Mercato OM – ce défenseur des Bleus que Longoria voulait recruter au dernier moment

Un mercato agité jusqu’à la dernière minute

Le board marseillais a bouclé un été particulièrement mouvementé. Avec quatre arrivées officialisées dans les dernières heures, l’OM a cherché à corriger un début de saison marqué par des difficultés défensives et une défaite frustrante lors de l’Olympico face à Lyon. La direction, emmenée par Pablo Longoria et Mehdi Benatia, s’est focalisée sur la solidité de l’arrière-garde pour donner de nouvelles garanties au coach.

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Des renforts de poids déjà actés

Dans ce chantier express, Marseille a réussi à attirer Benjamin Pavard ainsi que Nayef Aguerd, dont l’officialisation reste attendue. Ces mouvements témoignent de la volonté du club de bâtir une défense compétitive autour de joueurs expérimentés, capables d’apporter leadership et stabilité dans les moments clés.

Un international français ciblé, mais dossier bloqué

Selon le journaliste Kieran Gill du Daily Mail, l’OM et l’AS Monaco ont tenté dans les dernières heures de s’attacher les services d’Axel Disasi. L’idée d’un prêt avait été évoquée, mais Chelsea a rapidement fermé la porte. La réglementation sur le nombre maximum de joueurs prêtés par le club londonien a empêché toute avancée, malgré l’intérêt concret de ces deux formations de Ligue 1.

Un rendez-vous manqué mais révélateur

La piste Disasi démontre l’ambition du club phocéen de cibler des profils internationaux capables d’élever immédiatement le niveau. S’il n’a pas pu être mené à son terme, ce dossier confirme la volonté de Longoria de se positionner sur des joueurs d’envergure et familiers du haut niveau européen. Marseille repart donc avec une défense profondément remodelée par les arrivées de Benjamin Pavard et Nayef Aguerd.

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Mercato OM : cinq jours, et sept joueurs à faire partir

À Marseille, le mercato est toujours scruté avec attention tant le projet sportif dépend d’un recrutement intelligent, capable d’équilibrer un effectif sous pression permanente. À cinq jours de la clôture, l’OM se retrouve face à un constat simple : il reste encore beaucoup à faire. Les dirigeants savent que le temps presse et les attentes des supporters comme du staff sont élevées.

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La première réalité, c’est que l’effectif marseillais, déjà bien étoffé, doit être affiné pour éviter l’écueil d’une accumulation façon Chelsea, où la densité excessive a fini par nuire à la cohésion du groupe. L’OM ne peut pas se permettre un tel scénario, ni sportivement, ni logiquement au niveau de son centre d’entraînement qui ne saurait accueillir un second vestiaire improvisé. Côté renforts, la direction a déjà ciblé plusieurs priorités. Emerson Palmieri, piston gauche expérimenté, serait tout proche de rallier la Provence. L’autre dossier bien avancé concerne Hamed Junior Traoré, milieu ivoirien à fort potentiel, capable de percuter comme Paixao sur l'aile gauche.

Mais deux secteurs restent sous tension. En défense centrale, la nécessité de recruter est évidente. Le nom de Joel Ordonez circule, jeune défenseur équatorien prometteur, tandis que celui de Benjamin Pavard incarne une alternative prestigieuse. Si l’un des deux venait à signer, cela donnerait une autre dimension à la défense phocéenne, même si ça ne serait pas le central gaucher initialement espéré. Au milieu, l’arrivée d’Ismaël Bennacer est décrite comme imminente depuis plusieurs semaines. Mais il faudra recruter un deuxième élément en cas de départ d’Adrien Rabiot. Le Français voit son statut demeurer flou. Si un transfert venait à se matérialiser, l’OM devrait réagir vite pour ne pas se retrouver démuni dans l'entrejeu.

A côté de cette problématique qui prend beaucoup de place, l’OM compte au moins sept joueurs en situation d’inconfort. Sept noms, sept dossiers à régler, et seulement cinq jours pour le faire. Dans les cages, Ruben Blanco a beau avoir fait toute la préparation estivale avec la Pro2, personne n'est venu aux renseignements. En défense, Derek Cornélius et Ulisses Garcia sont en balance : leur avenir dépendra directement de l’utilisation de Facundo Medina par De Zerbi. Si l’Argentin est fixé comme latéral gauche, alors Garcia pourrait être poussé vers la sortie. Si Medina reste central, Cornélius serait le sacrifié. Bamo Méïté, lui, n’a pas réussi à s’imposer et fait partie des joueurs dont le club espère se séparer. Pol Lirola reste également sans perspective claire alors que Weah est venu doubler le poste de Murillo. Le cas d’Azzedine Ounahi pourrait se régler en premier. A perte vu la somme proposée par Gérone, mais au moins ce serait déjà fait. Amine Harit et Neal Maupay complètent la liste. Démonstration faite dans la vidéo, il n'y a plus de place pour eux.

Plusieurs départs ont déjà été validés cet été. Luis Henrique, Jonathan Rowe, Quentin Merlin, Valentin Rongier, Ismaël Koné, Amar Dédic et Luiz Felipe ont quitté la cité phocéenne. Ils représentent une première vague de sorties, à laquelle pourrait s’ajouter prochainement Faris Moumbagna, en partance pour Cremonese. Mais le temps presse. La fin de mercato s’annonce donc comme un sprint, où tout peut basculer. Les supporters attendent des renforts de qualité, mais aussi des choix clairs pour éviter une saison à 35 joueurs sous contrat. L’équilibre, plus que jamais, sera la clé du succès.

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LDC – les résultats de la soirée européenne !

La première journée de la Ligue des Champions se poursuivait ce soir. Le Bayern Munich a dominé Chelsea 3-1 grâce à un doublé d’Harry Kane et un but contre son camp de Chalobah, malgré la réaction de Cole Palmer. À Anfield, Liverpool a arraché une victoire 3-2 face à l’Atlético, Van Dijk offrant le succès dans le temps additionnel après un doublé de Marcos Llorente. En déplacement, l’Inter Milan s’est imposé 2-0 contre l’Ajax, prochain adversaire de l'OM en LDC, avec un doublé de Marcus Thuram, tandis que le PSG a largement dominé l’Atalanta 4-0, avant le Classico dimanche.

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Demain, Manchester City de Pep Guardiola recevra le Napoli dans un choc attendu, tandis que Newcastle défiera le FC Barcelone dans une ambiance qui s’annonce bouillante. De son côté, l’AS Monaco se déplacera pour affronter le Club Bruges, alors que le Bayer Leverkusen jouera à Copenhague. Enfin, Francfort accueillera Galatasaray et le Sporting Portugal fera face à Kairat Almaty.

Programme de la 1ère journée de Ligue des Champions

OM – Mandanda annonce sa retraite, ultime hommage

Il y a des annonces qui sonnent comme la fin d’une époque. Celle de Steve Mandanda, confiant dans les colonnes de L’Équipe qu’il mettait un terme à sa carrière à 40 ans, appartient à cette catégorie. Libre depuis le 1er juillet après la fin de son contrat avec Rennes, l’ancien international tricolore (35 sélections) quitte la scène avec le statut de légende de l’Olympique de Marseille. Plus qu’un gardien, il a incarné une génération, traversé les ères, tenu la barre dans les tempêtes comme dans les moments de gloire. 

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On pourrait croire que son statut se résume à sa longévité : 14 saisons au club, 613 matchs disputés avec l’OM, record absolu. Ce serait déjà suffisant pour bâtir une légende. Mais Mandanda, c’est bien plus qu’une fidélité exceptionnelle. Il n’a pas été seulement un gardien installé, il a été un acteur central de l’histoire moderne de l’OM. Sous Eric Gerets, Didier Deschamps, Marcelo Bielsa, Michel ou Rudi Garcia, il a brillé au point d’être élu avec chacun de ses techniciens meilleur portier de Ligue 1. Sous André Villas-Boas, il a même décroché son deuxième titre de Phocéen d’Or en 2020, signe d’une constance et d’une reconnaissance qui dépassent les simples performances techniques.

Installé presque par accident, lors d’une blessure de Carrasso qui lui ouvre la voie, Mandanda ne rendra plus jamais la place. De gardien surdoué, agile sur sa ligne et rassurant dans ses interventions, il va apprendre à évoluer. Sous Didier Deschamps, il devient capitaine, apprenant à diriger, à parler, à guider. Sous Marcelo Bielsa, il travaille son jeu au pied, devenant plus complet encore. Peu de gardiens ont su autant traverser les époques, épouser les philosophies d’entraîneurs aussi différentes, tout en restant performants.

Bien sûr, Mandanda n’a pas toujours été irréprochable. Certaines saisons l’ont vu décliner, parfois trop installé, parfois en manque de concentration. Marseille, ville exigeante, n’a jamais épargné son capitaine. René Malleville, dans un coup de gueule resté célèbre, l’avait même tancé dans une punchline passée à la postérité : "qu'on arrête de me dire "tu as tort de critiquer Mandanda". Je critique qui je veux et tous ceux qui le méritent". Mais il est revenu derrière à son meilleur niveau. A chaque fois.

Le dernier exemple reste celui de Jorge Sampaoli. L’Argentin avait décidé d’installer Pau Lopez comme numéro 1 lors de son passage dans la cité phocéenne. Mais quand est venu le moment de sécuriser une deuxième place qualificative pour la Ligue des champions, Mandanda a repris le rôle de titulaire. Et comme souvent, il a répondu présent avec des arrêts décisifs.

A l'heure où l'OM s'apprête à retrouver la Ligue des champions, il faut se souvenir de ses exploits européens. Parce que si l'OM a pu y signer des performances au XXIe siècle, cela n'a jamais été sans Mandanda. Son match à San Siro reste dans toutes les mémoires : Marseille élimine l’Inter Milan grâce à une performance XXL de son gardien. À Anfield, le but splendide de Valbuena n’a pas été une simple anecdote parce que Mandanda a multiplié les parades pour maintenir le rêve.

Ses 47 matchs de Ligue des champions sous le maillot olympien en font une référence. Il n’est peut-être pas au niveau de Fabien Barthez dans le livre de l'OM, il en convient lui-même. Difficile de rivaliser avec l’homme du match le plus important de l’histoire de l’OM. Mais il se place sans doute au-dessus d'autres monuments comme Carnus ou Olmeta. C'est dire la place du bonhomme. Peu de joueurs, dans l’histoire récente, ont bénéficié d’un tel attachement. Et ce n'est pas, parce qu'il était gentil ou qu'il avait le mérite d'être là.

À 40 ans, il aurait pu continuer. Le Havre, Lorient, Guingamp, Brest ou Montpellier l’ont sollicité. Mais il a dit non. Parce qu’il sait que la fin doit être à la hauteur de ce qu’il a construit. Pas question d’une saison de trop, pas question d’effriter une légende. Mandanda s’arrête au bon moment, lucide, fidèle à son image. Sur ce match au Vélodrome en mai dernier où il rentre pour le temps additionnel avec un stade entier en délire. Un moment, une émotion qui vaut bien des trophées, bien des contrats. Mandanda l'a vécu et c'est totalement mérité.

Romain Canuti

OM – des burgers et des pizzas pour les joueurs de l'OM après les matchs, mais pas n'importe lesquels…

Arrivé le 1er août 2025 à la tête de la restauration de l’équipe professionnelle, Amar Lacidi s’est rapidement imposé comme une figure discrète mais essentielle du quotidien olympien. Il se dévoile à l'occasion d'un portrait sur le site mesinfos.fr. Passé par le monde associatif et médico-social, il a intégré le club via Api Restauration, prestataire déjà en charge de la restauration du PSG. À La Commanderie, son rôle est clair : superviser repas, équipes et approvisionnements pour que rien ne soit laissé au hasard.

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Des repas calibrés pour la performance

Chaque jour, entre 50 et 70 repas sont servis pour les joueurs, le staff et les salariés. Menus affichés à l’avance, équilibre nutritionnel, gestion des protéines et des apports spécifiques : rien n’échappe à Amar. Les jours de match, collations adaptées et repas de récupération complètent un suivi précis. Une exigence qui va jusqu’aux déplacements européens, où il inspecte les hôtels avant l’arrivée du groupe.

Entre rigueur et innovation culinaire

Si l’organisation est millimétrée, l’ouverture aux nouveautés reste essentielle. Avec l’appui d’un nutritionniste, Amar privilégie les produits locaux, comme récemment les shots au gingembre de l’entreprise marseillaise Cosmos, plébiscités par les joueurs. Son approche : combiner exigence, plaisir et identité marseillaise, tout en restant attentif aux besoins spécifiques du vestiaire.

Un métier d’ombre, une passion en lumière

Ancien abonné du Vélodrome chez les South Winners, Amar mesure la chance de vivre son métier au service de son club de cœur. Des barbecues conviviaux de fin de saison aux repas préparés pour les idoles de toute une ville, il garde le cap : professionnalisme et humilité. Indispensable mais effacé, il incarne l’importance des métiers de l’ombre dans la réussite d’une grande institution sportive comme l’OM. Non content de superviser la nourriture des joueurs en déplacement et lors des mises au vert, il va faire les déplacements européens pour s'assurer que tout soit nickel dans les hôtels où le club va séjourner. Concernant les habitudes des jours de match, les joueurs reçoivent une collation environ trois heures avant le coup d’envoi. Au menu : un brunch riche en protéines, accompagné de sucre roux, de fibres et de bons lipides. Après la rencontre, une note plus conviviale est prévue, avec des pizzas ou des burgers maison, soigneusement préparés pour rester équilibrés. "On appelle ça de la junk food healthy", explique-t-il. Toutefois, depuis le début de la saison, ces plats n’ont pas encore été proposés, en raison de l’enchaînement des matchs. En parallèle, un atelier pâtes est organisé quotidiennement, à la demande expresse de l’entraîneur italien et de son staff.

De Zerbi après Lyon-OM : défense, Gouiri et Balerdi

Quel est votre analyse de la rencontre ?

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Roberto De Zerbi : On a souffert, oui, surtout après l'exclusion. On n'a pas concédé de très grosses occasions, mais on a souffert. À 11 contre 11, même si ça n'était pas notre meilleur match, je pense qu'on était mieux que Lyon.

Quel est votre regard sur votre secteur défensif, alors que deux recrues sont attendues (Geertruida et Aguerd) ?

R.D.Z. : Je pense que le but que l'on a encaissé, comme l'exclusion, sont des événements que nous avons provoqué tout seuls. À l'origine, le ballon était à nous. Sur l'exclusion, il y a eu cette erreur d'Egan-Riley qui lance Fofana. C'est un joueur de 2003, assez jeune. Cornélius était le seul défenseur que l'on avait sur le banc. Ce n'était pas évident, même s'il y a toujours des choses à améliorer. D'un point de vue défensif, je ne trouve pas que Lyon s'est procuré beaucoup d'occasions, même quand on était en infériorité numérique. Si on veut jouer avec courage, il faut jouer avec personnalité. Si on pense qu'on peut se recroqueviller à cinq derrière, on ne va pas avoir beaucoup d'occasions. Ce n'est pas la bonne mentalité si l'on veut jouer dans un grand club.

Reprochez-vous quelque chose à Leonardo Balerdi après sa prestation ?

R.D.Z. : Je n'ai rien à lui dire, honnêtement. Oui, il a fait une erreur. Mais s'il faut se dire les choses, on le fait dans le vestiaire. Au-delà de la prestation qui peut être plus ou moins bonne, je n'ai rien à ajouter à son sujet.

Pourquoi avez-vous choisi de laisser Amine Gouiri sur le banc toute la rencontre ?

R.D.Z. : Si Amine (Gouiri) n'a pas joué, c'est un choix physique. Je ne l'ai pas vu en très grande forme cette semaine. C'est tout, ça arrive. On ne peut pas être tout le temps au top de sa condition physique. On sentait que Aubameyang, Traoré et Nadir pouvaient mieux faire. C'est vrai que l'exclusion a compliqué les choses, modifié les plans que j'avais en tête. L'entrée en jeu de Robinio Vaz, plutôt que Gouiri, est justifiée parce que je pensais que sa vitesse pouvait nous permettre de mieux attaquer la profondeur pour gagner cette rencontre.

Adrien Rabiot se dirige vers l'AC Milan, quelle est votre réaction ?

R.D.Z. : J'étais préoccupé par le match ce soir, je n'ai pas parlé de mercato avec Pablo et Medhi Benatia.

Mercato OM – Benjamin Pavard a déjà signé à l’OM ?

D’après les informations de L’Équipe, Benjamin Pavard a officiellement signé son contrat avec l’Olympique de Marseille. Le défenseur champion du monde 2018 quitte l’Inter Milan pour rejoindre le club phocéen dans le cadre d’un prêt payant, assorti d’une option d’achat évaluée à 15 M€.

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À 29 ans, Pavard apporterait une expérience internationale et une polyvalence bienvenue à la défense olympienne, en difficulté depuis plusieurs semaines. Capable d’évoluer en charnière centrale comme sur le côté droit, il devient une pièce maîtresse attendue du système de Roberto De Zerbi.

Avec les arrivées d’O’Riley, Aguerd et Emerson Palmieri, l’OM confirme son mercato ambitieux et attire une nouvelle figure majeure du football français. Pavard retrouvera ainsi la Ligue 1 sept ans après l’avoir quittée, avec l’ambition de s’imposer rapidement au Vélodrome.

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Mercato OM – Emerson devrait arriver… en plein Lyon-OM !

L’Olympique de Marseille poursuit son mercato tambour battant. Après avoir officialisé le dossier Arthur Vermeeren, l'OM a désormais bouclé l’arrivée de Emerson Palmieri selon Foot Mercato. Le latéral gauche de West Ham va rejoindre l’effectif olympien dans le cadre d’un transfert estimé à 700 000 euros, auxquels pourraient s’ajouter 300 000 euros de bonus. Un coût modeste pour un joueur au CV déjà bien fourni. Une manière probable, aussi, de faire signer au joueur un contrat avec un salaire adapté à la fiscalité française, en demandant à son actuel employeur anglais, de compenser avec une belle indemnité de départ financer avec l'argent de ce transfert. Pour rappel, il y a encore quelques jours, West Ham était disposé à laisser le joueur partir libre.

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Un profil expérimenté et déjà rodé à la Ligue 1

Âgé de 31 ans, Emerson Palmieri connaît déjà le championnat de France, étant passé par l’Olympique Lyonnais lors de la saison 2021-2022. Avant cela, sa carrière l’a mené de la Roma à Chelsea, où il a remporté notamment une Ligue Europa. Avec West Ham, il sort d’un titulaire régulier.

Une valeur ajoutée pour le vestiaire olympien

International italien à 29 reprises, Emerson apporte une solide expérience internationale. Il avait d’ailleurs fait partie de la sélection victorieuse de l’Euro 2021. Son arrivée permet à l’OM de sécuriser un couloir gauche qui nécessitait un renfort d’expérience. Pour Roberto De Zerbi, c’est une option supplémentaire, capable d’apporter autant sur le plan défensif que dans la construction offensive. Il devrait arriver à Marseille… alors que ses futurs coéquipiers seront en train de disputer la troisième journée de championnat à Lyon. Mais ce n'est pas plus mal, car il faudra rapidement finaliser ce transfert avant de passer à d'autres dossiers, alors que le mercato ferme ses portes ce lundi à 20 heures.

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OM – quand Benatia a compris qu'Iliman Ndiaye ne pourrait pas poursuivre à l'OM

Sur le plateau du Talk Show, Byllel Ben Khelifa a mis en lumière la ligne directrice suivie par Medhi Benatia. Le conseiller sportif de l’OM n’hésite pas à agir rapidement lorsqu’il juge qu’un joueur n’a pas les épaules pour s’imposer dans un environnement aussi exigeant que celui du Vélodrome. Son approche consiste à limiter les erreurs de casting et à ouvrir la porte de sortie sans attendre, pour protéger la dynamique du groupe. Cela s'est vu notamment avec Elye Wahi la saison dernière.

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L’anecdote révélatrice sur Ndiaye

Pour illustrer son propos, l’intervenant est revenu sur le cas d’Iliman Ndiaye, présenté comme l’un des grands espoirs du club lors de son arrivée en 2023 pour 17 millions d'euros. Selon l’anecdote rapportée, l’attaquant aurait été gagné par une telle nervosité avant une rencontre européenne qu’il tremblait en enfilant ses chaussettes. Un détail qui symbolise la difficulté à assumer la pression constante à Marseille et qui aurait décidé le directeur du football. En juillet 2024, Ndiaye était transféré à Everton pour 18 millions d'euros. Il y a quelques semaines, juste avant la fin du mercato, il était question d'un transfert à l'Inter Milan.

Everton, un contexte plus favorable

Mais Romain Canuti a tenu à relativiser cette lecture de carrière qui donne forcément des regrets en rappelant que le contexte d’Everton n’a rien à voir avec celui de l’OM. Dans le club de Liverpool, les attentes sont fortes mais la pression est moins omniprésente. Les supporters ne réclament pas la victoire chaque semaine. Dans un tel cadre, Ndiaye peut évoluer avec plus de liberté et de confiance, ce qui explique son renouveau actuel en Premier League.

OM – Marseille rassuré sur l’état de Gouiri avant d’affronter le Real Madrid

Sorti juste avant la mi-temps face à Lorient après un duel avec Bamo Meïté, Amine Gouiri avait suscité quelques interrogations en quittant le terrain en boitant, malgré son refus de la civière. L’attaquant a souffert d’une gêne à l’épaule, mais rien de sérieux n’a été détecté par le staff médical.

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Des nouvelles rassurantes avant Madrid

Comme l’indique L’Équipe, les examens réalisés n’ont révélé aucune lésion grave, et la mâchoire du joueur n’a pas été touchée comme certains l’avaient craint. Légères douleurs, mais pas de réelle inquiétude : l’attaquant reste candidat pour débuter mardi soir au Santiago Bernabéu.

Une alternative de choix avec Aubameyang

Si toutefois une décision de prudence devait être prise, l’OM pourrait compter sur Pierre-Emerick Aubameyang, sur une série de folie contre les Galactiques, et laissé sur le banc face à Lorient après ses efforts avec la sélection. Le Gabonais constituerait une solution d’expérience face au Real Madrid.

Un test grandeur nature pour l’attaque olympienne

Ce déplacement à Madrid représente un rendez-vous crucial pour le groupe marseillais, qui reste sur une démonstration offensive contre Lorient. Qu’il s’agisse de Gouiri ou d’Aubameyang, l’OM devra compter sur son efficacité offensive pour espérer rivaliser avec l’un des favoris de la compétition.