OM : le conflit entre la LFP et DAZN prend une nouvelle tournure
La LFP et DAZN en bataille judiciaire pour les droits TV de la Ligue 1
Le conflit entre la LFP et DAZN prend une nouvelle tournure. Le diffuseur principal de la Ligue 1, qui détient les droits de huit matchs par journée, a décidé de ne régler que la moitié de son échéance de février, soit 35 millions d’euros. La plateforme britannique justifie cette décision en pointant plusieurs manquements de la Ligue. En réponse, la LFP a saisi la justice pour obtenir le paiement intégral. DAZN reproche à la Ligue un manque de transparence sur le potentiel du marché français au moment de la signature du contrat, estimant que les projections d’abonnés étaient exagérées. La plateforme déplore aussi l’inefficacité des mesures contre le piratage des matchs, qui nuit à son développement. Enfin, elle critique le manque de coopération de certains clubs, qui freinent la production de contenus exclusifs censés enrichir son offre. Dans ce contexte, DAZN propose une renégociation du contrat en intégrant une part variable basée sur le nombre d’abonnés. Avec environ 500 000 abonnés actuellement, bien en dessous de ses objectifs, la plateforme cherche à inciter la LFP à agir pour améliorer son attractivité. Malgré le conflit, DAZN veut préserver son image et ne pas être comparé à Mediapro, qui avait provoqué une crise des droits TV en France en cessant ses paiements. Pour montrer sa bonne foi, l’entreprise a mis sous séquestre les 35 millions d’euros restants, affirmant ainsi sa capacité financière et son intention de régler le litige par voie légale. Face à cette situation, la LFP a saisi en urgence le tribunal des actions économiques de Paris pour contraindre DAZN à honorer son engagement. Une audience est prévue vendredi matin, et le jugement pourrait être rendu immédiatement ou sous quelques jours. La décision sera exécutoire dès son annonce, même en cas d’appel. De son côté, Vincent Labrune tente d’apaiser les tensions tout en cherchant une solution rapide. Une hypothèse avancée serait un contact direct avec Len Blavatnik, propriétaire de DAZN et milliardaire influent, dans l’espoir de débloquer la situation avant que la crise ne s’aggrave.
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Paga, un Marseillais pur et dur attaché à l'OM
Anthony "Paga" Paggini, figure emblématique de la téléréalité et producteur de musique, entretient depuis son enfance une passion inébranlable pour l'Olympique de Marseille. Cette ferveur familiale s'explique notamment par l'héritage de son oncle, Gérard Paggini, ancien attaquant olympien lors de la saison 1964-65. Son attachement à l'OM remonte à son premier match au Vélodrome en 1994, et s'est intensifié lors de la mythique "Remontada" contre Montpellier en 1998. Membre des Yankees, puis des MTP, il a vécu de l’intérieur les plus grands moments du club phocéen. Aujourd’hui, même s’il ne fréquente plus les virages, il ne manque aucun match au Vélodrome. Paga a également su lier sa carrière et son amour pour l’OM, notamment en produisant des clips comme Allez l’OM avec Elams et Bengous. Auteur du livre Marseille, plus qu'une ville, un pays, il reste un fervent ambassadeur du club et n'hésite pas à défendre les couleurs olympiennes lors de ses tournages. Parrain de l'édition 2024 du Provençal, il concilie sa passion pour la pétanque et son attachement à Marseille. Fidèle à ses racines, il continue de célébrer les exploits de l’OM à sa manière, convaincu que le club retrouvera bientôt les sommets européens.
