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Gouiri : " sur mon but, c’est le contrôle qui fait la différence "

Gouiri : " sur mon but, c’est le contrôle qui fait la différence "

Parle-nous un peu du match ?
Amine Gouiri : Le match, je pense, match réussi, match complet. On a gagné avec la manière en marquant 4 buts. Et on aurait pu en mettre plus à la fin. Donc non, franchement, on est satisfait de ce match.

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Alors maintenant, le triplé. Le triplé dans son ensemble et après, un focus quand même sur le but de l'année ?
A.G : Le triplé, ça fait toujours du bien de marquer en tant qu'attaquant, surtout avec un triplé. Franchement, à la mi-temps, quand j'ai mis le doublé, je pense à Ahmed, le triplé. Je l'ai mis avant ma sortie, donc je suis très content. En plus, avec la victoire, il y a les trois points, donc c'est le plus important.

Et la bicyclette ?
A.G : Je me lève et après, à l'instinct, je tente la bicyclette, elle rentre au fond.

C'est facile le foot ?
A.G : Non, ce n'est pas facile. Quand on voit à la télé comme ça, on dirait que c'est facile, mais ce n'est pas facile. Franchement, c'est un des plus beaux trucs de ma carrière. J'espère en mettre d'autres.

Dès le début, tu vois qu'il va rentrer le ballon ?
A.G : Je suis parti célébrer comme un fou. Après, je l'ai revu sur le grand écran. Mais non, franchement, c'était un moment magique. Ça dépend comment le ballon allait arriver. Mais je sentais que j'étais seul. Et après, le ballon arrivait un peu haut. Du coup, je me l'enlève et après, à l'instinct, je tente la bicyclette.

C'est un des gestes que tu as déjà faits ?
A.G : Oui, je l'ai déjà tenté à l'entraînement quand on fait des tennis-ballon. Mais sinon, en match, peut-être, je n'ai pas le souvenir.

Comment tu vas faire pour en marquer d'autres maintenant ?
A.G : Oui, c'est ça. Mais à chaque ballon comme ça, je ne vais pas m'enflammer non plus. Mais si j'ai l'occasion d'en mettre d'autres, je n'hésiterai pas.

Que ressens-tu à ce moment-là ?
A.G : Beaucoup de fierté, franchement, ça fait plaisir, comme tu le dis, surtout au Vélodrome, dans un stade comme ça. Et j'espère rééditer ce genre de performance pour à nouveau revivre ce genre de moment.

Vous avez récupéré votre deuxième place. Tout le monde gagne quasiment, il y a le petit accro pour Monaco, il reste trois matchs, c'est tendu mais il vaut mieux être à votre place qu'à la place des adversaires ce soir ?
A.G : Bien sûr, on a notre destin en main. C'est vrai qu'on a commencé le match en étant quatrièmes et c'est vrai que ça pique un peu, on avait à cœur de retrouver notre deuxième place. On est deuxièmes, il reste trois matchs. Donc, c'est à nous de jouer ces matchs-là comme des finales. Comme je disais, on a notre destin entre nos mains. Et on espère tous finir deuxièmes.

Dans quelle mesure tu estimes que le stage que vous avez vécu a pu vous aider ce soir ?
A.G : C'est bien. Franchement, ça nous a tous unis. On se voit tous les jours. On est tous ensemble. On a bien travaillé. Donc là, on est repartis pour une semaine. Et on espère continuer encore à travailler et aller à Lille pour aller chercher les trois points.

Est-ce que pour toi, c'est le plus beau match de la saison ?
A.G : Le plus beau, je ne sais pas. Parce que les six premiers mois, je n'étais pas là. Mais je pense que c'est l'un des plus beaux depuis que je suis arrivé au Vélodrome, avec celui de Lyon, je pense. Mais là, c'est vrai qu'il y avait tout. Il y avait tous les ingrédients. Il y avait la manière, il y avait l'envie, il y avait tout. Il y avait l'état d'esprit. Donc, oui, je pense que c'est l'un des plus beaux.

Amine, tu sors à la 66e, c'était de la gestion du coach par rapport à ta précédente blessure ?
A.G : Oui, je pense aussi. Après, il y a des joueurs comme John qui ont fait de belles choses ces dernières semaines. C'est vrai qu'après, il faut gérer tout le monde. C'était une bonne idée de la part du coach, avec 4-1, de ne pas prendre de risques pour que tout le monde soit prêt pour les derniers matchs. Je pense que c'est une bonne idée.

Et le ballon, tu vas en faire quoi ?
A.G : Je vais le mettre chez moi dans une armoire. J'en ai déjà un, parce que j'avais mis un triplé contre Ajaccio.