une partie des investissements réalisés cet été. Je l’ai dit à l’entraîneur et à tous les secteurs sportifs : il est sain pour l’économie du club de fonctionner ainsi, même si, sur le plan de la trésorerie, nous sommes dans une situation confortable grâce à des prévisions et actions bien gérées. Cependant, il est de ma responsabilité, en tant que président, de rester prudent. Dans ce contexte, l’approche sera conservatrice : vendre avant d’acheter. Cela ne signifie pas que nous suivrons ce mécanisme de manière systématique, mais c’est une stratégie pour améliorer nos résultats économiques en fin de saison.

L’objectif principal reste de maintenir une performance sportive de haut niveau tout en évitant des problèmes de trésorerie, même si nous n’en avons pas actuellement. Nous ne prendrons aucune décision qui mettrait la trésorerie du club en danger d’ici la fin de la saison. Si des opérations de sortie permettent de créer une marge, nous chercherons à renforcer l’effectif de manière intelligente, sans sacrifier nos joueurs clés. Ces derniers ne sont pas en vente, car nous souhaitons donner de la continuité à cet effectif. Si des joueurs en manque de temps de jeu peuvent être concernés par des mouvements, nous resterons ouverts, mais toujours dans une logique responsable qui préserve la stabilité financière du club."

La première fait suite à ce qui a été dit. Le club est récemment passé sans encombre devant la DNCG. Toutefois, dans ce contexte où tu veux optimiser chaque euro, est-ce que tu dois malgré tout être vigilant sur la masse salariale cet hiver ? Cela pourrait-il entraîner des départs de joueurs importants ?

Pablo Longoria : "Non, si ce sont des joueurs importants sur le terrain, pas du tout. L’objectif est de conserver les joueurs clés de l’effectif. Concernant la masse salariale, il faut savoir que nous l’avons significativement réduite par rapport à la saison dernière. Le projet du club pour les prochaines années est de maintenir une masse salariale stable à son niveau actuel, même si une partie de celle-ci, comme vous le savez, n’est pas encore totalement optimisée en raison de certains contrats encore en cours. Je crois qu’il est important d’ouvrir une réflexion sur le rôle de la DNCG. C’est une institution essentielle pour le football français et nous devrions tous chercher à renforcer son efficacité. Lors d’un conseil de ligue, j’ai proposé que la DNCG effectue des contrôles a priori et non a posteriori. Cela me semble crucial, surtout dans ce contexte d’incertitude économique lié aux droits télévisés. La gestion de la masse salariale est un point clé pour assurer la stabilité financière des clubs français.

Je ne critique pas le système français, au contraire. Mais il faut reconnaître que gérer et optimiser la masse salariale est fondamental, surtout dans un pays où les charges sociales sont plus élevées que dans d’autres compétitions européennes. Bien que le dispositif d’exonération pour les joueurs expatriés soit un avantage, il est vrai que le football français est désavantagé par rapport à ses concurrents européens en termes de charges sociales. La saison dernière, nous avons constitué une équipe avec une masse salariale bien au-delà de ce qu’un club comme l’Olympique de Marseille pouvait raisonnablement gérer. C’était une erreur, et dès cet été, nous avons travaillé à corriger cela. Nous continuerons à chercher des améliorations dans les prochaines fenêtres de mercato. Toutefois, en cas de qualification en Ligue des Champions, il faudra gérer la saison avec la masse salariale actuelle. C’est une règle interne que j’ai fixée pour la gestion du club."

Categories
Cassino

Ex-OM : Maxime Lopez aperçu à la Commanderie avec De Zerbi

Ex-OM : Maxime Lopez aperçu à la Commanderie avec De Zerbi

L'image pourrait faire grand bruit si on ne connaissait pas les liens forts qui unissent Maxime Lopez à l'OM, mais aussi à son ancien coach à Sassuolo Roberto De Zerbi. L'ancien milieu de terrain marseillais n'est pas sur le départ cet hiver du Paris FC où il fait office de première recrue de renom pour les nouveaux propriétaires du club, la famille Arnault.

casino leon Prime – Vous cherchez un casino en ligne qui propose des bonus attrayants pour les joueurs débutants et expérimentés ? Vous vous demandez quelles sont les meilleures

Une simple visite, mais qui a sans doute fait plaisir aux principaux intéressés.

Categories
Cassino

OM-Lille : On connaît l'arbitre de la rencontre !

OM-Lille : On connaît l'arbitre de la rencontre !

Pour la dernière rencontre de l'année 2024 au Vélodrome, qui opposera l'Olympique de Marseille à Lille ce samedi à 17h, Willy Delajod a été désigné au sifflet. L'arbitre haut-savoyard, âgé de 32 ans et membre du corps arbitral FIFA depuis 2019, sera accompagné de ses assistants Erwan Finjean et Philippe JeanneMikaël Lesage officiera en tant que quatrième arbitre, tandis que Nicolas Rainville et Alexandre Castro seront en charge de la VAR.

casino tortuga Retraits – Vous avez remporté des gains sur Casino Tortuga et vous vous demandez comment retirer vos fonds en toute sécurité ? Est-ce que le processus de retrait est

Delajod n’est pas un inconnu pour les Olympiens, puisqu’il a déjà arbitré 14 matchs de l’OM en Ligue 1 depuis ses débuts dans l’élite en 2018. Le bilan de l’OM sous sa direction est pour le moins équilibré : 6 victoires, 4 nuls et 4 défaites. Cependant, certains souvenirs restent amers pour les supporters marseillais. Cette saison, il a notamment arbitré la défaite 1-0 des Phocéens à Strasbourg.

Et si le souvenir le plus récent reste le Strasbourg-OM de cette saison, certains, comme notre duo de commentateurs, Idriss Kasmi et Slim Hanayen se souviennent surtout de Willy Delajod pour son arbitrage lors du match contre Monaco la saison dernière au Vélodrome. Petit rappel avec la vidéo ci-dessous :

 

Categories
Cassino

OM : la FFF défend Willy Delajod après l’OM-Lille

OM : la FFF défend Willy Delajod après l’OM-Lille

Le match entre l'Olympique de Marseille et le LOSC (1-1) a été marqué par des décisions arbitrales qui ont mis le feu aux poudres au Vélodrome. De nombreux supporters phocéens et analystes ont vivement critiqué l’arbitrage de Willy Delajod, notamment pour deux actions controversées dans la surface de réparation lilloise. En réponse à la bronca qui a défiguré l’ambiance post-match, la Fédération Française de Football (FFF) a publié un communiqué pour défendre son arbitre. Une défense qui, si elle est parfaitement légitime dans un certain sens, soulève aussi bien des questions que des sourires sarcastiques.

Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous êtes curieux de savoir si le casino blotzheim Service client est à la hauteur de vos attentes ? Comment contacter facilement un conseiller si un souci

L'un des moments polémiques est survenu en fin de match, à la 80e minute. Un contact entre Gabriel Gudmundsson et Pierre-Emile Hojbjerg dans la surface lilloise a suscité une vive controverse. Une situation où Mr Delajod a décidé de ne pas accorder de penalty. La FFF a expliqué que "le joueur marseillais a d’abord pleinement l’opportunité de jouer le ballon de la tête et c’est dans un second temps que le contact avec le joueur lillois intervient." Pour la Fédération, l’intervention de l’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR) n’était pas nécessaire, car aucune "erreur manifeste" n’a été constatée. Étonnant…

Mais, au-delà de la défense technique et précise de l’arbitrage, ce communiqué de la FFF a du mal à convaincre. Bien sûr, il est normal que l’instance fédérale soutienne ses arbitres, mais à quel point cette défense est-elle justifiée quand les faits sur le terrain semblent aller à l’encontre de cette analyse ? N’est-ce pas un peu trop de "bonne foi" face à l’évidence de l’émotion suscitée dans les tribunes marseillaises ? D'autant plus qu'aucune mention n'est faite de la faute sur Balerdi lors de l'égalisation lilloise, ni de la situation de Jonathan Rowe dans la surface de réparation en toute fin de match.

Les supporters de l'OM n’ont pas été les seuls à exprimer leur mécontentement. Eric Di Meco, sur RMC Sport, a également réagi avec véhémence. Lors de l’émission Le Moscato Show, l’ancien défenseur de l’OM a déclaré : "Je veux bien que Paris soit supérieur, mais si on prend OM-Lille et PSG-OL, en faisant les mêmes matchs, les résultats peuvent être bien différents. Si on m’explique qu’il n’y a pas penalty sur Hojbjerg, je ne comprends plus le football." Des propos qui résument parfaitement le sentiment de frustration partagé par de nombreux observateurs : l’arbitrage de Willy Delajod semble, à tout le moins, avoir manqué de discernement.

Le communiqué de la FFF ne fait en tout cas pas l’unanimité. En voulant défendre coûte que coûte son arbitre, la Fédération semble ignorer la perception générale d’un arbitrage qui n’a pas été à la hauteur des attentes. Si Delajod a été fidèle aux règles, il apparaît que la réalité du terrain et l’intensité de certaines situations méritaient peut-être un peu plus d’attention et de discernement. À moins qu’il ne faille vraiment en arriver à une autre conclusion : la FFF défend son arbitre avec une conviction qui frôle l’irréalisme, comme si chaque décision devait être vue sous l’angle de la perfection technique, sans égard aux émotions humaines qui font partie intégrante du spectacle du football.

À l'OM, on se souviendra surtout de ce match comme d’un "1-1 volé" et les supporters phocéens auront du mal à oublier cette sensation d’injustice. Quant à la FFF, sa défense opiniâtre de Willy Delajod n’aura certainement pas réussi à calmer les esprits échauffés. 

Categories
Cassino

OM : "Quand on signe à l’OM on sait où on met les pieds, sinon c'est une faute professionnelle"

OM : "Quand on signe à l’OM on sait où on met les pieds, sinon c'est une faute professionnelle"

Quelle importance accordez-vous à la préparation mentale dans le sport et plus particulièrement dans le monde du foot ?

roulette casino Retraits – Le montant minimum pour un retrait est généralement de 20 €, mais cela peut varier en fonction de la méthode choisie.

Thibaut Nilles : "Pour moi, la préparation mentale est essentielle. C’est un aspect qu’il faut à la fois conserver et développer, car elle peut se travailler de multiples façons. On peut par exemple faire intervenir un préparateur mental, que ce soit pour travailler individuellement avec les joueurs ou sur le collectif. Mais il y a aussi des clubs qui adoptent une autre approche, comme le Stade Toulousain au rugby. Eux choisissent de former directement leurs staffs à la préparation mentale. C'est une méthode intéressante, car elle ne se limite pas aux joueurs : elle intègre aussi le staff, qui apprend à mieux communiquer. C’est crucial, surtout dans des clubs sous forte pression comme l’OM, où la popularité et les ambitions élevées créent un environnement particulièrement intense. Quand on arrive en fin de match, avec un score serré – un 0-0 ou une situation défavorable –, les émotions prennent souvent le dessus. Le ton monte, les mots sont mal choisis, et le message perd de son impact. C’est un peu comme dans une relation parent-enfant. Si les parents s’énervent et commencent à crier, ce n’est pas pour autant que leur message sera mieux compris. Dans le sport, c’est pareil. Un entraîneur sous pression, c’est humain, mais il doit parvenir à contenir ses émotions pour transmettre un message clair et efficace. C’est là que la préparation mentale joue un rôle clé : elle donne les outils nécessaires pour mieux gérer ces moments de tension et maintenir une communication optimale, même dans les situations les plus stressantes."

On sait déjà que le football est un sport hyper médiatisé. Pensez-vous que cela impacte l'aspect mental des joueurs ?

Thibaut Nilles : "Ah oui, bien sûr, et pour plusieurs raisons. D’abord, il y a les réseaux sociaux et les critiques incessantes. Les journaux sont parfois un peu plus constructif, mais sur les réseaux, on trouve de tout et de rien. Quand un joueur reçoit des insultes en permanence, même de la part de personnes qu’il ne connaît pas, ça finit forcément par peser. Ensuite, le football, c’est vraiment un monde à part. Un joueur ou sa famille peuvent être interpellés n’importe où. Parfois, ça va même jusqu’à s’en prendre aux enfants. C’est pour ça que les footballeurs restent souvent dans leur bulle, chez eux, entourés de quelques personnes de confiance. Ils ont du mal à s’ouvrir, car il y a tellement de choses qui se passent autour d’eux, et ce n’est pas toujours simple à gérer. Et puis, il y a la pression médiatique, bien sûr, mais aussi la pression financière. Ce que beaucoup de gens ne comprennent pas, c’est qu’un footballeur n’est pas un salarié comme les autres. On peut le vendre, et parfois, le club décide tout simplement de ne plus vouloir de lui et le placer dans un loft. 

Vous venez d'évoquer le concept du loft, une pratique relativement récente qui semble de plus en plus répandue dans le monde du football. On a vu l’OM l’appliquer cet été avec certains joueurs. Quel est votre avis sur cette méthode, et quelles peuvent en être les conséquences, notamment sur la santé mentale des joueurs ?

T.N : "Je vais vous donner mon avis en distinguant deux points de vue : celui de l’entraîneur et du club, puis celui du joueur. Du côté du club, cette pratique peut être vue comme un levier efficace. Elle met une forte pression sur le joueur pour qu’il trouve rapidement une porte de sortie, souvent dans l’urgence, ce qui peut libérer de la masse salariale ou rapporter de l'argent. Mais si l’on se place du point de vue du joueur, c’est une tout autre histoire. Être envoyé en loft, c’est ressenti comme un rejet. Pas un simple désaccord ou un choix anodin, mais un rejet qui peut être interprété comme une remise en question de sa valeur ou de ses compétences. Et ce rejet, en tant qu’être humain, est d’une violence extrême. Il n’y a souvent aucune réelle possibilité de discussion. On lui dit simplement : "Demain, tu viens t’entraîner, mais pas avec l'équipe première." Ce type de traitement est incroyablement difficile à vivre sur le plan psychologique. En plus, le joueur n’a pas toujours d’explications claires sur sa mise à l’écart. En psychologie, on dit souvent que l’une des pires choses pour un être humain c’est l’indifférence ou encore le fait d’être ignoré. C’est dévastateur. Prenons un exemple concret : un sans-abri dans la rue. Même un simple "bonjour" peut lui faire du bien, mais dans la majorité des cas, on détourne le regard, on fait comme s’il n’existait pas. Pour un joueur, c’est un peu la même chose. Il passe d’un statut social important où il est reconnu, gagne bien sa vie, est sous les projecteurs à une forme de néant. Du jour au lendemain, on lui dit qu’il n’a plus sa place. Et ça, c’est extrêmement dur à encaisser."

Cette année, l’OM réalise un bon début de saison et occupe la 3ᵉ place au classement. Cependant, les performances à domicile posent question. On sent que certains joueurs semblent inhibés par la pression du Vélodrome. Roberto De Zerbi lui-même répète souvent en conférence de presse que son équipe manque de personnalité à domicile. Selon vous, cette pression du public marseillais peut-elle avoir un impact significatif sur le mental de certains  ?

T.N : "C’est vrai que le Vélodrome ne pardonne pas les mauvaises performances. Si les joueurs n’y mettent pas l’intensité ou l’engagement nécessaires, le public peut rapidement montrer son mécontentement. Cela dit, si l'équipe perd 1 ou 2-0 mais qu’elle s’est donnée à fond, je suis convaincu que le Vélodrome ne leur tombera pas dessus. C’est pour ça que je pense que se cacher derrière la pression du Vélodrome, pour justifier un manque de performance, est une fausse excuse. À mes yeux, le véritable problème, c’est la prise de conscience des joueurs sur ce que représente ce club. Quand on signe à l’OM, on sait où on met les pieds. Les joueurs se renseignent, leurs agents ou Pablo Longoria doivent en parler. Ceux qui oublient cette réalité, pour moi, commettent une faute professionnelle. Venir à l’OM en pensant que ça va être tranquille, c’est une énorme erreur. L’OM est un club populaire. Les supporters sont exigeants, mais ce qu’ils veulent avant tout, c’est vibrer. Vibrer, ce n’est pas forcément gagner 5-0, mais se battre, se donner à 3000 %. Si les joueurs font ça, le Vélodrome sera derrière eux, j’en suis persuadé."

Justement, nous avions discuté avec un journaliste de Brest à propos de Lilian Brassier, qui illustre un peu ce que vous dites. Il sortait d’une superbe saison à Brest et était peut-être l’un des meilleurs défenseurs de Ligue 1. Mais depuis son arrivée à Marseille, il sous-performe clairement. Ce journaliste avait confié qu’à Brest, il travaillait avec un préparateur mental. Pensez-vous qu’il pourrait malgré tout avoir un déclic ?

T.N : "Oui, surtout s’il continue son travail avec son préparateur mental, Thomas Sammut. Ce genre de suivi peut l’aider à relever le défi, à retrouver confiance en lui. Mais il faut aussi reconnaître que passer de Brest à Marseille, c’est un tout autre monde. Brest, c’est la Bretagne, une région avec un cadre plus familial, une pression moindre. À Marseille, c’est complètement différent. Ici, la ferveur est omniprésente. Les supporters vivent à travers le football. C’est plus qu’un sport, c’est une part de leur identité, de leur éducation. La pression est donc forcément plus intense. Mais je reste confiant pour Brassier. S’il continue à faire le travail nécessaire et à s’appuyer sur ses ressources mentales, il finira par s’adapter et performer. Pour moi, il a le potentiel, et je ne m’inquiète pas du tout. C’est une question de temps et d’efforts."

Certains journalistes ou supporters peuvent parfois se montrer assez véhéments dans leurs critiques envers certains joueurs de l'OM. Pensez-vous que cela peut être nocif ? Recommandez-vous aux joueurs de se couper de ces commentaires ?

T.N : "C’est une excellente question. Il faut trouver un équilibre. Se couper complètement des critiques, qu’elles viennent des journalistes ou d’ailleurs, ce n’est pas forcément sain. Cela peut enfermer le joueur dans une bulle où il finit par se convaincre qu’il est toujours au top, alors que parfois il y a des points à améliorer. À l’inverse, s’exposer trop aux critiques peut aussi être destructeur. Tout dépend de la capacité du joueur à gérer sa confiance et son estime de soi. Les grands joueurs, eux, savent prendre du recul. Quand une critique leur est adressée, ils ont la maturité de se dire : "Je ne suis pas d’accord" ou bien "D’accord, mais explique-moi concrètement ce que je peux améliorer." Ce sont des critiques argumentées et constructives qui peuvent les aider à progresser. Malheureusement, ce n’est pas toujours ce qu’on voit. Certains journalistes se contentent d’attaquer la personne sans réel fondement, et ça, ça ne sert à rien. Idéalement, les joueurs devraient trouver ce genre de retours au sein du staff. Si le staff ne leur fournit pas cette critique constructive, c’est problématique. En revanche, s’ils sont bien encadrés, ils peuvent mieux gérer les commentaires extérieurs et se blinder face à ce qui n’est pas pertinent. C’est un équilibre à trouver."

Dernière question : à l’OM, on sait qu’il y a énormément de changements chaque année. Une dizaine de joueurs partent, une dizaine arrivent. Vous l’avez brièvement évoqué tout à l’heure, mais comment un joueur vit-il, d’un point de vue psychologique, les rumeurs de départ relayées dans la presse ? Et comment gère-t-il cette incertitude permanente de ne pas être sûr de rester dans son club à chaque mercato ?

T.N : "C’est un véritable casse-tête, et psychologiquement, c’est très difficile. C’est un peu comparable à un salarié dans une entreprise qui apprend qu’il pourrait y avoir un plan de licenciement ou une réorganisation. Ce n’est jamais agréable à entendre, car cela crée un sentiment d’instabilité et d’insécurité. À l’OM, c’est encore plus complexe parce que le club a des ambitions élevées, mais aussi une identité et des valeurs très particulières. Cela donne parfois l’impression que le club attire des joueurs en quête de relance de carrière. Par exemple, un joueur comme Adrien Rabiot ou Pierre-Emile Højbjerg pourrait se dire : "Ok, je vais à l’OM, je récupère un bon salaire, je me montre, et ensuite je repars relancer ma carrière ailleurs." À mon avis, Mason Greenwood est un peu dans cette logique actuellement. Il profite de l’exposition et du projet de l’OM pour se remettre sur les rails, et ça peut être bénéfique pour les deux parties. Ce qui peut aider un joueur dans cette situation, c’est de pouvoir compter sur la transparence du staff ou de la direction. Si Pablo Longoria ou un autre membre de la direction est sincère et direct, cela peut rassurer. Si on dit à un joueur : "Ne t’inquiète pas, il n’y a aucune rumeur, tu fais partie du projet et on te gardera coûte que coûte", il peut se sentir plus en confiance. Mais le problème, c’est que dans le haut niveau, cette transparence totale est rare. Le football, c’est comme vivre 10-15 ans de carrière condensés en une période très courte, dans un environnement où tout change au quotidien. C’est une instabilité permanente, presque comme un jeu de télé-réalité. Du jour au lendemain, une décision peut tomber, et c’est fini : "On ne compte plus sur toi, on te transfère." Ce n’est jamais facile à vivre, parce qu’au final, tout repose sur les décisions d’une poignée de personnes au sommet. C’est dur, vraiment dur."

Categories
Cassino

Lens-OM : le groupe de Will Still avec de nombreuses absences

Lens-OM : le groupe de Will Still avec de nombreuses absences

Le groupe de Will Still

Gardiens

circus casino app – Vous rêvez de retrouver toute l’ambiance d’un véritable casino depuis votre smartphone ? Vous vous demandez comment télécharger et installer l'application

Petric

Koffi

Samba

Défenseurs

Machado

Danso

Chavez

Sarr

Pouilly

Medina

Frankowski

Milieux

Pereira Da Costa

Ojediran

Diouf

El Aynaoui

Mendy

Thomasson

Zaroury

Fulgini

Attaquants

Sotoca

Nzola

Labeau-Lascary

 

 

Absents : Cabot, Satriano, Aguilar, Saïd, Ganiou, Frankowski (blessés) Gradit, Khusanov (suspendu)

Categories
Cassino

Nasri : "J'ai dit à Benatia que c'était fait pour lui !"

Nasri : "J'ai dit à Benatia que c'était fait pour lui !"

Samir Nasri et Mehdi Benatia partagent une amitié qui remonte à leur formation commune à l’Olympique de Marseille. Les deux hommes, qui partageaient la même chambre durant leurs années à l’OM, ont suivi des chemins différents, mais Nasri ne cache pas sa fierté de voir son ami réussir dans un nouveau domaine au sein du club phocéen.

casino in belgie Retraits – Vous jouez en ligne depuis la Belgique et souhaitez retirer vos gains en toute sécurité ? Vous vous demandez quelles méthodes sont disponibles, quels sont les

"J'étais content pour lui. Il m'a appelé quand l'OM lui a soumis la proposition. Je lui ai dit que c'était fait pour lui, qu'il fallait le faire, qu'une opportunité comme l'OM ne se présentait pas 50 fois dans une vie", confie Nasri à 1899 Le Mag. Pour lui, l’OM est une expérience unique, difficile mais formatrice : "Si tu réussis à l'OM, tu peux aller à Milan ou Arsenal, presque en vacances. Je lui ai dit que c'est ce qu'il lui fallait et que si ça ne lui plaisait pas, il pourrait toujours redevenir agent."

"C'est du bon boulot"

Depuis son arrivée, Benatia a joué un rôle clé dans le renouveau du club, et Nasri salue le travail accompli : "Je trouve qu'il a fait une super équipe. L'an dernier, on parlait de masse salariale record, de problèmes d'argent. Là, ils ont réduit les dépenses tout en améliorant l'équipe. C'est du bon boulot."

 

Pablo Longoria et son conseiller sportif Mehdi Benatia

 

Il met également en lumière les choix stratégiques effectués : "L'effectif a été construit par rapport aux besoins du coach, un entraîneur avec une cote folle. Cette saison, il fallait avoir un milieu de terrain renforcé et on peut se vanter aujourd'hui d'avoir Rabiot et Hojbjerg, deux internationaux qui auraient pu signer dans n'importe quel club."

Nasri termine sur une note positive : "Je suis très fier du travail de Mehdi et on verra en fin de saison où se place cette équipe." Un témoignage qui reflète l’importance de Benatia dans ce nouveau chapitre marseillais. Un club que supporte toujours avec plaisir le Petit Prince.

Categories
Cassino

OM : on en sait plus sur la semaine atypique vécue par les Olympiens !

OM : on en sait plus sur la semaine atypique vécue par les Olympiens !

On en sait plus sur la semaine atypique vécue par les Olympiens !

Cette semaine a été particulière pour les joueurs de l'OM, qui ont vécu ensemble de mardi à vendredi lors d'un stage de cohésion à Mallemort, mais qui ont aussi passé la nuit de samedi à dimanche à La Commanderie, en mise au vert. S'ils ont dormi seuls dans des chambres individuelles au centre d'entraînement, ce n'était pas le cas cette semaine, où les chambres étaient doubles. Roberto De Zerbi avait d'ailleurs souhaité qu'un cadre du groupe soit associé à un plus jeune. Le coach italien a décidé de cette semaine spéciale durant la dernière trêve internationale, mi-novembre. Une défaite à Lens n'aurait rien changé au programme. Une psychologue et préparatrice mentale, qui accompagne l'équipe depuis le mois de septembre, était également présente à Mallemort. Sur place, le programme était intense, avec un réveil très matinal pour aller courir et de nombreuses séances tactiques pour répéter les gammes.

action casino Prime – Vous êtes passionné de jeux de hasard et cherchez une plateforme en ligne où les bonus sont aussi excitants que les jeux eux-mêmes ? Vous vous demandez si les

 

Le choc OM-Monaco sera à suivre sur DAZN

 

Eliesse Ben Seghir avait failli signer à Marseille…

Eliesse Ben Seghir, jeune prodige de l'AS Monaco, aurait pu rejoindre l'Olympique de Marseille. En 2019, alors que l'OM était le seul club à s'intéresser à lui, les négociations étaient bien engagées pour un accord de non-sollicitation. Cependant, à la dernière minute, l'AS Monaco a fait une offre convaincante, incluant un chèque conséquent et un logement à Nice pour sa famille, que l'OM ne pouvait égaler.

Repéré tardivement par Denis Moutier au Pôle Espoirs d’Aix-en-Provence, Eliesse se distinguait par son sens du dribble, malgré des doutes sur sa condition physique. L'OM, conscient de son potentiel, le suivait attentivement. Après la perte de son père, Ben Seghir montra une détermination exceptionnelle, renforçant l'intérêt marseillais. Son tempérament, jugé idéal pour Marseille, faisait espérer une signature imminente.

Mais Monaco, alerté par l'intérêt marseillais, intervint rapidement pour arracher la pépite, laissant l'OM frustré. Aujourd'hui, Ben Seghir brille en Ligue 1 et en Ligue des champions