Mercato OM : Ismaël Koné proche d'un transfert ou juste mis de côté ?

"Koné est sur le départ. Koné va probablement s'en aller, c'est pourquoi il n'y avait pas de sens qu'il s'entraîne avec nous." C'est la déclaration choc de la conférence de presse du jour de Roberto De Zerbi.

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Le coach de l'OM a ajouté que "C'est un choix du club. Ismaël Koné, on l'a voulu. Moi, je le voulais avec Mehdi Benatia. C'est un joueur très fort, un très bon garçon. Mais nous savons quel est notre objectif, nous savons quelle équipe nous voulons cette année, l'an prochain, et les années suivantes. Il n'a pas donné les signaux, il ne m'a pas montré qu'il était en mesure de faire partie de ce projet. C'est dommage, mais devant lui, il y a aussi beaucoup de concurrence : Højbjerg, Rongier, Rabiot. Moi, je fais jouer ceux qui le méritent. Et si lui ne le mérite pas, cela signifie qu'il y a quelqu'un devant lui qui fait quelque chose de plus, qui contribue à construire une équipe toujours plus forte."

Un petit loft hivernal ?

Mais vers où se dirige donc Ismaël Koné ? Eh bien, selon RMC Sport, son prochain club n'est pas encore défini. L'OM, déçu par son attitude et par le fait qu'il n'a pas répondu aux attentes, aurait décidé de lui faire comprendre qu'il devait partir cet hiver.

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OM-Lyon : Fonseca sera-t-il le coach lyonnais dimanche ?

L'Olympique Lyonnais a officiellement annoncé le départ de Pierre Sage de son poste d'entraîneur principal. Nommé en décembre 2023, Sage a conduit l'équipe de la dernière à la sixième place de Ligue 1 et a atteint la finale de la Coupe de France. Cependant, une série de résultats décevants a conduit à sa mise à l'écart. Le président John Textor, qui a décidé ce changement, est en discussions très avancées avec Paulo Fonseca, ancien entraîneur de Lille et de l'AC Milan, pour prendre la relève.

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Mais ce changement n'est pas encore officiel et, s'il est attendu ces prochaines heures à Lyon, il se dit que le Portugais pourrait attendre le début de la semaine prochaine pour prendre en main son équipe.

Cette possibilité, peu probable, prend tout de même de l'épaisseur avec la présence de Jorge Maciel, adjoint de Pierre Sage, en conférence de presse d'avant-match ce mercredi. Demain, les Gones doivent s'imposer contre Ludogorets pour valider leur place dans le top 8 de l'Europa League, synonyme de qualification directe pour les huitièmes de finale de la compétition. Maciel devrait donc vraisemblablement diriger l'équipe lyonnaise demain soir. Qu'en sera-t-il dimanche ?

Mercato OM : Le détail de l'offre pour Dedić qui va rejoindre l'OM !

L’Olympique de Marseille tient son nouveau renfort défensif. Comme confirmé par Fabrizio Romano et Fabrice Hawkins, Amar Dedić, latéral droit du RB Salzbourg, rejoint l’OM dans le cadre d’un prêt avec une clause d’obligation d’achat conditionnelle. Le joueur bosnien arrive à Marseille ce dimanche matin selon Foot Mercato, et devrait signer son contrat dans la foulée.

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Le montant de l’opération s’élève à 1,5 million d’euros pour le prêt, avec une clause d’achat fixée à 10 millions d’euros. Cette clause deviendra obligatoire si Dedić dispute au moins 50 % des matchs de l'OM d’ici juin. Ce deal structuré permet au club de s’assurer un renfort immédiat tout en maîtrisant ses finances.

Amar Dedić, capable d’évoluer sur les deux ailes de la défense, est perçu comme un profil polyvalent, idéal pour renforcer l’effectif de Roberto De Zerbi. À seulement 22 ans, il a déjà prouvé sa solidité défensive et sa capacité à se projeter vers l’avant avec Salzbourg et la sélection bosnienne.

Cette arrivée apporte de la concurrence et des solutions dans les couloirs marseillais, un secteur clé pour la seconde partie de saison. Reste à voir si Dedić saura s’imposer rapidement pour lever l'option d'achat.

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OM : Nice savait pour les banderoles…

Nice-OM : la polémique autour de la banderole controversée

Lors du match Nice-OM dimanche soir, une banderole controversée déployée par les ultras niçois de la Populaire Sud a suscité de vives réactions. Selon l’Équipe, la direction du Gym était au courant de l’existence de cette banderole, mais s’y était opposée. Comme avant chaque rencontre à domicile, les ultras avaient informé la direction du club, environ une semaine avant le match, qu’ils prévoyaient de déployer des banderoles. La préparation de ces dernières s’est déroulée dimanche matin sous la surveillance des équipes de sécurité et des caméras du stade. Dès midi, l’une des banderoles, comportant le message polémique « Le soleil se couche sur la ville de Nice, que la chasse aux rats commence », était visible sur le second anneau du stade. Cependant, ce n’est qu’en début d’après-midi, autour de 15 heures, que la direction du club a réellement pris connaissance du contenu des messages. Jugeant ces écrits déplacés, un représentant du Gym a contacté un responsable des ultras pour discuter de leur pertinence. Malgré un échange d’une trentaine de minutes et une consultation juridique, le club a conclu que ces messages n’étaient pas susceptibles d’entraîner des poursuites judiciaires, mais a néanmoins exprimé son opposition à leur déploiement. La direction de la communication du Gym a clarifié ce lundi que le club n’avait pas validé les messages, les jugeant inappropriés, et avait signifié son désaccord aux responsables des supporters. Pourtant, les banderoles ont été déployées lors du match, provoquant un tollé. Cette affaire pourrait avoir des répercussions pour l’OGC Nice, d’autant plus que des chants homophobes entendus durant la rencontre pourraient également lui coûter cher.

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Emran Soglo change de destination

Alors que tout semblait bouclé pour le départ d’Emran Soglo vers la MLS et le club de Chicago, un retournement de situation a finalement annulé cette piste. Selon La Provence, une offre jugée plus attractive est venue modifier les plans, empêchant le transfert du jeune latéral franco-anglais. Soglo, mis à l’écart par l’Olympique de Marseille depuis l’été dernier, semblait prêt à s’engager pour trois ans et demi avec le club américain afin de relancer sa carrière. N’ayant disputé que deux matchs avec la réserve dirigée par Jean-Pierre Papin en décembre, il cherchait à retrouver du temps de jeu ailleurs. Cependant, comme l’a initialement révélé L’Équipe et confirmé par La Provence, un autre projet a été proposé, jugé plus avantageux par le joueur et son entourage. L’identité de ce nouveau club n’a pas encore été révélée, mais le départ de Soglo reste d’actualité. Avec un contrat arrivant à échéance dans six mois, le jeune latéral pourrait quitter Marseille dès ce mercato hivernal. Le club olympien, de son côté, semble décidé à trouver une issue rapide à ce dossier, d’autant que Soglo ne figure plus dans les plans de l’entraîneur Roberto De Zerbi. Ce retournement de situation illustre les rebondissements fréquents du mercato, où les opportunités de dernière minute peuvent totalement redessiner les trajectoires des joueurs. Une chose semble néanmoins certaine : l’avenir d’Emran Soglo se dessine loin de l’OM, mais la destination exacte reste à découvrir.

OM : Ravanelli a la solution pour les arbitres ?

La controverse autour de l'arbitrage a atteint un nouveau sommet à l'Olympique de Marseille après le match nul contre Strasbourg (1-1), alimentée par un sentiment d'injustice qui ne cesse de croître au sein du club phocéen. Joueurs, entraîneurs et dirigeants ont adopté une ligne offensive, estimant que le club est régulièrement pénalisé par des décisions contestables. "C'est toujours contre nous" a déclaré le gardien Geronimo Rulli, exprimant une frustration partagée par l'ensemble du vestiaire. Vous pouvez retrouver les propos du gardien de but en vidéo. Pierre-Emile Hojbjerg s'est également interrogé publiquement sur DAZN, tandis que le président Pablo Longoria a laissé éclater sa colère en dénonçant une série d’erreurs arbitraires. 

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Cette indignation est le résultat d'une accumulation de décisions qui, selon l'OM, ont coûté des points précieux depuis le début de la saison. Parmi les faits marquants, un deuxième carton jaune jugé injustifié pour Derek Cornelius contre Nice, une expulsion rapide de Leonardo Balerdi à Lyon, ainsi qu'un penalty refusé contre le PSG qui a suscité de vives réactions. Les supporters et les observateurs du club estiment que l'OM est systématiquement défavorisé.

En interne, la stratégie de confrontation avec les instances arbitrales commence à être remise en question selon RMC Sport. Si Pablo Longoria, Medhi Benatia et Roberto De Zerbi estiment qu’il est nécessaire de monter au créneau pour se faire entendre, d'autres voix au sein du club appellent à une approche plus modérée. Fabrizio Ravanelli, ancien joueur et proche du club, préconise une attitude plus diplomatique. Selon lui, une meilleure communication avec les arbitres pourrait permettre de créer un climat de confiance mutuelle et d'éviter que le club ne se retrouve systématiquement en position de victime.

Le manque de cohérence dans l'application des règles est au cœur du problème pour l'OM. Lors de la récente défaite à Rennes, un penalty a été accordé pour une main d'Amir Murillo, une décision que la direction de l'arbitrage a elle-même qualifiée d'"erreur" par la suite. De tels revirements ne font qu'accentuer le malaise et alimentent la perception d'un traitement injuste. Pour l'OM, la question de l'arbitrage demeure un sujet brûlant qui conditionnera en partie la suite de la saison. Alors que le club continue de lutter pour une place en Ligue des Champions, il devient essentiel de ne pas laisser ces polémiques perturber les performances sur le terrain. Le club marseillais devra jongler entre la nécessité de faire entendre sa voix et la volonté de maintenir une relation constructive avec les arbitres, dans l’espoir d’éviter que cette situation ne devienne un frein à ses ambitions.

OM 3-2 Lyon : UN NOUVEAU BANGER !!!!!

Pour cette rencontre, Roberto De Zerbi opère un changement dans son onze, mais cela suffit à tout bouleverser. Nadir prend en effet la place de Neal Maupay. On pourrait penser que c'est pour laisser Greenwood en pointe et être le pendant de Rabiot en soutien. C'est le cas en principe, mais dans les faits, l'OM joue différemment, avec Quentin Merlin et Luis Henrique, très hauts, très larges, à sucer chacun leur ligne de touche. Beaucoup de mouvements, des appels en profondeur, mais pour, au final, très peu d'occasions. Murillo, sur un tacle dans la surface, essaie de profiter d'un cafouillage, mais ça ne va pas plus loin. C'est nettement insuffisant, il faut changer quelque chose à la mi-temps.

Roberto De Zerbi l'a déjà fait. Mais là, non. Il insiste avec le même schéma et la même formule. Ça ne paie pas, avec notamment Nadir qui frappe sans conviction alors qu'ils étaient plusieurs à l'accompagner. À force, ce qui doit arriver arrive : Lyon a une opportunité de contre. Ça finit une nouvelle fois avec un joueur, Tolisso, qui plonge dans le dos de Cornelius et trompe Rulli d'une frappe croisée. Ce n'est pas encore l'heure de jeu, alors RDZ tente l'entrée de Gouiri, acclamé par tout le stade, à la place de Nadir. Et sur son premier ballon, l'international algérien justifie l'enthousiasme. Il déstabilise avec un appel en profondeur, puis, quand il a le ballon, tente une balle vers le second poteau. C'est contré, Perri est trop court, ça se transforme en passe décisive pour Greenwood qui a suivi. Le Vél s'enflamme et contamine ses joueurs. Très discret jusque-là, Greenwood sort la louche parfaite dans la surface pour Højbjerg. Le Danois remet de la tête pour Rabiot, qui, lancé, croise la sienne comme il faut pour faire 2-1. Ça y est, c'est un match de feu. Problème : quelques minutes seulement après, Rabiot touche le ballon de la main dans sa surface sur un tir à bout portant. L'arbitre est rappelé par la VAR, penalty, et ça fait 2-2 avec une frappe puissante de Lacazette sous la barre. Tout est à refaire, et il y a de quoi se dire que l'OM loupe le coche quand Cornelius frappe sur Perri à bout portant sur une balle qui traîne après un corner. Mais dans les dix dernières minutes, c'est Pol Lirola qui adresse un centre parfait sur une possession marseillaise à Luis Henrique, qui déboule au second pour casser la cage.

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OM : Le Conseil National de l'Éthique charge Longoria

Ce dimanche, la 18e journée de Ligue 1 s'est conclue sur un nul entre l'Olympique de Marseille et Strasbourg (1-1). Malgré l'ouverture du score strasbourgeoise par Emanuel Emegha en première période, les Phocéens ont su réagir grâce à un penalty transformé par Mason Greenwood. Un résultat qui a laissé un goût amer aux Marseillais, notamment en raison de l'arbitrage de Bastien Dechepy. Le président marseillais Pablo Longoria a pris la parole pour exprimer son indignation au micro de DAZN :

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"Je n'aime pas m'exprimer après les matchs, mais basta jusqu'à quand ? Je ne sais pas quelle opinion vous avez, mais l'action du penalty sur Rowe, c'est un scandale. Cela occasionnait un but, et le joueur n'était pas en action de jouer le ballon. Qu'est-ce qu'il faut de plus ? Jusqu'à où on va arriver avec l'Olympique de Marseille ?" Le dirigeant espagnol a insisté sur le fait que cette frustration ne se limitait pas à cette rencontre, mais concernait l'ensemble de la saison : "Ça fait trop. Sur trop de matchs, je ne sais pas ce que l'on cherche, si on cherche à nous pénaliser. Si on se montre critique sur l'arbitrage, on cherche à nous pénaliser encore plus. Je ne comprends pas, il faut dire basta. Je ne me victimise pas. On a changé la dynamique du match, cela arrive à un moment où tu ne peux pas accepter ça. Chaque week-end c'est la même chose. Toute l'équipe est frustrée. Chaque week-end c'est la même chose. Je ne comprends pas ce qu'ils font dans la salle VAR. À un moment, Basta !"

Face à ces déclarations, le Conseil National d’Éthique et de Déontologie du Football a publié un communiqué ce mardi, mettant en garde les acteurs du football contre les propos publics discréditant l’arbitrage : "L’arbitre est un être humain, sujet comme nous tous aux erreurs, même si les progrès techniques réalisés depuis plusieurs années en réduisent la portée. Il demeure que l’erreur fait partie du jeu. Pour cette raison, il est permis de discuter d’une décision arbitrale, voire de la critiquer, tout en respectant le devoir de réserve prescrit par la Charte de l’éthique. Ce qui est interdit en revanche, et la règle est la même pour les décisions de justice, c’est de jeter le discrédit sur l’arbitrage. Accuser le corps arbitral dans son ensemble de partialité systématique au détriment d’un club, et ce, dans le but inavoué de souder ses supporters autour de lui ou pire, d’intimider les arbitres dans l’espoir d’obtenir un arbitrage plus « clément » dans l’avenir, est une faute grave contre l’éthique et une atteinte inadmissible à l’image du football."

Le Conseil a également fait savoir qu’il sera « particulièrement vigilant sur ce point », insistant sur la nécessité de respecter les règles éthiques du football professionnel.

OM : la FFF confirme qu'il n'y avait pas penalty contre Murillo à Rennes !

Une fois de plus, la direction technique de l'arbitrage peut remercier Geronimo Rulli. Le portier argentin de l'OM répare les injustices causées par les sifflets de Ligue 1. A Lyon en septembre, Lacazette était hors-jeu au moment de l'action où Valentin Rongier fait faute mais cela n'avait pas été pris en compte par la VAR. Pas un problème, l'Argentin avait arrêté la tentative. Il a récidivé samedi à Rennes, alors que la faute était carrément inventée par la VAR. L'arbitre n'avait rien sifflé sur ce ballon venu du ciel qui a effleuré la main de Murillo sans en changer la trajectoire. Mais appelé par la VAR, Abdelatif Kherradji n'a pas voulu aller contre ses confrères et il a désigné le point de penalty. Même si l'OM a gagné, il y avait des questions à se poser. 

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Ce lundi, la FFF, dont dépendent les arbitres, a communiqué comme prévu sur le sujet. Et le constat est sans appel, voici leur constat : 

"Dans la surface de réparation marseillaise, le gardien de but dévie un tir et le ballon s’élève dans les airs. Les joueurs n°62 marseillais et n°33 rennais sautent alors pour disputer le ballon de la tête. Ce dernier retombe sur le dos de la main du défenseur marseillais. L’arbitre ne détecte pas le contact entre le ballon et la main, et laisse le jeu se dérouler. L’arbitre vidéo vérifie la situation et invite l'arbitre à revoir les images en bord de terrain, jugeant cette absence de coup de sifflet comme une erreur manifeste. L’arbitre décide finalement de modifier sa décision initiale et accorde un pénalty comme sanction du contact entre le ballon et la main.

Le contact entre la main et le ballon se produit alors que le bras du défenseur redescend naturellement après le duel aérien, sans prise de risque du défenseur. Conformément aux Lois du jeu, la position du bras au moment du contact peut donc être considérée comme étant une conséquence du mouvement du corps du défenseur dans cette situation spécifique. Le visionnage en bord de terrain et le pénalty n’étaient donc pas attendus".

Comme relevé dans le Talk Show, que vous pouvez retrouver en vidéo, l'arbitre a voulu compenser en seconde période avec une main d'un défenseur de Rennes dans sa surface sur un coup franc d'Hojbjerg. Situation une nouvelle fois checkée par la VAR pour une annulation du penalty, pour toujours plus d'incohérence. A ce sujet, voici la position de la direction de l'arbitrage : 

"Un coup franc direct est frappé par le joueur n°23 marseillais depuis l’extérieur de la surface de réparation rennaise, avec un mur défensif positionné dans la surface de réparation. Dans la trajectoire du ballon, le joueur n°7 rennais, positionné dans le mur, touche le ballon de l’avant-bras droit et le dévie. L’arbitre ayant perçu ce contact, décide d'accorder un pénalty. L’arbitre vidéo vérifie alors si la décision de l'arbitre est une erreur manifeste et invite ce dernier à voir les images en bord de terrain afin de modifier sa décision initiale. L’arbitre décide finalement d'annuler le pénalty et reprend le jeu par une balle à terre dans la surface rennaise au profit du gardien de but. 

Les images montrent clairement que le joueur rennais tente de se protéger du ballon, en repliant les deux bras sur le torse. Ce geste du défenseur ne génère aucune augmentation artificielle de la surface couverte par son corps. Même si le contact entre le bras et le ballon existe, il ne revêt aucun caractère illicite au sens des Lois du jeu. L’arbitre vidéo est donc intervenu à bon escient et l'arbitre a corrigé sa décision avec lucidité".

On en revient donc toujours à ce manque de cohérence dénoncé par Pablo Longoria lors de son bilan du mois de décembre.

OM : sa relation avec De Zerbi, son rôle, sa concurrence avec Wahi… les confidences de Maupay

La semaine dernière, en conférence de presse, le coach était à ta place, et on lui a posé une question sur toi. Il a dit : "Moi, Neal, j’adore son sourire." J’imagine que tu as vu la séquence ou qu’on t’a rapporté ses propos. Il a ajouté : "Tout au long de mon séjour à Marseille, je veux Neal Maupay dans l’équipe." Je voulais savoir ce que tu en as pensé quand tu l’as vu ou entendu, et si tu penses que cela te met en position de force pour négocier un transfert définitif.

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Neal Maupay : "Franchement, je n’avais pas vu la séquence, je ne regarde pas vraiment les conférences de presse, je fais autre chose. Mais forcément, on me l’a envoyée, et ça fait toujours plaisir. Je m’entends super bien avec le coach. Avant la conférence, je lui avais glissé un mot en plaisantant : "Si on parle de moi, s’il vous plaît, coach…" Et je vois qu’il l’a fait, donc ça m’a vraiment touché. Sinon, je pense que le coach et moi, ça a matché dès le début. On partage la même mentalité, la même vision des choses. J’essaie de lui rendre cette confiance en travaillant pour lui et pour l’équipe. C’est sûr que quand un coach vous considère comme ça, ça fait plaisir. Mais il est comme ça avec tous les joueurs. Il sait nous mettre en confiance, et on se sent bien avec lui et son staff. Je pense que ça se ressent sur le terrain."

Sur cette fameuse déclaration de Roberto De Zerbi, et plus précisément quand il dit : "Neal Maupay ne va pas nous marquer 20 buts cette saison. Par contre, son investissement au quotidien, à l’entraînement, en match, et ce qu’il fait sur le terrain, c’est hyper important." Aujourd’hui, factuellement, vous êtes à 3 buts et 4 passes décisives en 15 matchs, toutes compétitions confondues. Je voulais savoir : à titre personnel, dans votre conception du poste d’attaquant, attendez-vous davantage de vous sur le plan décisif, ou le fait d’être important dans le jeu et dans le contenu vous suffit-il ?

Neal Maupay : "Pour moi, l’important, en venant ici, c’était d’aider l’équipe et de viser le plus haut possible en championnat, notamment une qualification en Ligue des Champions. C’est vraiment dans cet esprit que je suis venu. Bien sûr, au niveau des buts, je peux faire mieux, et je vais faire mieux. Je le sais, parce que je l’ai déjà fait par le passé et que j’ai toujours les mêmes qualités. Cependant, il faut aussi prendre en compte que mon rôle dans l’équipe est différent. Les stats, c’est bien, mais elles ne disent pas tout. Mon rôle ne se limite pas à être un attaquant qui reste devant en attendant que l’équipe joue pour lui. J’ai d’autres responsabilités sur le terrain. Par exemple, face à des blocs bas, je dois rester bien haut pour créer des espaces pour Adrien ou Mason. Parfois, je décroche pour leur permettre de faire des appels en profondeur. Comme on l’a vu à Rennes, sur le but de Mason, je me suis sacrifié pour qu’il soit seul derrière. Ce rôle me convient totalement. Tant que l’équipe tourne bien, je suis heureux. Après, c’est vrai que j’ai eu des situations où j’aurais pu mieux faire, et je travaille là-dessus tous les jours. Quand le coach dit que je ne marquerai pas 20 buts, je ne sais pas, mais ce que je sais, c’est que j’ai plus à offrir que ce que j’ai montré jusqu’ici. Ça va venir, j’en suis convaincu."

Je voulais te parler de ton profil et de cette concurrence avec Elye Wahi. On a compris que ça se passe très bien entre vous, même si lui, évidemment, doit être un peu déçu. En plus, il est blessé en ce moment, ce qui rend les choses encore plus compliquées. Honnêtement, penses-tu que ton profil correspond davantage à ce que demande l’entraîneur et au système actuel de l’OM ? On te voit passeur décisif, parfois buteur, mais surtout très solide dos au but. On a évoqué des défenseurs comme Pallois, qui ont eu du mal face à toi. Ton style semble vraiment bénéfique pour l’équipe, alors qu’Elye a un profil plus axé sur la profondeur. Est-ce que tu penses que c’est aussi ce qui te rend quasi indispensable aujourd’hui ?

Neal Maupay : "C’est une bonne question. Je pense que c’est une question d’équilibre et de ce que recherche le coach. Actuellement, dans ce qu’il nous demande de faire, il estime que mes qualités et mon profil sont plus adaptés à l’équipe. Après, c’est vrai qu’Elye est blessé en ce moment, mais comme je l’ai déjà dit, tout peut aller très vite, dans un sens comme dans l’autre. En début de saison, j’étais sur le banc, numéro 2 derrière Elye. Maintenant, je joue un peu plus, et l’équipe tourne bien, on gagne des matchs. Cela rend les changements compliqués pour le coach. Mais Elye a des qualités différentes des miennes. Il est jeune, et je suis certain que, quand il reviendra, il nous fera beaucoup de bien, car c’est un très bon attaquant. Arriver à Marseille à son âge n’est pas facile. Il y a beaucoup de choses à assimiler, mais je suis sûr qu’il va y arriver."

Les supporters marseillais interdits à Nice, les Lyonnais interdits à Marseille

La préfecture des Alpes-Maritimes a annoncé, ce mardi, l'interdiction de déplacement des supporters marseillais pour le derby face à Nice, prévu dimanche à l’Allianz Riviera. Cette décision repose sur des risques élevés de troubles à l’ordre public, alimentés par la forte rivalité entre les ultras des deux clubs.

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Sans surprise, cette mesure s’inscrit dans une série d’interdictions récurrentes concernant les supporters de l’OM lors des déplacements à haut risque. Toutefois, selon La Provence, le club phocéen a décidé de contester cette interdiction devant le tribunal administratif de Nice.

L’OM a déjà tenté par le passé de faire lever des interdictions similaires, notamment pour les matchs contre Nantes et Saint-Étienne, sans obtenir gain de cause. Une situation qui agace le club au plus haut point.

Pas de Lyonnais à Marseille

Dans le même temps, et par réciprocité, les supporters lyonnais ne seront pas présents à Marseille. Au match aller, les Olympiens s'étaient imposés dans un match mémorable (2-3), mais sans leurs supporters.

Un arrêté préfectoral interdit donc aux supporters lyonnais de se rendre à Marseille le 2 février pour l'Olympico, match de clôture de la 20e journée de Ligue 1. Cette interdiction découle des incidents survenus la saison dernière, où les bus des joueurs et des fans de l’OL avaient été pris pour cible aux abords du stade Vélodrome. De plus, des comportements racistes avaient été signalés dans le parcage visiteur lors de cette rencontre finalement reportée.