PSG-OM : pourquoi Turpin n'a pas arrêté le match ?
Rabiot et Paris, une tension qui ne date pas d'avant-hier
Adrien Rabiot n’a pas mâché ses mots après PSG-OM. Sur les réseaux sociaux, il a directement visé Nasser al-Khelaïfi, l’accusant de complicité face aux insultes des supporters parisiens envers sa famille. "La classe ne s’achète pas", a-t-il lancé, sous-entendant que le club n’a rien fait pour stopper les débordements. Cette attaque n’est pas anodine. Rabiot entretient une relation conflictuelle avec le PSG depuis son éviction du groupe professionnel en 2019, après son refus de prolonger son contrat. Mis au placard par Antero Henrique, alors directeur sportif, il n’avait plus rejoué jusqu’à son départ libre à la Juventus. Son conflit avec le club avait même conduit à une plainte auprès de la Ligue. Le cas Rabiot rappelle celui de Mbappé en 2023, lui aussi mis à l’écart avant d’être réintégré. Mais la tension entre Rabiot et le PSG dépasse les simples différends contractuels. L’épisode de dimanche confirme que la fracture est définitive entre le joueur et son ancien club, aucun des deux camps ne semblant prêt à tourner la page.
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PSG-OM : pourquoi Turpin n'a pas arrêté le match ?
Lors du dernier Clasico, l’ambiance au Parc des Princes a dépassé les simples rivalités sportives. Chants injurieux, banderoles humiliantes et propos discriminatoires ont visé l’OM et Adrien Rabiot, sans pour autant conduire à l’arrêt du match. Pourtant, cette possibilité avait été envisagée avant la rencontre en raison du climat tendu entourant l’événement. Pourquoi Clément Turpin et les délégués de la rencontre n’ont-ils pas pris cette décision ? Selon leurs observations, si le contexte était hostile, les incidents restaient en deçà de ce qu’ils redoutaient. À la pause, l’arbitre a été informé d’un chant problématique, mais aucune mesure forte n’a été prise, malgré les rappels à l’ordre via le speaker et les écrans du stade. Les délégués ont consigné les banderoles dans leur rapport, mais ont jugé que les insultes, bien que choquantes, ne justifiaient pas une interruption immédiate. La commission de discipline de la LFP va désormais se pencher sur ces événements et pourrait sanctionner le PSG a posteriori. Reste à savoir si la sévérité de cette réponse sera à la hauteur des débordements constatés dimanche soir.
