Mercato OM – Balerdi déjà sur les tablettes de la Juventus pour janvier ?

Le marché de la Juventus s’est achevé avec deux recrues offensives arrivées dans les dernières heures. Loïs Openda a été prêté avec option d’achat obligatoire par Leipzig, tandis que Edon Zhegrova a rejoint Turin en provenance du LOSC. Deux renforts précieux pour l’attaque d’Igor Tudor, renforcée également par la présence maintenue de Dusan Vlahovic. Après l’échec du long dossier Kolo Muani, le club a choisi de frapper fort en toute fin de mercato.

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Comolli mise sur la planification

Il s’agissait de la première fenêtre de transferts pilotée directement par Damien Comolli, nommé directeur général et encore sans directeur sportif à ses côtés. Conscient des limites de cette configuration, le dirigeant français veut désormais anticiper. L’idée est claire : préparer les coups à l’avance et entrer plus tôt sur les dossiers pour la session hivernale de 2026.

Yildiz, la nouvelle bandiera

Le dossier prioritaire concerne Kenan Yildiz. La Juventus négocie une prolongation jusqu’en 2030 avec une revalorisation salariale significative, passant d’environ 1,5 million à 5 millions d’euros (bonus inclus). Un signal fort pour repousser les offres insistantes venues de Premier League, où Chelsea s’est déjà manifesté. L’objectif est d’ancrer le jeune international turc comme figure emblématique du club.

Trois pistes chaudes pour janvier

Au milieu, le nom de Dani Ceballos reste suivi de près, le joueur étant encore au Real Madrid mais potentiellement disponible à moindre coût. Ce n'est pas un sujet pour Marseille puisque Pablo Longoria, échaudé par la tournure des événements et notamment la position du joueur, ne veut plus trop en entendre parler pour Marseille. Il s'agit de toute façon désormais de faire confiance aux deux nouveaux venus, Vermeeren et O'Riley.

Mais l'information principale vient de la défense puisque selon Calcio Mercato, le profil de Leonardo Balerdi est réactivé pour cet hiver. D'autant plus que sa place à Marseille en défense centrale est menacé par Aguerd et Pavard, observe le média italien. Enfin, sur le flanc droit, la Juve reste attentive : après l’échec des négociations pour Clauss et Boey, les options mènent à Mazraoui (Manchester United), Dodò (Fiorentina) et Molina (Atlético de Madrid). 

Pour rappel, la Juventus a démarré son championnat avec deux victoires et zéro but encaissé. Malgré les spéculations des médias, Tudor va peut-être vouloir continuer avec la même défense. Et surtout, du côté de l'OM, Leonardo Balerdi se sera probablement repris après son début de saison poussif pour redevenir un élément-clé de l'équipe. Comme vous pouvez le voir sur le plateau du Talk Show de jeudi dernier, il n'est en tout cas pas écarté d'office pour les prochaines compositions d'équipe. 

Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM – Retard à l'allumage !

On ne va pas se mentir : ce début de saison n’a rien d’idéal. L’OM donne l’impression d’avoir du mal à enclencher la première, comme un moteur qui tarde à chauffer. Avec seulement 3 points sur 9 possibles, l’équipe se retrouve déjà sous le feu des critiques. Mais au-delà du résultat brut, il faut regarder la situation dans son ensemble. Le mercato n’est pas encore terminé, plusieurs recrues sont attendues, et deux joueurs censés être importants, Medina et Paixão, manquent déjà à l’appel. Ce que l’on voit aujourd’hui n’est pas le visage définitif de l’OM version 2025-2026. Il y a de quoi s’agacer, évidemment, mais il y a aussi de quoi relativiser. La saison ne se joue pas en trois journées, elle se construit sur la durée.

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Une équipe en chantier permanent

Le constat est clair : l’OM joue sans ses armes complètes. À Lyon, ce n’était pas un problème d’envie, ni même de courage. L’équipe a tenu longtemps à dix contre onze avant de céder en toute fin de match sur un but contre son camp cruel de Balerdi. Mais le vrai problème est ailleurs. En défense, Facundo Medina, recruté pour solidifier l’axe, n’a pas encore pu s’exprimer, entre suspension et blessure. Sur les côtés, les ajustements sont encore en cours. Et devant, Igor Paixão, annoncé comme une des armes offensives majeures de l’été, est lui aussi à l’arrêt. Autrement dit, le onze que l’on voit depuis deux semaines n’est qu’une version provisoire, bricolée, loin de l’idée que Roberto De Zerbi veut imposer sur la durée.

Ce n’est pas pour excuser les résultats, mais pour rappeler un fait simple : on ne construit pas une saison en août. L’OM doit encore intégrer ses recrues, trouver des repères collectifs, installer des automatismes. Tant que ce travail n’est pas accompli, il y aura des ratés. Lyon en a profité, Rennes aussi, et Marseille se retrouve à regarder le classement avec un sentiment d’inachevé. Mais cette impression est logique : l’équipe est encore en chantier.

Entre colère et lucidité

Les supporters ont évidemment le droit de rager. Commencer la saison par deux défaites en trois matches, ce n’est pas ce qu’on attend d’un club qui affiche l’ambition de jouer le haut de tableau. On aurait voulu voir un OM plus tranchant, plus abouti, capable de transformer l’enthousiasme de la préparation en points concrets. Mais il faut aussi garder la tête froide. Le championnat est une montagne russe, pas un sprint sur une ligne droite. Chaque saison connaît ses turbulences, ses creux, ses passages compliqués. Le problème, c’est que cette fois, ils arrivent dès le début, ce qui donne l’impression d’un retard à l’allumage.

L’histoire récente montre surtout que l’OM n’avance jamais en ligne droite. Il y a toujours des secousses, des périodes de flottement, avant de retrouver un élan. Ce club vit dans l’intensité, parfois même dans l’excès, et c’est aussi ce qui en fait sa force : savoir transformer la turbulence en énergie. Alors oui, on peut regretter les points déjà perdus, mais on peut aussi se dire qu’ils ne pèsent pas lourd quand il reste encore 31 matches à jouer.

Des raisons d’y croire

Pourquoi garder confiance ? Parce que le mercato n’est pas terminé. Dans les prochains jours, plusieurs recrues sont attendues, et elles doivent changer la donne. Emerson Palmieri dans le couloir, Arthur Vermeeren pour dynamiser le milieu, Nayef Aguerd pour renforcer l’axe défensif… autant de noms qui, ajoutés aux forces déjà en place, donneront un tout autre visage à cette équipe. Quand tout le monde sera opérationnel, l’OM devrait avoir fière allure.

Il y a bien sûr la patte de Roberto De Zerbi. L’entraîneur italien ne panique pas, il sait que les débuts peuvent être brouillons et mise sur la progression dans le temps. Mais son approche divise. Certains apprécient cette volonté de construire patiemment, d’autres en ont déjà assez d’un jeu jugé trop stérile, sans panache, loin de l’esprit "Droit au but". Entre patience et impatience, De Zerbi marche sur un fil : il doit transformer son discours en résultats visibles, et vite.

Rien n’est encore écrit

Oui, il y a un retard à l’allumage. Mais ce n’est pas une panne moteur définitive. L’OM a connu un début de saison frustrant, avec un mercato encore incomplet et des blessures qui compliquent tout. Ce serait malhonnête de dire que tout va bien, mais ce serait tout aussi faux de dire que tout est foutu. La vérité est entre les deux. L'OM doit serrer les dents, accepter de traverser cette période de flottement, et croire en son potentiel. Car avec les renforts annoncés, les retours de blessure et la stabilité qui viendra, cette équipe peut encore tout changer.

Les supporters attendent, comme toujours, d’être enflammés. Et l’OM a les moyens d’allumer l’étincelle, même si le moteur a tardé à démarrer.

Real 2/1 OM – AS, Mundo Deportivo, Cadena SER, Marca… tous saluent la performance de l'OM !

Guti (ancien joueur du Real Madrid, désormais consultant TV)

"Ça a été difficile pour le Real Madrid. En première mi-temps, je pense que le Real Madrid était supérieur, ils ont contrôlé le jeu et ont eu le plus d’occasions. C’est vrai qu’en seconde période, plus à cause de l’aspect physique, l’équipe a un peu baissé de régime et a eu du mal à aller jusqu’au but de l’Olympique de Marseille. C’est une performance individuelle qui a permis de gagner ce match".

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Anton Meana (Cadena SER)

"L’Olympique de Marseille a bien joué, mais la victoire est à l’avantage des Merengues. Xabi Alonso réalise un excellent début de saison en Ligue des champions".

AS

"Marseille veut être une équipe de qualité. Ils ont recruté onze joueurs pour dépasser le statut de fidèle adversaire du PSG en France et regagner un peu de prestige en Europe en conservant Roberto De Zerbi, un de ces entraîneurs qui, au-delà des résultats, s’efforcent de laisser leur empreinte : des mouvements de balle impeccables, un pressing ambitieux, des joueurs au jeu de jambes performant, toujours tournés vers l’avant et prenant parfois des risques extrêmes. Il a décidé d’offrir un jeu ouvert, une qualité que l’équipe de Xabi Alonso n’avait pas connue jusqu’alors, et ils lui en ont été reconnaissants, même si son enthousiasme a fortement désorganisé la défense. Marseille a aussi craché du feu. Aubameyang a eu l’occasion de passer le score à 2-1. Rulli a prolongé son statut de héros. Greenwood et Weah se sont montrés de plus en plus menaçants".

Mundo Deportivo

"Le Real Madrid a battu Marseille grâce à deux penalties. En vérité, il y a eu 15 minutes spectaculaires en début de match, avec un Real Madrid aux commandes mais incapable de marquer, et une équipe de Marseille qui ne laissait aucun doute sur le fait qu’elle n’était pas venue à Madrid pour le tourisme. Et l’équipe française l’a clairement démontré. Le Real Madrid a débuté en Ligue des champions avec une victoire âprement disputée".

Marca

"C’est encore Mbappé qui a assuré la victoire, transformant cette fois deux penaltys, dont un sévère, pour une équipe madrilène qui méritait bien mieux en première période."

Pablo Longoria réagit au tirage de la Ligue des champions et évoque le cas Rabiot

Un tirage attendu et une ambition claire

Le tirage au sort de la Ligue des champions a été accueilli avec solennité par l’Olympique de Marseille. Pour Pablo Longoria, ce retour dans la compétition n’est pas une finalité mais une étape. Le président a rappelé que la véritable ambition du club est la constance : être présent chaque saison dans le gratin européen.

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Aller loin en Europe, un cap assumé

Le dirigeant marseillais ne s’est pas contenté de souligner l’importance de la qualification. Il a également affirmé sa volonté de voir l’OM performer : « Évidemment, cette saison on va essayer d'aller le plus loin possible. » Ce discours reflète une volonté de renforcer l’image d’un club compétitif et crédible sur la scène continentale.

Le dossier Rabiot, une question sensible

En parallèle, la situation d’Adrien Rabiot occupe une place centrale dans l’actualité du club. Arrivé l'été dernier pour apporter son expérience, le milieu est écarté du groupe depuis plus d’une semaine. Face à ce dossier, le président a choisi de ne pas esquiver. Il a ouvertement tendu la main en rappelant que la discussion restait possible : « La porte de mon bureau est toujours ouverte, que ce soit pour Rabiot ou un autre. La chose la plus importante c'est d'avoir des discussions sincères. » Un message d’apaisement qui laisse entrevoir une issue négociée, si les conditions s’y prêtent.

Un équilibre fragile à trouver

Entre l’ambition européenne affichée et la gestion interne d’un vestiaire exigeant, l’OM marche sur un fil. Le club sait que sa crédibilité sur la scène continentale passera autant par ses résultats que par sa capacité à maintenir la cohésion dans un groupe en pleine construction.

OM – Rami explique où Balerdi s'est vraiment manqué contre Lyon

Ancien défenseur de l’Olympique de Marseille (2017-2019), Adil Rami s’est penché sur l’action qui a fait basculer le choc entre Lyon et l’OM. Sur sa chaîne Twitch, il est revenu en détail sur l’expulsion de CJ Egan-Riley en première période, après une erreur technique de Leonardo Balerdi qui a offert une opportunité décisive aux Lyonnais.

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Un problème de placement avant la passe ratée

Pour Rami, la véritable faute n’est pas seulement la remise en retrait manquée de l’Argentin. L’ancien international français a pointé un défaut de placement en amont : "Logiquement, dans le travail qui a été mis en place par De Zerbi, c’est du un contre un. Sauf que là, Balerdi se tient loin de Tolisso. Du coup son placement déséquilibre toute l’équipe". Une analyse qui met en lumière un manquement tactique plus global.

Le rôle de Tolisso et l’impact du pressing lyonnais

D’après Rami, le vrai danger est venu du désintérêt momentané du défenseur marseillais pour Tolisso. Le milieu lyonnais a pu s’installer dans l’espace, profiter du pressing réussi de Merah et lancer Malick Fofana en profondeur. C’est cette séquence qui a mené à la faute d’Egan-Riley et à son expulsion, changeant radicalement le cours du match.

Un rappel sur l’importance de la concentration défensive

Pour l’ex-Phocéen, rater une passe peut arriver, mais c’est le relâchement mental qui coûte cher à ce niveau. Rami a insisté sur le fait qu’un joueur doit rester concerné par son duel, même après une erreur technique. Ce décalage de quelques mètres et ce manque de réactivité ont suffi à plomber l'équipe, offrant une brèche fatale à Lyon.

OM/Lorient – des indices sur la compo de De Zerbi !

Une défense inédite

De Lange – Murillo, Pavard, Aguerd, Medina – Gomes, Hojbjerg – Greenwood, Nadir, Traoré – Gouiri

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La même chose

De Lange – Murillo, Pavard, Aguerd, Medina – Gomes, Hojbjerg – Greenwood, Nadir, Traoré – Gouiri

O'Riley lancé dans le grand bain ?

De Lange – Murillo, Pavard, Aguerd, Medina – Gomes, Hojbjerg – Greenwood, O'Riley, Traoré – Gouiri

Et Lorient ?

L'Équipe propose le onze de départ suivant pour la probable composition d'équipe d'Olivier Pantaloni.

Bamo Meïté titulaire ?

Mvogo – Meïté, Talbi, Faye – Mvuka, Avom Ebong, Abergel, Kouassi – Tosin, Soumano, Karim

Mercato OM – Meité vers un club de L1 ?

Bamo Meité, un retour annoncé en Bretagne

Le FC Lorient s’apprête à accueillir un visage bien connu. Selon Ouest France, Bamo Meité devrait être prêté par l’Olympique de Marseille aux Merlus. Le défenseur central ivoirien avait déjà évolué en Bretagne en 2023, où il s’était affirmé, notamment contre l'OM de Tudor. Ce retour apparaît comme une opportunité pour relancer sa dynamique après une période plus discrète à Marseille.

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Un profil taillé pour la mission maintien

Pour Lorient, en difficulté sur le plan défensif ces derniers mois, l’arrivée d’un joueur déjà intégré au club représente un atout non négligeable. Puissant dans les duels, capable d’évoluer dans une défense à trois ou à quatre, Meité correspond parfaitement aux besoins actuels des Bretons. Son expérience du championnat et sa connaissance du vestiaire lorientais devraient lui permettre de s’imposer rapidement.

Un précédent encourageant

Lors de son premier passage à Lorient, Meité avait impressionné par sa maturité et sa régularité. Ses performances lui avaient ouvert la porte de l’OM, qui l’avait recruté pour préparer l’avenir. Ce nouveau prêt pourrait donc lui permettre de retrouver la confiance et le rythme qui avaient fait de lui l’une des belles surprises de la saison 2022-2023. Les supporters bretons, qui n’avaient pas oublié son apport, voient déjà en lui un renfort déterminant dans la quête du maintien.

Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

Mercato OM – l'OM OK sur la dernière offre du Milan pour Rabiot

Adrien Rabiot se serait engagé pour un contrat de quatre ans avec le Milan AC et passera sa visite médicale lundi à Milan selon Fabrizio Romano. Malgré l'arrivée de Vermereen, il va probablement prendre un autre milieu de terrain pour compléter ce secteur de jeu.

Ce mouvement a une particularité historique, Marseille devient potentiellement le premier club à encaisser une indemnité sur Adrien Rabiot, qui devrait donc être de l'ordre de 10 millions d'euros. En effet, tout au long de sa carrière, le français avait toujours quitté ses clubs en fin de contrat, sans jamais rapporter d’argent direct à ses anciens employeurs. Une manière pour Pablo Longoria et Medhi Benatia de transformer un recrutement à coût zéro en une plus-value immédiate. 

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Rabiot retrouve Allegri, l’OM perd gros

À Milan, Adrien Rabiot retrouvera Massimiliano Allegri, qui l’avait déjà dirigé à la Juventus Turin et qui n’a jamais caché son attachement au Français. Le coach italien l’attend comme un renfort de poids pour densifier son milieu.

Pour l’OM en revanche, ce départ laisse un goût amer. Déjà battu ce dimanche soir par l’Olympique Lyonnais (1-0) avec des largesses défensives inquiétantes et un milieu en souffrance, Roberto De Zerbi voit l’un de ses cadres filer. Le club phocéen va désormais devoir agir vite pour combler ce vide au cœur du jeu, alors que la saison ne fait que commencer et que les échéances s’annoncent chargées.

Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM – Ndiaye, loin de Marseille mais toujours l’OM dans le coeur

Un passage contrasté à l’OM

Arrivé à l’Olympique de Marseille en 2023, Iliman Ndiaye n’a pas totalement répondu aux attentes placées en lui. Utilisé régulièrement au cours de la saison 2023-2024, il a disputé 46 rencontres toutes compétitions confondues, avec un bilan de 4 buts et 3 passes décisives. Malgré ces statistiques modestes, son engagement et son attachement au club avaient été soulignés par l’encadrement olympien.

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Un nouveau départ en Premier League

Transféré à Everton à l’été 2024, l’attaquant sénégalais a rapidement trouvé sa place dans le championnat anglais. Depuis son arrivée, il a inscrit 11 buts en 37 matchs, une progression qui confirme son adaptation au football britannique et à l’intensité de la Premier League.

L’OM, une histoire qui ne s’efface pas

Dans un entretien accordé à L’Équipe, Ndiaye a rappelé son attachement à Marseille. « Je suis avec attention tous leurs résultats. Je le fais depuis mon enfance et je continuerai à le faire », a-t-il confié. Formé au centre de formation olympien avant de poursuivre son parcours ailleurs, le joueur conserve un lien affectif fort avec le club de ses débuts.

Un regard depuis l’Angleterre

Alors qu’il poursuit sa progression sous le maillot des Toffees, Ndiaye n’oublie pas ses racines marseillaises. Son intérêt constant pour les performances de l’équipe de Roberto De Zerbi illustre le lien particulier qui unit de nombreux anciens joueurs à l’OM, club dont l’histoire et la ferveur dépassent les frontières françaises.

L’OM plus regardé que le PSG en Ligue des champions

Mercredi soir, Canal+ diffusait le premier match du PSG en Ligue des champions cette saison face à l’Atalanta. Les Parisiens se sont largement imposés 4-0, mais la rencontre n’a pas passionné autant que prévu. Selon les chiffres de Médiamétrie, 1,58 million de téléspectateurs étaient devant leur écran, soit 8,9 % de part d’audience.

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Une concurrence télévisée relevée

Avec ce score, la chaîne cryptée se classe troisième des audiences de la soirée. TF1 s’impose nettement grâce au lancement de sa nouvelle série Tracker (3,01 millions de téléspectateurs), devant M6 et son programme Le meilleur pâtissier (1,63 million). La comparaison avec la veille est frappante. Mardi soir, le choc entre le Real Madrid et l’OM, conclu sur le score de 2-1, avait réuni 2,01 millions de personnes, soit 11,7 % de part d’audience. Marseille a donc attiré près de 430 000 téléspectateurs de plus que Paris, confirmant l’intérêt majeur suscité par le retour du club phocéen en Ligue des champions.

Un signal fort pour la suite de la compétition

Ce différentiel souligne l’attente autour de l’OM dans la plus prestigieuse des Coupes d’Europe. Si Paris reste un habitué de la compétition, le public français a visiblement réservé une place particulière au retour marseillais sur la scène européenne. De quoi renforcer la rivalité sportive et médiatique entre les deux clubs pour cette saison 2025-2026 alors que leurs retrouvailles sont programmés pour dimanche.