OM : suite aux propos de Longoria, une union inédite chez les arbitres
Les accusations de corruption de Longoria : une union inédite chez les arbitres
Les accusations de corruption portées par Pablo Longoria, président de l'Olympique de Marseille, à l'encontre de l'arbitrage français ont créé un véritable séisme dans le football hexagonal. Lors du match contre Auxerre, Longoria a exprimé sa colère en évoquant « la corruption, la vraie corruption », un dérapage qui lui a valu une suspension de 15 matches par la LFP. Cette sortie a toutefois eu un effet inattendu : elle a soudé les arbitres français comme jamais auparavant.Longtemps critiqués pour leur manque de transparence, les arbitres se sont unis dans une solidarité inédite, balayant leurs divisions internes pour défendre l'intégrité de leur profession. Amaury Delerue, instructeur des arbitres de Ligue 1, a déclaré : « Ce qu'a dit Pablo Longoria est dramatique et inacceptable. Les arbitres sont déterminés à ne pas laisser passer. » Tous les arbitres de Ligue 1, Ligue 2 et les assistants se sont ainsi associés à une plainte collective contre le président marseillais pour diffamation.Cet élan de solidarité a également trouvé un écho au sein du football français. Le président de la FFF, Philippe Diallo, les dirigeants de clubs et même les médias ont condamné les propos de Longoria, soulignant l'absence de preuves pour justifier de telles accusations. Le soutien est tel que même Jérémy Stinat, arbitre du match en question, a reçu un nombre de messages de soutien sans précédent. Toutefois, l'épisode met aussi en lumière la montée des tensions autour de l'arbitrage en Ligue 1, exacerbée par une saison marquée par des polémiques récurrentes.
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Les raisons de la suspension de Pablo Longoria
Pablo Longoria, président de l'Olympique de Marseille, a été suspendu pour 15 matches par la commission de discipline de la LFP à la suite de son comportement lors du match à Auxerre le 22 février. Ce dérapage, largement médiatisé, a terni son image et soulevé des questions sur son leadership à la tête de l’OM.Ce jour-là, Longoria a perdu son sang-froid dans un contexte de pression intense. Agité et méconnaissable, il a tenu des propos virulents devant les caméras, allant jusqu'à parler de "corruption" et de "championnat de merde". Un comportement jugé inacceptable pour un président siégeant au conseil d'administration de la Ligue de Football Professionnel, qui aurait pu user de son influence de manière plus stratégique pour défendre les intérêts de l’OM. Son dérapage a éclipsé la défaite de son équipe face à un promu qui a mérité sa victoire (3-0). L’Espagnol, habituellement maître de ses émotions, a cédé sous la pression, sans être aidé par son entourage, excepté un membre de la sécurité qui a tenté de le calmer. Longoria a ainsi donné du crédit à ses détracteurs.
