Rabiot : "Au départ, ce n'était pas prévu comme ça avec De Zerbi"
Vraisemblablement, tu devrais terminer la saison à ce poste offensif côté gauche. On imagine que ce n'était pas le plan lors de ton recrutement. Comment ça se passe pour toi, les repères sur ce poste ?
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Adrien Rabiot : "Je pense que vous avez pu constater que ça se passait bien. C'est vrai qu'au départ, ce n'était pas prévu comme ça. J'avais parlé avec le coach, il avait l'intention de me faire jouer dans les deux joueurs du milieu, un peu plus bas. Les choses ont fait qu'il a dû adapter par rapport à d'autres joueurs, changer de schéma. Il a testé des choses. Il m'a fait jouer d'abord un peu plus haut mais sur la droite, puis il a essayé à gauche, et il a vu que ça matchait bien. Je pense qu'il y a aussi le fait de pouvoir apporter ce plus offensivement, mais aussi d'avoir cette garantie d'avoir un joueur qui est capable d'aller défendre assez haut, d'aller défendre comme un milieu de terrain, mais assez haut pour aller presser lorsqu'on veut aller les chercher haut. Il y a aussi ça, il sait qu'il peut compter sur moi à ce niveau-là. Moi, ça me convenait, j'ai de très bons repères désormais parce que ça fait un moment que j'évolue dans ce schéma-là et je me sens bien. Ça m'a permis aussi de marquer plus de buts qu'à l'accoutumée sur les dernières saisons. Très bien, le coach est satisfait, on a trouvé nos repères comme ça. Comme il l'a dit, je pense qu'on finira comme ça. Mais en tout cas, je me sens très bien. Après, c'est vrai qu'en équipe de France, c'est différent parce qu'on a aussi forcément d'autres joueurs. Donc, le coach met en place d'autres choses mais dans les deux cas j'essaye de m'adapter, comme j'ai toujours dit. Je m'adapte assez facilement et après les qualités de football et de compréhension aussi du poste et des consignes font le reste."
Ce poste plus offensif… En Italie, Allegri disait déjà que tu devais marquer 10 buts par saison. C'est quelque chose qui a été dans ta tête pendant ta carrière ?
A.R. : "Ça n'a jamais été forcément dans ma tête mais c'est vrai que même à l'époque où j'étais au PSG avec Laurent Blanc, c'était un des premiers à me le dire, à me pousser à y penser, à y réfléchir déjà, à me mettre ça dans la tête, que c'était possible. Après, quand je suis arrivé en Italie, c'est vrai que, que ce soit avec Sarri, mais surtout avec Allegri, il m'en a beaucoup parlé aussi. Il y a une saison où j'étais à 11 ou 12 buts. On avait la Ligue des champions aussi, donc il y avait aussi plus de matchs. Mais c'est vrai qu'au fur et à mesure des années, on me l'a répété de plus en plus parce que les coachs avaient vu ça bien sûr en moi. Et parfois on ne se rend nous-mêmes pas compte, quand on est plus jeune, du potentiel qu'on a et des choses qu'on peut faire. Ce sont des choses qu'il faut rabâcher pour se les mettre dans la tête et se convaincre qu'on est capable de le faire. Là, en jouant plus haut, c'est aussi une chance pour moi de pouvoir être plus décisif. Mais c'est vrai que plus on le fait, plus on y prend goût. Et c'est bien personnellement, parce que ce sont de bonnes sensations, ça aide l'équipe. Et moi, ça me permet de continuer à progresser."
