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OM : après le chaos, l'union sacrée ?

OM : après le chaos, l'union sacrée ?

De Zerbi, Atout pique

Sous le feu des critiques, Roberto De Zerbi a une nouvelle fois assumé sa méthode volcanique. L’entraîneur italien de l’OM, qui se veut à la fois figure paternelle et meneur d’hommes exigeant, refuse de se laisser abattre par la tourmente. "Je donne ma vie pour ce métier. J’attends des joueurs qu’ils fassent de même", a-t-il lancé, déterminé à pousser son groupe dans ses retranchements. Entre discours musclés et séances d’entraînement à l’aube, De Zerbi ne recule devant aucun levier pour provoquer un sursaut. Face à la tempête, le vestiaire lui reste fidèle. Neal Maupay a également insisté sur l’unité du groupe autour de son coach : "On a besoin de lui pour bien finir le championnat." Même après son choix de ne pas diriger la séance de lundi, préférant laisser ses adjoints prendre le relais pour piquer l’orgueil de ses joueurs, De Zerbi assume pleinement. Pas de regrets, ni d’excuses : seul compte le réveil de l’OM pour retrouver la Ligue des champions. Lucide sur la pression marseillaise, il questionne la brièveté des mandats d’entraîneurs à l’OM, tout en se voyant bien prolonger l’aventure. "J’aime être au centre des polémiques", confie-t-il, rappelant ainsi l’appétence de Pablo Longoria pour le conflit. Reste à savoir si cette stratégie du choc paiera d’ici la fin de saison. Verdict attendu le 18 mai.

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L'union sacrée ou la Bérézina

À l’approche d’un virage crucial face à Toulouse ce dimanche 6 avril, l’Olympique de Marseille joue gros. Troisième du championnat mais sous la menace directe de ses poursuivants, le club est confronté à une alternative limpide : l’unité pour espérer voir la Ligue des champions ou le chaos total. Pourtant, les prémices de la saison laissaient présager un scénario bien plus réjouissant. Avec Roberto De Zerbi aux commandes, entraîneur réputé pour ses équipes séduisantes, un mercato séduisant avec des renforts tels que Højbjerg, Greenwood ou encore Rabiot, et une direction en parfaite harmonie, tous les ingrédients semblaient réunis pour un succès. Mais le rêve bleu et blanc s’est effrité au fil des mois. Les départs précipités de certains joueurs majeurs comme Elye Wahi, Lilian Brassier ou Ismaël Koné ont fragilisé l’édifice, laissant place à une équipe souvent en difficulté sur le terrain. Le jeu de possession cher à De Zerbi est désormais moqué sous le sobriquet de "De Zerbi baballe", reflet d’une animation stérile. Les tensions internes, illustrées par l’affaire Mbemba ou les remous autour de Jean-Pierre Papin, n’ont fait qu’accentuer l’instabilité ambiante. Entre désillusions sportives et agitation en coulisses, l’OM vit un printemps délicat. Face à Toulouse, c’est bien plus que trois points qui seront en jeu : l’OM devra prouver qu’il peut encore écrire une fin de saison à la hauteur des ambitions affichées en début de parcours.