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OM : Amir Murillo se livre sur sa saison, sa relation avec De Zerbi, son meilleur souvenir à l'OM… Entretien exclusif

OM : Amir Murillo se livre sur sa saison, sa relation avec De Zerbi, son meilleur souvenir à l'OM… Entretien exclusif

Arrivé à l’été 2023, Amir Murillo a donné satisfaction au point de prolonger son bail jusqu’en 2028. L’occasion d’en savoir plus sur un joueur de plus en plus apprécié à Marseille.

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Le Phocéen : Amir, merci de nous accorder cet entretien. Tu réalises une très belle saison, félicitations ! Si tu devais définir ton rôle au sein de l’équipe, comment le décrirais-tu ?

Amir Murillo : "Honnêtement, c’est une question difficile. Parce que le football est un sport collectif, et si j’ai atteint ce niveau aujourd’hui, c’est grâce à mon travail, mais aussi à mes coéquipiers. Ils m’aident, me conseillent et m’orientent chaque jour, à l’entraînement comme en match. Pour l’instant, je ne saurais pas vraiment définir précisément ma place dans l’équipe."

Le Phocéen : Le coach vous fixe-t-il un objectif différent avant chaque match, ou donne-t-il généralement les mêmes consignes ?

Amir Murillo : "C'est toujours le même principe. On essaie d’appliquer ce que l’on travaille chaque jour à l’entraînement, de bien interpréter le jeu et de mieux connaître nos coéquipiers. C'est d’ailleurs ce qui nous permet d’avoir une bonne entente sur le terrain, notamment avec Luis (Henrique), Mason (Greenwood) et moi sur le côté droit."

Le Phocéen : Peux-tu revenir sur ton rôle au sein du système de Roberto De Zerbi ? Si tu devais citer les trois qualités les plus importantes pour y évoluer, lesquelles seraient-elles ?

Amir Murillo : "Je dirais la vitesse, la précision des passes et l’intelligence."

Le Phocéen : D'ailleurs connais-tu le classement des joueurs ayant joué le plus cette saison ?

Amir Murillo : "Non, pas du tout, je ne sais pas."

Le Phocéen : Tu as une idée ?

Amir Murillo : "J’ai été blessé lors d’un match, et il y en a d’autres où je n’ai pas débuté. Honnêtement, je n’en ai aucune idée."

Le Phocéen : Tu es cinquième dans ce classement. Est-ce quelque chose dont tu es fier ? L’an dernier, par exemple, tu étais quinzième.

Amir Murillo : "Bien sûr, c’est important pour moi, surtout dans une équipe comme l’OM, où l’effectif regorge de joueurs de qualité. Je suis vraiment très fier de faire partie des joueurs ayant accumulé le plus de minutes cette saison."

Le Phocéen : Si tu devais citer un joueur qui t’a le plus impressionné, que ce soit à Marseille ou en Ligue 1, lequel serait-ce ?

Amir Murillo : "Je dirais Rabiot. Je l’avais vu à la télévision, mais je ne connaissais rien de lui, aussi bien en tant que joueur qu’en tant que personne. Chaque jour, je le découvre un peu plus en dehors du terrain, et c’est quelqu’un de vraiment bien."

Le Phocéen : Quel est ton meilleur souvenir depuis que tu as signé à Marseille ?

Amir Murillo : "Mon premier but au Vélodrome, contre Lyon, sur une passe décisive d'Aubameyang. Marquer ce premier but reste, à ce jour, mon meilleur souvenir."

Le Phocéen : Nous gardons un excellent souvenir de ce moment et de ton but, mais une autre chose nous a également marqués : ton duel avec Bradley Barcola. Défensivement, tu as été très solide face à lui. On l’a d’ailleurs souligné : Amir n’est pas seulement un défenseur capable de marquer, il sait aussi très bien défendre. Et ça, c’est important. Tu te souviens de ce match ?

Amir Murillo : "Oui, c’était un grand match pour moi, car j’ai affronté un excellent joueur et j’ai réussi à bien faire les choses."

Le Phocéen : Nous aimerions maintenant parler de ta relation avec Roberto De Zerbi. Peux-tu nous raconter votre première discussion ? Quels ont été ses premiers mots à ton égard ?

Amir Murillo : "Il m’a expliqué le système dans lequel nous allions jouer et le rôle qu’il attendait de moi, qui est celui que j’occupe actuellement."

Le Phocéen : En conférence de presse, il a souvent mis en avant tes qualités et tes progrès dans son dispositif tactique. Comment s’est déroulée ton adaptation ?

Amir Murillo : "C’est un nouvel entraîneur et un système différent de ce que j’avais connu auparavant. Mais au fil des jours, en m’entraînant, en écoutant ses consignes et en essayant d’appliquer ce qu’il me demandait, j’ai progressé. Aujourd’hui, on peut voir les résultats."

Le Phocéen : Vous a-t-il montré des vidéos de Brighton et d’autres équipes qu’il a entraînées ?

Amir Murillo : "Oui, il nous montre régulièrement des vidéos de plusieurs de ses anciennes équipes, pas seulement de Brighton, afin que nous comprenions mieux ce qu’il attend de nous."

Le Phocéen : On voudrait enfin aborder un sujet que les supporters marseillais ne connaissent pas forcément. Peux-tu nous expliquer comment se déroulent tes déplacements lorsque tu rejoins la sélection du Panama ? Entre les vols, la logistique… À Marseille, on ne réalise pas toujours à quel point cela peut être compliqué.

Amir Murillo : "Honnêtement, c’est un peu compliqué à cause de la distance. En général, cela prend environ 15 heures au total. Il y a d’abord le vol de Marseille à Paris, puis de Paris à Panama, ou parfois vers une autre destination selon le match. Ensuite, il y a les correspondances, les escales et souvent une ou deux heures de route pour rejoindre l’hôtel. Avec le décalage horaire, l’adaptation peut être difficile et cela prend parfois plusieurs jours.  "

Le Phocéen : Rejouer immédiatement avec Marseille après ton retour doit être un véritable défi…

Amir Murillo : "C’est encore plus difficile et compliqué à cause du décalage horaire et du jet lag. Il me faut souvent deux ou trois jours pour me réadapter au rythme européen. Mais quand on fait ce qu’on aime, on le fait avec plaisir."

Le Phocéen : Au Panama, les gens te parlent-ils de Marseille ?

Amir Murillo : "Oui, généralement, quand je suis là-bas, on me demande souvent comment est Marseille. Je parle toujours en bien de la ville. C’est une grande ville avec des habitants honnêtes, sociables, et je m’y sens très bien."

Le Phocéen : Nous avons remarqué que tu marques souvent sur coup franc avec le Panama et que tu es particulièrement efficace dans cet exercice avec ta sélection. Quel est ton secret ? As-tu une confiance particulière sur cet aspect du jeu ?

Amir Murillo : "Il n’y a pas de secret, c’est avant tout du travail. Je m’entraîne tous les jours pour ça. Avant, j’avais peu d’opportunités, mais maintenant, j’en ai beaucoup plus, ce qui me permet de mieux m’exprimer sur cet aspect du jeu. J’espère pouvoir en marquer un avec Marseille bientôt."

Le Phocéen : On avance souvent que tu as marqué avec le Panama, on nous répond qu'il faut le voir à Marseille désormais…

Amir Murillo : "J’espère pouvoir célébrer un coup franc marqué ici, au Vélodrome."