Auxerre-OM : la DTA soutient son arbitre… sans surprise
Pas de surprise du côté de la Direction technique de l'arbitrage (DTA). Après avoir analysé les deux actions litigieuses du match Auxerre-OM (3-0), la DTA a validé les décisions de Jérémy Stinat. Pas de surprise, car on voit mal les instances de l'arbitrage désavouer l'un des leurs. Cela aurait été surprenant, voire révolutionnaire !
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Aucune faute sur Merlin… Évidemment
La première action contestée concerne le non-sifflement d'un pénalty sur Quentin Merlin, déséquilibré dans la surface. Pour la DTA, "aucune faute" n'a été commise, car le défenseur "n'a pas agi de manière imprudente" et "le contact de son bras gauche ne justifie pas un pénalty". Bien sûr, le pied de Merlin qui heurte le talon du défenseur est interprété comme une maladresse de l'attaquant marseillais. On aurait presque pu parier sur cette interprétation.
L'échange des arbitres VAR avec Jérémy Stinat, révélé par RMC Sport, est d'une clarté désarmante : "L'attaquant laisse traîner son pied et va chercher le contact." On aurait difficilement pu imaginer un autre verdict, surtout quand il s'agit de protéger l'image de l'arbitrage français.
Carton jaune pour Cornelius : Rien à redire, évidemment
L'autre décision controversée concerne le second carton jaune de Derek Cornelius. La DTA a confirmé qu'il a "commis une faute de manière inconsidérée" en percutant Hamed Traoré au bas du dos, malgré le fait qu'il ait dégagé le ballon en premier. En clair, jouer le ballon n'excuse pas tout, surtout quand il s'agit d'un joueur marseillais.
Là encore, la DTA a préféré soutenir la décision initiale plutôt que d'ouvrir une boîte de Pandore en admettant une erreur. Selon eux, le geste était "sans maîtrise" et justifiait donc le deuxième avertissement.
Une validation sans surprise
Finalement, la DTA soutient son arbitre comme il était prévisible. Après tout, admettre une erreur aurait été un aveu de faiblesse surtout depuis les propos de Pablo Longoria. La DTA a donc suivi son scénario habituel : un soutien inconditionnel de l'un des leurs, quelle que soit la polémique.
Les supporters marseillais n'en seront pas surpris… Peut-être même qu'ils l'avaient déjà deviné avant la publication du rapport.
