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OM : Quentin Merlin nous détaille ses axes de progression

OM : Quentin Merlin nous détaille ses axes de progression

Sur ce rôle offensif, ce but que tu as marqué au Vélodrome contre Lille, est-ce que tu montes en puissance dans ta capacité à être décisif offensivement ? Est-ce que ce but a pu être un déclic pour toi dans ce registre ? On te voit beaucoup plus souvent, par la force des choses, dans les 20-30 derniers mètres, voire dans la surface, face au but. Est-ce que c'est quelque chose que tu travailles encore plus, vu que tu es plus offensif qu'en début de saison ?

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Quentin Merlin : Forcément, dans le rôle de piston, quand le ballon est sur le côté droit, je dois fermer au deuxième poteau sur un centre. Donc, oui, je suis amené à être plus souvent devant le but que si on jouait à quatre. Concernant le but contre Lille, c'est vraiment une question d'instinct. Je ne m'attendais pas à marquer, on ne s'attend jamais à marquer. Le ballon arrive, et c'est l'instinct du moment qui a fait que j'ai dû crocheter et tirer pour marquer. Bien sûr, ça m'a donné confiance, ça m'a donné envie d'en marquer d'autres, d'être décisif, de faire des passes décisives aussi. C'était mon premier but avec l'OM, donc ça me motive encore plus à continuer sur cette lancée et sur les bonnes performances de l'équipe. On parle de mon but, mais c'est surtout l'action collective qui a permis ce but. On doit continuer à créer ce type d’actions et à les finir, même si ce n’est pas toujours de la même manière.

On parle de l’aspect offensif, mais revenons sur l’aspect défensif. Récemment, ton entraîneur a déclaré en conférence de presse qu’il attendait plus de toi. Sur quel aspect aimerait-il te voir progresser ? Est-ce dans la façon de te placer, dans les un contre un ?

Q.M : C’est plutôt général : concéder moins de vagues de mon côté, gagner plus de duels en un contre un, améliorer mon positionnement, mes orientations d’épaule pour gagner du temps sur le joueur opposé ou sur les changements d’aile… Bref, sur plein de choses. On travaille beaucoup là-dessus. Je sais que j’ai des lacunes défensives, je suis conscient de ça et je travaille énormément parce que je sais que c’est un défaut important, surtout à mon poste. On regarde beaucoup de vidéos pour corriger ça. Ce que le coach me demande, c’est d’être plus proche de l’adversaire, de ne pas lui laisser prendre de vitesse, de l’emmener sur le côté et de gagner de plus en plus mes duels.

Depuis ce match contre Auxerre, où tu es sorti à la mi-temps après une période compliquée, tu as passé un ou deux matchs sur le banc. Comment as-tu traversé cette période et qu’as-tu appris avec le coach ?

Q.M : Contre Auxerre, ce n’était pas une erreur défensive, mais un manque de respect envers le club et mes coéquipiers. Je ne pouvais pas lever les bras comme ça, m’arrêter de jouer. J’ai fait mon autocritique tout seul après le match. Je l’ai redit plusieurs fois, je n’avais pas beaucoup dormi cette nuit-là. Avec le coach, on a discuté pour avancer. J’ai envie d’être le meilleur possible, défensivement comme offensivement, et je sais que je dois travailler davantage sur l’aspect défensif.

Le système actuel semble te convenir. Est-ce que, si l’équipe repassait à une défense à quatre, ce serait plus compliqué pour toi ?

Q.M : Ce système me convient bien, car avec un axial gauche plus proche, j’ai une couverture si je perds un duel. À quatre, si tu perds ton duel, l’adversaire peut filer directement au but. En piston, je presse plus haut, sur les latéraux ou les ailiers. C’est surtout une question de confiance. Le coach est très perfectionniste, donc on analyse chaque détail pour peaufiner et améliorer mon jeu.

À propos de ta relation avec Ulisses Garcia, comment juges-tu son début de saison et la concurrence entre vous deux ?

Q.M : La relation avec Ulisses est simple : on est en concurrence, mais ça n’impacte pas notre relation. On s’entend très bien, on se donne des conseils avant les matchs, et la concurrence reste saine. On a tous les deux envie de jouer, donc on donne forcément plus à l’entraînement pour montrer au coach. Il n’y a pas de hiérarchie claire, le coach aligne le joueur qui a fait la meilleure semaine.