OM : un ancien arbitre rejoint le staff de l'OM !

Un ancien arbitre dans le staff de l'OM !

L’Olympique de Marseille a recruté Frank Schneider, ancien arbitre international, comme consultant arbitrage jusqu’en juin. Déjà expérimenté dans ce rôle à Strasbourg en 2022-2023, Schneider apporte son expertise au staff technique, notamment pour expliquer des situations de jeu, rappeler des règles et conseiller sur les attitudes à adopter. Présent lors des matchs à domicile, il éclaire en temps réel les décisions arbitrales pour la direction sportive.

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Cette initiative fait suite à une réflexion profonde initiée après la victoire tumultueuse contre Lyon (3-2), marquée par des tensions et une suspension pour Medhi Benatia. L’objectif est d’apaiser les relations parfois houleuses avec les arbitres français et de mieux appréhender leurs décisions.

Pour l'instant, Frank Schneider n'intervient pas directement auprès des joueurs, mais seulement auprès du staff technique et des dirigeants.

Bernès raconte sa rencontre avec Goethal

Dans La Provence, deux pages sont consacrées au légendaire Raymond Goethals, entraîneur ayant porté l'OM jusqu'à la victoire en Ligue des Champions, en 1993. L’ancien directeur général de l’OM, Jean-Pierre Bernès, raconte sa rentonre avec le Belge. "Avec (Bernard) Tapie, on cherchait un entraîneur. On avait deux possibilités : Tomislav Ivic et Raymond Goethals. Il m’avait demandé de m’occuper de Raymond. À l’époque, si on savait que Bernès et Goethals se rencontraient, ça faisait la Une des journaux. J’avais failli aller à Bordeaux avec (Gérard) Gili quand (Franz) Beckenbauer était arrivé. Tapie n’avait pas voulu. Avec Raymond, on a fait un bout de chemin chacun et on s’est rejoint à Carcassonne dans un petit hôtel à 14h. Il est arrivé avec Martin Lippens, j’étais seul. C’était comique, on avait dû payer d’avance. Et là, on a parlé des heures. Je lui ai dit qu’on cherchait un entraîneur pour gagner la coupe d’Europe. Il m’a dit : "Tu sais, si tu rencontres des entraîneurs et qu’il y en a un qui te dit qu’il va te faire gagner la coupe d’Europe, ne le prends pas." Il avait gagné la coupe des coupes avec Anderlecht, il savait que ça ne pouvait pas se prédire. Quand je suis rentré, j’ai dit à Bernard, qui était plus pro-Ivic, que c’était Raymond Goethals qu’il nous fallait. Il m’a dit : "Allez, on y va"."

Benatia-De Zerbi, l'union fait la force !

La collaboration entre Mehdi Benatia et Roberto De Zerbi s’impose comme un atout majeur pour l’Olympique de Marseille. Depuis l’arrivée de l’entraîneur italien, Benatia joue un rôle clé en tant qu’intermédiaire entre le staff technique et la direction. Leur lien, qualifié d’exceptionnel en interne, repose sur des échanges constants en italien, une vision partagée du football et une passion commune qui dépasse les simples obligations professionnelles.

De Zerbi, connu pour son tempérament passionné, n’hésite pas à solliciter Benatia à tout moment, même tard dans la nuit, pour des conseils tactiques ou des idées pour remotiver des joueurs en difficulté. Benatia, de son côté, s’investit pleinement, notamment après les moments de tension, comme après la défaite contre Auxerre. Il accompagne l’équipe, participe aux activités, et montre un soutien total au projet.

Leur collaboration ne se limite pas au terrain : ils travaillent main dans la main sur le recrutement, en proposant des profils adaptés à la philosophie du club, validés ensuite par Pablo Longoria.

OM : se réconcilier avec le jeu et le Vélodrome

Après la débâcle contre Auxerre, les déclarations de Roberto De Zerbi ont ravivé chez les supporters olympiens de mauvais souvenirs, rappelant un certain entraîneur argentin adulé qui, du jour au lendemain, avait décidé de quitter le navire après une défaite à domicile contre Caen (0-1). "Moi, vous savez, je suis quelqu’un de vrai. Je ne suis pas fourbe. Je ne tourne pas autour du pot, je viens de la rue. J’ai dit à Medhi Benatia et à Pablo Longoria que si le problème, c’est moi, je suis prêt à lâcher mon contrat et à abandonner l’argent que je dois toucher. Si le problème, c’est moi, je suis prêt à partir et à renoncer à ce contrat", avait lancé le coach italien à chaud vendredi soir. Depuis, le calme est revenu, et c’est bien reposé que De Zerbi a repris le chemin de l’entraînement ce jeudi, accompagné des 14 joueurs à sa disposition. Ce retour au travail est essentiel pour tenter de comprendre ce qui ne fonctionne pas dans le jeu de l’équipe, notamment à domicile.

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Redoutable à l'extérieur, trop fragile à domicile

Les performances contrastées de l’OM cette saison entre les matchs à domicile et ceux à l’extérieur soulèvent de nombreuses questions sur les raisons de cette dichotomie. À l’extérieur, les Olympiens affichent un visage conquérant, totalisant 15 points en six matchs (5 victoires et 1 défaite), avec une moyenne impressionnante de trois buts par match, surpassant même le PSG qui compte 14 points hors de ses bases. La dynamique offensive semble parfaitement déployée face à des équipes qui jouent davantage le jeu, laissant des espaces où la vitesse des attaquants phocéens peut s’exprimer. Cependant, au Vélodrome, le tableau est bien moins reluisant : avec seulement six buts marqués en cinq rencontres pour neuf encaissés, l’OM est à la 17e place des équipes à domicile, une statistique inquiétante pour une formation aux ambitions européennes. Face à des blocs bas, les Marseillais peinent à se montrer dangereux et la moindre erreur dans la construction se paie cash, laissant des espaces béants en défense du fait d’un bloc haut. La pression du Vélodrome semble également jouer un rôle : l’envie de bien faire se transforme parfois en une peur de mal faire, ce qui paralyse les initiatives et crée des doutes au sein de l’équipe. La question se pose alors : est-ce un problème purement mental, un manque de créativité pour déjouer des défenses regroupées, ou un mélange des deux ? Sans réponse rapide, l’OM risque de compromettre ses objectifs saisonniers, car le championnat ne se gagne pas seulement à l’extérieur, mais surtout à domicile. Pourtant Roberto De Zerbi a son idée.

De Zerbi donne sa version du problème 

Lors de l’entraînement ouvert aux médias ce mercredi, Roberto De Zerbi a profité de l'occasion pour clarifier son discours après le match contre Auxerre. Face aux journalistes, et sous le regard de quelques supporters présents dans le cadre du programme Peuple et Blanc, l’entraîneur italien a réaffirmé son engagement envers l’Olympique de Marseille. Il a insisté sur le fait que ses propos d’après-match avaient été mal interprétés, soulignant qu’ils visaient davantage à être transparents avec le public marseillais qu’à exprimer une quelconque résignation. Durant plus de dix minutes, De Zerbi a répondu aux questions sans esquiver, en répétant son attachement à l'OM et au Vélodrome, tout en maintenant fermement sa philosophie de jeu. Selon lui, le problème actuel au Vélodrome est d’ordre mental, et son discours doit permettre aux joueurs de se libérer, sans toutefois négliger une grande exigence. Le message de l’entraîneur et du staff est clair : la prestation contre Auxerre ne doit plus se reproduire, et chacun dans l’effectif doit redoubler d’efforts, y compris les plus talentueux. Cette rigueur s'est reflétée dans l’entraînement du jour, placé sous le signe de l’intensité. Dans chaque exercice, qu’il s’agisse de répétitions techniques, de travail physique ou d’oppositions, De Zerbi et son staff ont veillé à ce que l’engagement soit total, n'hésitant pas à rappeler à l’ordre ceux qui semblaient ralentir. Le groupe travaille sérieusement aux entraînements, mais le blocage persiste en match. Pour De Zerbi, même si les résultats à l’extérieur sont satisfaisants, le contenu des matchs reste loin de ses attentes. Il attend encore plus de ses joueurs, espérant voir bientôt la véritable identité de jeu qu’il souhaite imprimer à cette équipe marseillaise.

OM : Le point médical avant ASSE-OM

Voici le point médical actualisé de l’effectif :

Faris Moumbagna et Valentin Carboni sont actuellement indisponibles pour les prochains matchs, sans précision sur leur date de retour pour le moment.

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En phase de réathlétisation, Pol Lirola poursuit son travail sur le terrain. Le staff médical suit de près son évolution afin de s’assurer qu’il retrouve rapidement sa pleine forme.

À noter la reprise avec le groupe aujourd’hui de Ruben Blanco, Amine Harit et Derek Cornélius.

Concernant les absents de ce matin à l’entraînement : Luis Henrique, Leonardo Balerdi, Pierre-Emile Højbjerg, Adrien Rabiot, Neal Maupay, Valentin Rongier, Geoffrey Kondogbia et Ulisses Garcia ont suivi un programme individuel adapté.

OM : Rulli adoubé par ses pairs

De Zerbi cible des renforts défensifs pour le mercato hivernal

La victoire contre Monaco (2-1) et la conquête de la deuxième place en Ligue 1 n’ont pas occulté les besoins de l’effectif marseillais. Roberto De Zerbi et son staff poursuivent une analyse approfondie pour identifier les renforts nécessaires, en mettant l’accent sur une défense jugée fragile. L’entraîneur italien souhaite idéalement trois recrues défensives : deux défenseurs centraux, un droitier et un gaucher, ainsi qu’un latéral droit. Amir Murillo, titulaire actuel, pourrait être poussé vers la sortie, son départ permettant de libérer une place d’extracommunautaire et d’alléger les finances du club. Pour le remplacer, l’OM étudie plusieurs options, notamment Kiliann Sildillia (Fribourg) et Danilo (Juventus), ce dernier ayant l’avantage d’être polyvalent. Un autre dossier intrigue : Sacha Boey, latéral droit du Bayern Munich, perturbé par des blessures depuis son arrivée. Bien que le Bayern reste confiant sur son potentiel à long terme, un prêt pour retrouver du temps de jeu est envisagé. Une éventuelle arrivée de Boey, joueur français expérimenté en Ligue 1, offrirait une solution idéale pour le poste, sans engagement financier immédiat. Pour l’instant, aucun contact direct avec le Bayern n’a été établi, mais Medhi Benatia, conseiller sportif de l’OM, pourrait activer ses anciens réseaux bavarois si nécessaire. Les réflexions restent ouvertes alors que l’OM prépare un mercato déterminant pour solidifier ses ambitions en Ligue 1.

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Geronimo Rulli, le nouveau rempart de l’OM

Dimanche soir, Geronimo Rulli a encore brillé, jouant un rôle crucial dans la victoire de l’OM face à Monaco (2-1), une performance saluée unanimement. "C’est un grand gardien, un grand homme et un grand leader. On est chanceux de l’avoir", a déclaré Roberto De Zerbi, visiblement satisfait après cette prestation décisive qui permet à Marseille de grimper à la deuxième place du classement. Face à des joueurs comme Eliesse Ben Seghir et Aleksandr Golovin, le gardien argentin de 32 ans a multiplié les arrêts déterminants, ravissant les supporters. Comparé à Pau Lopez, son prédécesseur souvent critiqué, Rulli semble apporter une fiabilité et une régularité bienvenues. Pour Alain Casanova, ancien gardien de l’OM, Rulli s’impose comme "l’un des meilleurs du championnat". Il loue sa maturité, sa lecture du jeu et son calme, des qualités rares parmi les gardiens argentins. "Il n'a aucune faiblesse. Mentalement, il dégage de la maturité et de l'assurance. Ce qui m'impressionne chez lui, c'est sa faculté à rester concentré pendant toute la durée du match. Il n'a pas de temps faibles. Sa régularité est aussi une force.", souligne-t-il. Laurent Spinosi, ancien entraîneur des gardiens de l’OM, abonde dans ce sens. "C’est l’un des meilleurs de l’effectif. Il anticipe très bien, est très bon au pied, et apporte une sérénité qui manquait." Il pointe toutefois un léger défaut dans la technique de mains, compensé par sa capacité à diriger sa défense avec autorité. "À la limite, son seul défaut serait dans la technique de mains, on le voit parfois commettre de petites erreurs dans ce domaine, relâcher la balle, et plutôt sur des frappes anodines". Avec deux clean sheets en 13 matchs et une influence grandissante, Geronimo Rulli s’impose comme un atout majeur pour l’OM, salué par ses coéquipiers et adoré par les supporters. Son nom résonne déjà dans le virage Sud, et il pourrait bien devenir une figure emblématique, à l’image de Steve Mandanda.

OM 2-1 Monaco : Une victoire synonyme de tournant dans la saison de l'OM ?

L’Olympique de Marseille a décroché une victoire précieuse face à Monaco (2-1), dimanche soir. Un succès qui, selon Walid Acherchour, consultant pour DAZN, pourrait marquer un tournant décisif dans la saison olympienne. "Cette victoire doit être un point de bascule dans la saison de l'Olympique de Marseille en battant Monaco. Moi je trouve que Monaco est une équipe très très compétitive. Ce soir, ils l'ont encore montré défensivement. Il fallait renverser cette équipe monégasque. Après avoir fait une première mi-temps, je trouve convaincante pour l'Olympique de Marseille", analyse-t-il.

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"Se mettre dedans encore une fois avec cette relance de Rongier. Repartir au combat. Quand on voit que c'est encore Murillo qui est stoppeur qui va chercher ce pénalty, on voit des intentions du côté de l'OM. Je pense que ça doit être un point de bascule, un tournant dans cette équipe-là, dans cette saison-là, parce qu'ils ont montré qu'ils étaient malades au Vélodrome et qu'ils arrivaient à très très bien voyager. Je pense que ça doit leur donner beaucoup de confiance. Et quandon voit les images sur la fin de match, on sent l'importance de cette rencontre. Il y avait une communication tout autour cette semaine avec l'esprit commando, avec la mise au vert, ils sont récompensés. C'est quand même la deuxième victoire de suite après Lens sur une équipe qui peut jouer l'Europe. Tu vas à Saint-Étienne, tu reçois Lille, ça doit donner des perspectives très intéressantes pour l'Olympique de Marseille, pour être tout là-haut à la fin du championnat notamment."

Avec deux victoires consécutives face à des concurrents directs, l'OM semble trouver un second souffle. Prochaine étape : confirmer cette dynamique face à Saint-Étienne pour continuer à rêver des sommets.

Mercato OM : mauvaise nouvelle dans le dossier Boey ?

Alors que l’Olympique de Marseille prépare activement son mercato hivernal, la recherche de renforts défensifs est au cœur des priorités. Parmi les noms évoqués, celui de Sacha Boey, ancien Rennais désormais au Bayern Munich, fait rêver les supporters. Selon Foot Mercato, le club phocéen a pris des renseignements sur le latéral droit, mais la piste semble compliquée.

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Arrivé en janvier dernier au Bayern pour 30 millions d’euros, Boey, 24 ans, n’a pas eu un parcours facile en Allemagne. Entre blessures et temps de jeu limité (seulement six matchs joués), il peine à s’imposer. Pourtant, malgré ces difficultés, le joueur reste déterminé à réussir en Bavière. Avec un contrat jusqu’en 2028 et un récent retour à la compétition après une déchirure du ménisque, le Français est loin de penser à un départ, et le Bayern n’envisage pas de le prêter cet hiver. Boey peut également compter sur le soutien de ses compatriotes au sein de l’effectif bavarois, tels que Mathys Tel, Dayot Upamecano ou Kingsley Coman, ainsi que sur les conseils avisés de Vincent Kompany. Dans une interview récente à Foot Mercato, le joueur confiait : "Quand un ancien grand défenseur comme lui te donne des conseils, tu es forcément plus à l’écoute."

Pour l’OM, cette piste semble donc inaccessible pour le moment. Si Pablo Longoria cherche activement des solutions, notamment en cas de départ d’Amir Murillo, l’arrivée de Sacha Boey devra donc attendre.

Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

Mercato OM : l'OM prêt à recruter au Bayern en janvier ?

L’Olympique de Marseille continue d’ajuster ses ambitions en vue du prochain mercato hivernal, et le nom de Sacha Boey, latéral droit du Bayern Munich, figure parmi les profils étudiés, selon L'Équipe. Le défenseur français, récemment remis d’une blessure, pourrait être une solution envisagée par les dirigeants marseillais, même si d’autres options sont également à l’étude. La victoire importante contre Monaco (2-1) dimanche soir, combinée à la montée provisoire à la deuxième place de Ligue 1, n’a pas occulté les besoins structurels de l’équipe. Roberto De Zerbi, bien conscient des lacunes de son effectif, continue d’analyser en profondeur les forces et faiblesses de son groupe.

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L’entraîneur italien, selon les informations déjà dévoilées ce week-end, souhaite recruter au moins trois nouveaux joueurs pour solidifier son arrière-garde. Deux défenseurs centraux, l’un droitier et l’autre gaucher, sont recherchés, tout comme un renfort pour le poste de latéral droit. Ce dernier point est d’autant plus crucial que l’actuel titulaire au poste de latéral droit, Amir Murillo, est poussé vers la sortie. Titulaire en tant que central droit dans le 3-4-2-1 du moment de l'OM, Murillo n'a pas rassuré défensivement ce dimanche, même si sa volonté offensive en fin de match a fait la différence, puisque c'est lui qui va provoquer le penalty de la victoire avec son centre dans les dernières minutes qui sera touché de la main par Mawissa. L’international panaméen, qui conserve une certaine valeur marchande, pourrait permettre à l’OM d’alléger sa masse salariale et de libérer une place d’extracommunautaire en cas de transfert cet hiver. En prévision de ce départ, les dirigeants marseillais ont commencé à explorer plusieurs pistes. Parmi celles-ci, des noms tels que Kiliann Sildillia (22 ans, Fribourg), déjà courtisé cet été, ou encore Danilo (33 ans, Juventus Turin), un joueur expérimenté capable d’évoluer à plusieurs postes défensifs, ont été évoqués.

Mais un profil plus récent est venu enrichir cette liste de potentiels renforts, selon le quotidien sportif : Sacha Boey. Le latéral droit, âgé de 24 ans, connaît une situation compliquée au Bayern Munich depuis son arrivée en janvier dernier en raison de pépins physiques. Toutefois, son retour à la compétition après deux mois d’absence pour un problème au ménisque relance les discussions sur son avenir immédiat. Malgré ses blessures, Sacha Boey reste un joueur apprécié au Bayern Munich, où il est sous contrat jusqu’en 2028. Cependant, le club bavarois envisagerait de le laisser partir temporairement afin qu’il retrouve du temps de jeu et progresse après une longue période d’indisponibilité. Pendant son absence, Raphaël Guerreiro, habituellement gaucher, a brillamment occupé le flanc droit de la défense, permettant au Bayern de maintenir son invincibilité en Bundesliga. Konrad Laimer, milieu de terrain, est également utilisé en tant que latéral droit par Vincent Kompany lorsque l’ancien joueur de Lorient n’est pas disponible. À noter que Josip Stanisic, prêté à Leverkusen l’an dernier par l’ogre bavarois, est également présent dans l’effectif. Autant dire que l’horizon de Boey, 19e joueur du Bayern au classement des temps de jeu cette saison, semble bouché, alors qu’il avait été recruté un peu en catastrophe en janvier dernier, lors d’une cascade de blessures dans l’effectif allemand.

Pour le moment, aucun contact direct n’a été établi entre l’Olympique de Marseille et le Bayern Munich. Cependant, Medhi Benatia, conseiller sportif de l’OM et ancien joueur du Bayern, pourrait jouer un rôle clé dans ce dossier. Grâce aux relations qu’il a conservées en Allemagne, Benatia pourrait faciliter les négociations si le club marseillais décidait de passer à l’action. Selon toute vraisemblance, il ne pourrait s’agir que d’un prêt.

Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM : Une belle offre pour Luis Henrique ne serait plus surprenant ?

Luis Henrique, âgé de seulement 23 ans, connaît une première moitié de saison 2024-2025 remarquable avec l'Olympique de Marseille . Après un retour inattendu en janvier 2024, suite à un prêt à Botafogo, il s'est imposé comme l'un des joueurs les plus décisifs de l'effectif marseillais (à égalité avec Mason Greenwood), totalisant 7 buts et 6 passes décisives en 16 matchs toutes compétitions confondues.

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Sous la direction de Roberto De Zerbi, Luis Henrique a considérablement progressé. L'entraîneur italien a su exploiter son potentiel, notamment en le positionnant comme piston lors des cinq derniers matchs, rôle dans lequel il a excellé. Cette polyvalence témoigne de sa capacité d'adaptation et de sa compréhension tactique.

Cette montée en puissance n'est pas passée inaperçue. Critiqué à son arrivée en 2020, Luis Henrique a su inverser la tendance et convaincre les observateurs les plus sceptiques. Sa prolongation de contrat jusqu'en 2028, signée en août dernier, illustre la confiance que le club place en lui et son importance croissante au sein de l'effectif.

Luis Henrique est passé du statut de joueur en devenir à celui de titulaire indiscutable de l'Olympique de Marseille, encore plus dans ce nouveau rôle de piston droit. Sa progression fulgurante sous la houlette de Roberto De Zerbi, sa polyvalence et son efficacité offensive en font l'une des révélations de cette première partie de saison en Ligue 1. Il peut même désormais raisonnablement se prendre à rêver d'une sélection avec la Seleção.

OM : Højbjerg évoque son entente avec Rabiot et Rongier

La semaine dernière, Adrien Rabiot nous a parlé de vous, de l’homme qu’il a découvert et de l’impression que vous dégagez, sur le terrain comme en dehors. Pouvez-vous, à votre tour, nous parler du joueur que vous avez rencontré ici à Marseille ? Comment se passe votre relation sur le terrain et également en dehors, où vous semblez avoir développé une certaine complicité au fil de votre expérience ?

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Pierre-Emile Hojbjerg : "En fait, ma première rencontre avec Adrien, c’était pendant la Coupe du Monde 2022 au Qatar, lorsque nous avons joué contre la France. Honnêtement, après l’avoir affronté, je peux dire que c’est encore plus agréable de jouer avec lui. Il est rapide, puissant, et possède une grande expérience. C’est aussi un joueur avec un excellent sens du but. Pour moi, il est capable de travailler autant défensivement qu’offensivement. C’est également un joueur très polyvalent, capable de s’adapter à différents postes grâce à ses qualités. Et même si cela fait peu de temps qu’il est ici, on a déjà vu qu’il peut beaucoup apporter à l’équipe, par son jeu et son attitude. Être à ses côtés, c’est un plaisir, car j’ai le sentiment que nous partageons une vision commune sur beaucoup de choses. Cela facilite les échanges et les discussions. C’est aussi quelqu’un de bien élevé, avec de bonnes valeurs, et toujours de bonne humeur. Cela crée une belle atmosphère dans le vestiaire, pour moi et pour l’ensemble de l’équipe."

J’ai deux questions, s’il te plaît. La première concerne Valentin Rongier : peux-tu confirmer qu’il vous a apporté de l’équilibre et mis les choses en ordre, comme l’a dit le coach ? Et l’as-tu vu, à tes côtés, ne jamais désespérer ni lâcher, même en début de saison, lorsqu’il n’avait pas beaucoup de temps de jeu ?

Pierre-Emile Hojbjerg : "Valentin, je me souviens l’avoir affronté en 2022, en Ligue des Champions. Déjà à l’époque, je voyais un joueur avec des qualités évidentes : très propre techniquement et à l’aise avec le ballon. En arrivant ici à Marseille, j’ai retrouvé ces mêmes qualités. Mais au-delà de ça, il a une personnalité marquée par le sérieux et la rigueur.Tu vois qu’il a été capitaine pendant plusieurs années, et ça se ressent dans son attitude. Depuis le premier jour où je suis arrivé, il n’a jamais lâché. Comment il est revenu dans l’équipe, notamment récemment, c’est impressionnant. Il a livré un super match. Des joueurs comme lui sont essentiels pour montrer aux autres comment se comporter, comment tenir bon quand les choses deviennent plus compliquées. Oui, il a montré la voie et il l’a très bien fait. Maintenant, il faut continuer : continuer à montrer ses qualités, continuer à faire les choses de la bonne manière et à être un exemple. Parce que plus on a de leaders et de personnes qui prennent des responsabilités dans le vestiaire, plus l’équipe va grandir. Et, au final, c’est tout ce qu’on souhaite."

On vient de parler de Valentin Rongier, mais je voulais vous interroger sur ce milieu à trois avec Adrien Rabiot la semaine dernière. On a ressenti quelque chose de nouveau, un trio qui a vraiment porté l'équipe et réussi à la stabiliser. Bien sûr, il y a d’autres joueurs et une grosse concurrence au milieu, même si certains se démarquent, comme vous. Mais on a vu un milieu fort et costaud. Que pouvez-vous nous dire de cette complémentarité entre vous trois ?

Pierre-Emile Hojbjerg : "Je peux dire que c’était un milieu de terrain avec un peu plus d’expérience. Nous avons tous déjà joué de nombreux matchs professionnels au fil des années. Cela apporte une certaine stabilité et une meilleure gestion des moments clés. Après, c’est au coach de décider ce qu’il pense être la meilleure combinaison pour l’équipe. Mais c’est vrai que, la semaine dernière, c’était vraiment intéressant. Ça a bien fonctionné, et on a ressenti une vraie solidité."

OM : McCourt a accepté un "risque financier" cet été

Deux matches de fermeture pour une partie de Geoffroy-Guichard mais pas face à l'OM

La commission de discipline a décidé de sanctionner l'ASSE pour usage de fumigènes lors de la rencontre contre l'OM. Les parties basses des tribunes Paret et Snella seront fermées pour deux matches, dont un par révocation d’un sursis. Toutefois, ces sections resteront ouvertes pour le match de Coupe de France face à l’OM le 22 décembre, car la sanction ne prendra effet qu'à partir du 24 décembre. Côté joueurs, Pol Lirola, pour son tacle violent sur André Gomes (LOSC), écope de deux matches ferme de suspension. Une décision qui confirme la sévérité de la commission face aux incidents récents.

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Le bilan de mi-saison dressé par Pablo Longoria

Dans la salle de presse du Vélodrome, Pablo Longoria s'est livré à un exercice devenu un rituel pour l'OM : un point d'étape à mi-saison. Lors de cette conférence de presse d'une heure et quart, le président marseillais a exprimé sa satisfaction quant aux résultats obtenus et au travail mené par l'entraîneur Roberto De Zerbi et son staff. Avec une moyenne de deux points par match en Ligue 1 (30 points en 15 journées), les objectifs fixés en début de saison, notamment la qualification pour la Ligue des champions, sont pour l'instant respectés. Longoria, en poste depuis près de quatre ans, a insisté sur l'importance de maintenir cette dynamique positive. Il a salué les progrès réalisés, autant dans le jeu que dans l'organisation du club, tout en soulignant que ce projet ambitieux reste en phase de construction. Ce plan, présenté à l'actionnaire Frank McCourt, repose sur une vision à trois ans. McCourt a accepté un "risque financier" pour bâtir une équipe compétitive malgré l'absence de coupe d'Europe cette saison. Pour autant, Longoria a rassuré sur la stabilité économique du club et exclut toute vente de joueurs clés lors du prochain mercato. L'une des décisions marquantes de ce nouveau cycle a été la création d'un "loft" pour les joueurs indésirables, permettant de restaurer discipline et clarté dans l'effectif. Longoria considère cette initiative comme essentielle pour relancer le club après une saison précédente décevante, conclue à une 8ᵉ place. Avec un effectif renouvelé et un entraîneur en totale adéquation avec les attentes, l'OM semble retrouver des bases solides pour viser les sommets. Ainsi, Pablo Longoria, mesuré mais ambitieux, donne rendez-vous en fin de saison pour évaluer pleinement cette première phase encourageante.