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PSG-OM : la commission de discipline répond aux accusations de Véronique Rabiot

PSG-OM : la commission de discipline répond aux accusations de Véronique Rabiot

La décision de la commission de discipline de la LFP concernant les chants et banderoles insultants visant Véronique Rabiot continue d’alimenter la controverse. Le Paris Saint-Germain a écopé d’une amende de 20 000 euros et d’une fermeture partielle de la tribune Auteuil, une sanction jugée bien trop légère par la mère d’Adrien Rabiot. Conseillère du milieu de terrain marseillais, Véronique Rabiot n’a pas mâché ses mots, qualifiant la décision de "scandaleuse et lamentable", tout en visant particulièrement la commission de discipline.

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Face à la polémique, Sébastien Deneux, président de cette commission, a pris la parole sur La Chaîne L’Équipe. Refusant de céder à l’émotion, il a justifié la décision en expliquant que la commission agit "en son âme et conscience", sans se laisser influencer par les réactions extérieures. Il a reconnu la gravité des propos tenus au Parc des Princes, qualifiant les banderoles de "nauséabondes et absolument dégueulasses", mais a insisté sur la responsabilité limitée du club parisien dans cette affaire.

Selon Deneux, le PSG avait pourtant pris ses précautions en amont, dialoguant avec ses supporters pour éviter tout débordement. Il a également précisé que les banderoles n’avaient été visibles que quelques minutes, soulignant les efforts du club pour les retirer rapidement. Une explication qui peine toutefois à convaincre, tant les images de ces messages violents ont choqué. La défense du président de la commission ne semble pas apaiser les critiques. Beaucoup estiment que le PSG a bénéficié d’une mansuétude injustifiée, laissant transparaître un sentiment d’impunité dans les tribunes. L’affaire reste vive dans les esprits, et les réactions continuent de fuser autour de cette sanction jugée trop clémente pour les actes commis au Parc des Princes.