Categories
Cassino
Back to product list

OM : les dessous de la suspension lunaire de Mehdi Benatia !

OM : les dessous de la suspension lunaire de Mehdi Benatia !

Mandanda, Brassier… pourquoi le mois de janvier a été fatal à Sampaoli ?

En à peine trois mois, Jorge Sampaoli a perdu pied à Rennes. Arrivé en novembre avec des ambitions précises, notamment sur la solidité défensive, l’Argentin n’a jamais trouvé l’équilibre. Son aventure a été précipitée par un mercato hivernal chaotique et une relation distante avec Frédéric Massara, directeur sportif du club. Dès son arrivée, Sampaoli identifie des failles dans l’effectif et réclame deux défenseurs centraux. Il attend des recrues capables de stabiliser sa défense, mais les décisions tardent. Finalement, Lilian Brassier, que Sampaoli ne voulait pas, et Anthony Rouault, que l'Argentin souhaitait, débarquent en janvier, alors que l’Argentin a déjà quitté le navire. Ce retard dans le recrutement, ajouté à des choix contestés, a pesé lourd dans son départ. Autre dossier brûlant : le cas Steve Mandanda. Alors que Sampaoli souhaitait le conserver, la direction décide de recruter Brice Samba sans son aval. Ce choix déstabilise le vestiaire et entraîne un chassé-croisé entre les deux gardiens, perturbant l’équipe en plein hiver. C'est d'ailleurs Mandanda qui a demandé à Sampaoli de ne pas affronter l'OM début janvier. Le recrutement de Seko Fofana, à court de forme, ne fait qu’accentuer la frustration. À Monaco, l’Ivoirien critique ouvertement son positionnement, soulignant une incompréhension tactique. Face à cette accumulation de tensions, Sampaoli a préféré résilier son contrat.

casino shop 💰 Inscrivez-vous sur casino shop pour obtenir 300 USDT + 100 USDT dès votre login ! – casino shop 💰 Jouez malin sur casino shop, le casino préféré des Français : 300 USDT dès l’inscription et un énorme bonus de 1000 USDT à la clé.

Les dessous de la suspension lunaire de Mehdi Benatia

La Provence revient sur la sanction très lourde infligée à Mehdi Benatia par la commission de discipline de la FFF : trois mois de suspension ferme, ainsi que trois mois avec sursis. Une décision jugée disproportionnée au regard de celle prononcée à l’encontre d’Olivier Létang, président du LOSC, qui n’a écopé que d’un mois de suspension ferme, assorti d’un mois avec sursis. Selon La Provence, la commission n’a pas tenu compte des témoignages des délégués du match, ni de l’interview de Benatia sur BeIN Sports, ni même des images transmises par l’OM. Elle s’est exclusivement basée sur le témoignage de Jérémy Stinat, 4e arbitre d’OM-Lille, qui a affirmé s’être senti menacé par Benatia, mais pas par Létang, alors que ce dernier lui avait pourtant saisi le bras. Benatia a été suspendu en vertu de l’article 8, qui sanctionne tout comportement intimidant ou menaçant. Le barème prévoit une sanction maximale de six mois, mais il n’a écopé que de trois mois fermes, la commission prenant en compte la nature de ses propos, qui portaient sur un penalty oublié. Enfin, le sursis de 3 matchs infligé à Benatia pour ses déclarations après OM-Lyon n’a pas été activé et reste donc en vigueur.