OM : Kondogbia revient sur sa longue période de blessure
Ce n'était pas simple à se décanter, mais vous avez réussi à faire le dos rond et à taper quand il le fallait.
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Geoffrey Kondogbia : On savait que c'était une équipe bien en place, qui avait aussi pas mal de joueurs de ballon, donc ils ont cette faculté à bien ressortir à la récupération. On savait qu'il fallait être vigilant et qu'on allait aussi avoir nos moments. Il fallait faire preuve de beaucoup, beaucoup de patience et ne pas forcer les passes. On a su avoir cette patience-là, et on a réussi à renverser le match.
Ce soir, il fallait gagner. Lors des deux dernières semaines, pas le match contre Lyon, mais les semaines précédentes, on disait que l'OM n'avait pas su profiter de l'occasion. Ce soir, il fallait le faire. Vous avez six points d'avance sur le troisième, sur le quatrième, huit points sur le cinquième. On est loin de la fin, mais il vaut mieux être à votre place qu'à la leur ?
G.K : Comme je dis toujours, il faut gagner chaque match, tous sont importants. Aujourd'hui, on a fait ce qu'il fallait, et c'est le plus important. Si on fait le bilan actuel, on est plutôt contents. Maintenant, on va se préparer pour le prochain match, c'est ce qui compte.
Il y a un petit écart de six points avec les poursuivants. C'est ça qui est important ?
G.K : Comme je le dis, on va plutôt regarder devant nous, et surtout vers le prochain match. Parfois, faire des bilans peut nous jouer des tours : regarder derrière, compter les points, etc. Je ne pense pas que, personnellement, ce soit la meilleure approche. Le plus important, c'est de se concentrer sur le match à venir et de savoir comment on va faire pour déjouer notre prochain adversaire. C'est ce qui compte.
Est-ce que ce n'est pas la soirée parfaite ? La victoire, aucun but encaissé, du turnover, des joueurs qui reviennent à votre image, des recrues qui s'intègrent, un but sur corner en fin de match en championnat… Un peu tout ça réuni, et puis, comme on l'a dit, les replacements ?
G.K : C'est vrai qu'il y a pas mal de choses qui tournent en notre faveur. Il faut savourer, en profiter, mais aussi rester vigilant, comme je le dis toujours. Avec beaucoup d'humilité, mais aussi beaucoup de confiance, parce que les choses se passent plutôt bien. Il faut avancer avec le sourire et toujours garder cette humilité pour pouvoir encore progresser.
Tu peux nous parler un peu de ton cas personnel ? On t'a attendu, et peut-être encore plus, ce moment du retour. Qu'est-ce qui s'est vraiment passé et comment as-tu vécu cette période de blessure ?
G.K : Ce n'est jamais évident, mais ça fait partie du football. Il faut savoir l'accepter et repartir de l'avant. J'ai ressenti une petite douleur après le dernier match, juste avant les vacances, et je pensais que ce n'était pas grand-chose. Malheureusement, il y avait quand même une petite lésion, plutôt importante. Ensuite, on a essayé de revenir, mais il a fallu patienter un peu plus. On sait que c'est une zone assez traître, donc il faut vraiment faire attention et être vigilant sur les détails. Maintenant, c'est derrière moi, il va falloir bien revenir et se remettre en forme pour entamer les mois les plus importants de la saison.
Sur le plan collectif, une sorte de force tranquille semble se dégager de l'OM. Vous le ressentez également ?
G.K : Oui, c'est sûr. Tout part d'en haut, je dirais : de la direction, puis du coach, et ça se transmet aux joueurs. On est vraiment contents. La vérité, c'est qu'aujourd'hui, on est en confiance. Et comme je le dis souvent, c'est une question d'humilité. Il faut garder cette humilité et continuer sur ce chemin. On sait ce qu'on sait faire et ce qu'on ne sait pas faire. Il faut donc s'appuyer sur nos qualités et nos forces, avancer tranquillement sans se mettre trop de pression, mais sans être non plus en dilettante. Et ça va le faire.
