OM – Benjamin Pavard : «Marseille, c’est un club mythique avec une ferveur incroyable»
Dites-nous tout : vous ne vouliez pas sortir du terrain ?
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Benjamin Pavard : Très content de ma première ici au Vélodrome. En plus, marquer ce but devant ma famille, c’est fort. Très fier de l’équipe : on ne les a pas sous-estimés, et malgré le rouge on a continué à faire notre jeu. Place au repos maintenant, des matchs importants arrivent.
Malgré le rouge, l’idée était d’aller agresser l’adversaire et de réagir vite à la perte ?
B. P. : Oui, c’est ce que demande le coach : avoir le ballon et, dès qu’on le perd, le récupérer le plus vite possible. On a aussi su garder le ballon et ne pas se précipiter.
Ce rôle hybride vous convient-il ? Comment vous êtes-vous senti ce soir ?
B. P. : Bien. Je vais monter en puissance. Il me manquait un peu de jambes parce que tout s’est accéléré dans les derniers jours du mercato et j’ai dû enchaîner des tests.
Et votre intégration dans le vestiaire ?
B. P. : Je me sens bien dans cette équipe. J’ai été très bien accueilli par Medhi, le président, le coach, son staff et les joueurs. L’ambiance est très bonne. Il ne faut pas s’enflammer : ce n’est qu’un match et des rendez-vous importants arrivent.
Sans beaucoup d’entraînement avec Aguerd, comment s’est passée votre entente ?
B. P. : Très bien. C’est un joueur avec du vécu, de l’expérience, un international marocain, habitué des grandes compétitions. On a beaucoup parlé et beaucoup travaillé en vidéo avec le coach. En peu de temps ce n’est pas évident, mais on a fait un bon match et on va tous monter en puissance.
Pourquoi avoir choisi l’Olympique de Marseille ? Racontez-nous les coulisses.
B. P. : Marseille, c’est un club mythique avec une ferveur incroyable ; on l’a encore entendu aujourd’hui. Je voulais aussi me rapprocher de ma famille après des années à l’étranger. Ma femme est de Marseille, même si ce n’est pas elle qui décide de ma carrière. Le coach et le discours de Medhi m’ont tout de suite plu. Je me sens épanoui et je pense qu’on va monter en puissance.
Soyons francs : est-ce Adrien Rabiot qui vous a fait signer à l’OM ?
B. P. : Non. C’est un ami que je respecte beaucoup, on est souvent ensemble en équipe de France. Il m’a beaucoup parlé de Marseille, de la ville et des supporters. Je connaissais déjà l’ambiance du Vélodrome ; il m’a dit beaucoup de bien sur le club.
