Mercato OM : un club turc insiste pour Ounahi

La situation d’Azzedine Ounahi à l’Olympique de Marseille semble désormais scellée. Mis à l’écart par Roberto De Zerbi, le milieu de terrain marocain ne fait plus partie des plans pour la saison 2025/26. Une relégation en équipe réserve a entériné ce choix technique, poussant le joueur à envisager un départ rapide. Et les prétendants ne manquent pas.

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En Turquie, Trabzonspor multiplie les efforts pour rafler la mise. Selon les informations d’Africafoot, le club de Super Lig a formulé une nouvelle offre plus conséquente, espérant ainsi convaincre la direction marseillaise de céder un joueur dont le potentiel reste apprécié, malgré une saison mitigée. Fenerbahçe, de son côté, est entré dans la course ces derniers jours, à la recherche d’un milieu capable d’apporter créativité et maîtrise du tempo. Mais Ounahi, formé à l’Avranches avant de briller à Angers et lors de la Coupe du monde 2022 avec le Maroc, ne semble pas emballé par ces options. L’ancien joueur du SCO aspire à évoluer dans un championnat plus compétitif. Son choix est clair : la Liga. 

Preuve de cette volonté, Ounahi a déjà refusé une offre du Spartak Moscou, pourtant proche des exigences financières de l’OM (environ 12 millions d’euros). En refusant des propositions sportivement moins attrayantes, le natif de Casablanca montre qu’il privilégie le long terme, avec en ligne de mire une place forte en sélection. Marseille, de son côté, espère toujours un transfert sec avant la fin de l’été. Mais il faudra peut-être composer avec la patience du joueur, déterminé à attendre la bonne opportunité en Espagne.

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OM : le message énigmatique de Moumbagna sur les réseaux sociaux

Un message qui interroge, mais sans certitude

Faris Moumbagna n’a pas repris l’entraînement avec le groupe professionnel de l’OM. L’attaquant camerounais de 25 ans, revenu d’une rupture des ligaments croisés, fait partie des joueurs temporairement redirigés vers la Pro2. Ce dernier a d'ailleurs publié sur Instagram une phrase qui a fait réagir : "Restez sincères, les rôles vont s’inverser". S’il est tentant d’y voir une réaction à sa situation actuelle, rien n’indique clairement qu’il s’agissait d’un message adressé au club.

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Cette publication peut refléter un état d’esprit combatif, une volonté de rebondir après une saison blanche, ou simplement une réflexion plus générale. Moumbagna, arrivé à Marseille en janvier 2024, n’a disputé que huit minutes avant de se blesser. Depuis, il n’a jamais eu l’occasion de réellement s’exprimer sous le maillot marseillais. Sa frustration, si elle existe, semble compréhensible, mais son message reste volontairement flou.

Une décision sportive dans un contexte exigeant

Le contexte marseillais a considérablement évolué depuis son arrivée. L’arrivée de Roberto De Zerbi sur le banc a marqué un changement de cap, avec des ambitions affirmées en Ligue 1 et en Ligue des champions. Dans cette optique, l’OM a réduit son groupe et fait des choix forts. Pierre-Emerick Aubameyang, Neal Maupay et d’autres éléments offensifs offrent davantage de garanties immédiates que Moumbagna, encore en reprise. Le fait que plusieurs joueurs, comme Bamo Meïté, Azzedine Ounahi ou François-Régis Mughe, soient également redirigés vers la réserve montre qu’il ne s’agit pas d’un cas isolé. Ce sont des décisions sportives, peut-être temporaires, dans une phase de préparation très sélective. Rien ne dit que Moumbagna ne retrouvera pas une dynamique ailleurs. Pour l’heure, son avenir semble s’écrire loin de Marseille. Mais son message, entre mystère et détermination, laisse aussi penser qu’il n’a pas renoncé à renverser le cours des choses.

Un avenir incertain

Encore sous contrat avec l’OM, Faris Moumbagna ne souhaite pas précipiter son avenir. Bien qu’il soit à l’écoute des propositions, l’attaquant camerounais privilégie un projet qui lui garantira du temps de jeu régulier et un environnement propice à sa remise en confiance. Sa priorité reste de retrouver la pleine possession de ses moyens, après de longs mois éloigné des terrains. À 25 ans, il sait qu’il entre dans une phase charnière de sa carrière, où chaque choix comptera. Des clubs comme Toulouse ou le PAOK, intéressés mais prudents, attendent de voir si l’OM ouvrira effectivement la porte à un départ, et sous quelles conditions. Si un prêt avec option d’achat semble aujourd’hui la piste la plus crédible, tout dépendra également des opportunités qui se présenteront en fin de mercato, lorsque les effectifs se seront dessinés. En attendant, Moumbagna continue de s’entraîner avec sérieux, espérant que sa situation évoluera positivement. Son rêve de disputer la prochaine CAN n’est pas hors de portée, mais il passe inévitablement par une première étape : retrouver le terrain, les sensations, et la confiance. Une dynamique que seul un vrai projet sportif peut lui offrir aujourd’hui.

Mercato OM : Juventus et OM sur la piste de Matt O’Riley

La piste O’Riley activée par l’OM

En quête d’un renfort au milieu de terrain pour équilibrer son effectif, l’Olympique de Marseille aurait ciblé Matt O’Riley, joueur de Brighton & Hove Albion. Âgé de 24 ans et international danois à deux reprises, il sort d’une saison compliquée avec seulement 23 matchs disputés, freinée par plusieurs blessures. Sa situation contractuelle, liée jusqu’en 2029 avec le club anglais, rend néanmoins le dossier complexe.

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Une concurrence de poids venue d’Italie

Selon les informations de Tuttosport, la Juventus se serait également positionnée sur le joueur. Le club turinois, qui cherche à densifier son secteur offensif au milieu, pourrait passer à l’action rapidement. Une telle offensive mettrait l’OM face à un gros concurrent, habitué à s’imposer sur le marché des transferts.

Un investissement conséquent à prévoir

La valeur marchande de Matt O’Riley est estimée à 22 millions d’euros par Transfermarkt. Compte tenu de son contrat longue durée, Brighton n’aura aucun intérêt à brader son milieu. La bataille financière qui s’annonce pourrait donc tourner à l’avantage du club disposant de la plus grande marge de manœuvre économique.

Enjeux pour le mercato marseillais

Ce dossier représente surtout une occasion pour l’OM de confirmer, après les arrivées entre autre de Paixão et Angel Gomes et l’intérêt pour Ordoñez, sa capacité à attirer des joueurs courtisés en Europe et à consolider un secteur clé avant la reprise. Avec pour titulaire Rabiot, Højbjerg et Angel Gomes, l'OM serait bien inspiré de renforcer ce secteur de jeu, même si De Zerbi pourra compter sur Kondogbia, Bakola ou Nadir dans la rotation.

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Mercato OM : les nouvelles recherches de l'OM pour le poste de défenseur central !

Lors de son intervention dans l’émission WFC sur YouTube, Walid Acherchour a donné une indication précieuse sur les intentions de l’OM pour renforcer sa défense. Voici l’intégralité de sa déclaration : "Ce que je sais c’est que l’OM avance sur un top central jeune, en devenir. Ce n’est pas les centraux dont on a entendu parler, comme Ndicka, Laporte ou Aguerd. Ils travaillent aujourd’hui sur des jeunes prospects, moins de 23 ans, qui ont montré de belles choses, pas forcément dans les cinq grands championnats européens. Ils travaillent sur ces pistes qui ont un gros potentiel, mais qui à l’Olympique de Marseille peuvent passer encore un cap. Je n’ai pas le nom donc je ne vais pas donner d’exemples, mais c’est dans cette direction‑là. Mais en termes de profil, Loïc Badé par exemple, ce n’est pas ce que j’ai. C’est un peu comme quand le Paris Saint‑Germain va chercher Pacho. Dans le sens où c’est un joueur qu’on ne connaissait pas avant qu’il arrive. Maintenant il faut se mettre à l’échelle de l’OM, ça ne sera pas un joueur de Francfort. Mais ça ne l’empêche pas d’être sollicité par beaucoup de clubs européens à l’heure actuelle. Mais dans un marché U23".

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Cette déclaration vient clarifier les intentions marseillaises pour ce mercato estival à ce poste : sortir des sentiers battus, éviter les profils déjà trop exposés médiatiquement, pour miser sur un jeune à fort potentiel issu d’un championnat secondaire. Cela exclut clairement les pistes Aymeric Laporte (30 ans), Nayef Aguerd (28 ans) et Evan Ndicka (26 ans), tous trop âgés pour répondre au signalement. Laporte évolue aujourd’hui à Al-Nassr en Arabie saoudite et le fait que son club demande une indemnité de transfert (il est question de 15 millions d'euros) le place hors budget malgré des premières discussions encourageantes lors des derniers mois. Aguerd revient à West Ham en Premier League avec peut-être l'opportunité de jouer comme l'expliquait Romain Canuti dans l'OM au Café (que vous pouvez retrouver en vidéo), ce qui explique qu'il ne se soit jamais pressé pour le projet présenté par les dirigeants olympiens. Enfin, Ndicka joue à l’AS Rome après avoir été une valeur sûre de l’Eintracht Francfort. S'il y avait peut-être une chance de faire fléchir les dirigeants de la Louve avant le passage devant la DNCG italienne, cela ne semble plus d'actualité.

La question devient donc : qui est ce "top central jeune" sur lequel travaille l’OM ? Ces derniers jours, il a été question d'une rumeur menant l'OM à Taras Mykhavko. Ce défenseur central de 20 ans évolue au Dynamo Kiev. Il est grand (1m85), gaucher, solide dans les duels, et doté d’une belle qualité de relance. Un joueur que le grand public ne connaît pas encore, mais que plusieurs clubs européens ont déjà ciblé. Dans cette logique, d’autres noms peuvent aussi entrer en considération. C’est le cas de Yusuf Akçiçek. Ce jeune défenseur central turc de 19 ans évolue à Fenerbahçe. Très grand (1m93), lui aussi gaucher, il s’est déjà illustré en Süper Lig et sur la scène européenne avec son club. Là encore, le profil colle parfaitement : joueur U23, en pleine progression, pas encore surcoté, mais déjà suivi par des écuries comme Manchester United, le Bayern Munich, ou Leipzig. Comme pour Mykhavko, le pari serait de le faire grandir à l’OM, dans un environnement propice à sa progression. Enfin, un troisième nom mérite d’être évoqué dans cette optique : celui d’Albian Hajdari. Né en 2002, ce défenseur central suisse évolue au FC Lugano après avoir été formé au FC Bâle et être brièvement passé par la Juventus. Il est gaucher, technique, régulier, et affiche déjà une solide expérience en Super League suisse. Il a été international U21 avec la Suisse et figure aujourd’hui sur les tablettes de plusieurs clubs européens, notamment Bologne. Là encore, le profil est jeune, prometteur, issu d’un championnat peu médiatisé, avec une marge de progression intéressante.

Le timing ne doit rien au hasard, le journaliste spécialiste du football belge Sacha Tavolieri évoque le cas de Joël Ordonez. Agé de 21 ans, international avec l'Equateur, pilier indiscutable de la défense de Bruges qui avait surpris l'Atalanta Bergame en play-off de Ligue des champions.

Le parallèle entre Ordonez et Pacho est facile puisqu'ils jouent ensemble en sélection, où ils restent sur trois clean-sheets contre le Pérou, le Chili et le Brésil. Mais Ordonez, droitier, se décale alors en latéral droit. Ce n'est pas la recherche initiale des dirigeants, qui souhaitaient un gaucher pour s'intercaler entre Medina et Balerdi, mais l'occasion peut amener à changer les plans.

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OM : tensions en coulisses et faux départ à Rennes

Allumages à l’allumage

La défaite inaugurale de l’OM à Rennes (0-1) vendredi a laissé des traces bien au-delà du terrain. Dans le vestiaire, les remontrances se sont transformées en frictions. Les cloisons du Roazhon Park ont résonné d’un discours marqué par la vérité et le respect, où plusieurs cadres — Leonardo Balerdi, Pierre-Emile Höjbjerg et Adrien Rabiot — ont pointé du doigt certains comportements jugés insuffisants. Pris à partie, Jonathan Rowe a répliqué vivement, déclenchant une altercation front contre front avant que Roberto De Zerbi, épaulé par Medhi Benatia, ne ramène le calme.

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Les échanges ont été crus : « On a des grosses couilles ici. Les couilles, c’est dehors, sur le terrain, pas dans le vestiaire », ou encore : « On peut se dire les choses de manière plus tranquille… ». L’épisode pourrait soit fragiliser le groupe, soit servir de ciment, à l’image d’un précédent entre Höjbjerg et Greenwood. Timothy Weah a tenté d’apaiser : « Le coach a parlé avec passion, on a tous envie de gagner. »

Sur le plan sportif, De Zerbi a insisté : « Cette défaite doit servir. » Pierre-Emerick Aubameyang a reconnu l’appréhension initiale, puis l’excès de confiance après l’expulsion d’Abdelhamid Aït-Boudlal. Malgré la supériorité numérique, l’OM n’a pas trouvé de solutions face au bloc rennais et a été puni par Ludovic Blas dans le temps additionnel. Rabiot, encore en rodage dans son rôle de faux meneur, a été défendu par son entraîneur : « Ce n’est pas à cause de lui qu’on a perdu. On aurait pu tout mieux faire. »

Si l’OM veut concurrencer le PSG, il ne pourra se permettre autant d’écarts. « Sinon, on restera toujours une demi-équipe », a martelé De Zerbi. Des renforts sont encore attendus : un latéral gauche, un défenseur central, un milieu, voire un offensif, même si Benatia a rappelé les limites budgétaires. Le retour de Facundo Medina et, à plus long terme, l’intégration d’Igor Paixao devraient offrir de nouvelles perspectives. Mais la vérité d’août, à Marseille, n’est pas toujours celle de la saison.

L’OM s’est-il vu trop beau ?

L’OM a entamé sa saison par une désillusion à Rennes (1-0), loin de l’euphorie estivale. Au lieu de communier avec leurs 1200 supporters, les joueurs ont présenté des excuses, penauds. Symbole du contraste, Facundo Medina, suspendu mais venu encourager ses coéquipiers, est passé de la décontraction à la frustration après la défaite et le sermon de Roberto De Zerbi.

L’été avait pourtant été idyllique : mercato ambitieux (Egan-Riley, Gomes, Medina, Aubameyang, Paixao, Weah), préparation réussie et victoire en fête face à Aston Villa (3-1). Mais les Rennais, réduits à dix plus d’une heure, ont rappelé que tout restait à prouver. De Zerbi, agacé par le « but stupide » concédé, a déploré : « Si on se pense plus fort que ce qu’on est vraiment, ou que les buts tombent du ciel, alors on n’a rien compris. »

Les choix du coach lombard interrogent : Egan-Riley à droite, Murillo à gauche, Kondogbia replacé en défense. Ce dernier, loin de ses promesses passées, a été remplacé à la mi-temps. Leonardo Balerdi, fautif sur l’action décisive de Ludovic Blas, a également déçu. Dans l’entrejeu, Pierre-Emile Höjbjerg peine à retrouver son niveau initial, tandis que Adrien Rabiot doit encore prouver qu’il peut être le chef d’orchestre. Offensivement, Jonathan Rowe reste irrégulier et Amine Gouiri apparaît en retrait, sous la pression de Pierre-Emerick Aubameyang.

Côté direction, Pablo Longoria et Medhi Benatia assument un calendrier volontairement corsé pour anticiper la CAN. Mais ils doivent encore boucler le mercato : un latéral gauche, peut-être un défenseur central et un milieu sont ciblés. « On n’a pas un budget illimité, on surveille les opportunités », a rappelé Benatia. Le club peine toutefois à dégraisser (Harit, Ounahi, Moumbagna, Cornelius, Maupay) et pourrait devoir vendre Rowe pour financer les dernières recrues. Avant le Paris FC puis Lyon, l’OM doit vite corriger le tir pour ne pas compromettre ses ambitions.

Mercato OM : une porte de sortie se profile pour Lirola

Alors que plusieurs éléments ont été écartés du groupe principal pour rejoindre la réserve de l’OM lors de la reprise de l'entraînement, Pol Lirola n’a pas été inclus dans cette vague de mises à l’écart. Des joueurs comme Faris Moumbagna, Ruben Blanco, Bamo Méïté ou encore Azzedine Ounahi ont été invités à se trouver un nouveau club. L’Espagnol, lui, continue de s’entraîner avec l’effectif professionnel, sans pour autant entrer dans les intentions de Roberto De Zerbi.

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Un message tardivement compris par le latéral droit

La situation du joueur formé à l’Espanyol de Barcelone a évolué avec l’arrivée de Timothy Weah, venu concurrencer Amir Murillo dans le couloir droit. Cette nouvelle hiérarchie a définitivement scellé le sort de Lirola dans le projet sportif du coach italien. Si son maintien dans le groupe pro a pu semer le doute, l’intéressé a fini par comprendre qu’il n’aurait pas sa chance cette saison à Marseille. L'an dernier, il avait joué un rôle de doublure contre toute attente, participant à 19 matchs, et se montrant décisif contre Lyon à l'aller comme au retour pour le plus grand plaisir des supporters. Mais pour être complet, le 16e temps de jeu de l'effectif a également déçu avec une expulsion évitable contre Lille, et un apport inexistant sur les derniers mois de la saison.

Une porte de sortie étudiée en Espagne et en Italie

D’après les informations de L’Équipe, Pol Lirola disposerait de touches sur le marché européen, principalement en Espagne et en Italie. Parmi les pistes évoquées, celle du club de Pise tiendrait la corde. Le club entraîné par l'ancien attaquant du Milan AC Alberto Gilardino est promu cette saison en Série A. Reste à savoir si une telle destination conviendra à un joueur qui n'avait pas été transcendant lorsqu'il avait été prêté à Frosinone en 2023-2024 (28 matchs, 2 buts, 2 passes décisives et une relégation en fin de saison).

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Mercato OM : De Zerbi donne sa version du départ de Rongier

En plein stage de préparation aux Pays-Bas, l’Olympique de Marseille continue de dessiner les contours de son effectif pour la saison à venir. Après avoir bouclé plusieurs arrivées – Angel Gomes, Facundo Medina, et bientôt Pierre-Emerick Aubameyang – les dirigeants phocéens s’attellent désormais à équilibrer les comptes en actant certaines ventes. Et l’opération la plus significative à ce jour est celle convenue avec le Stade Rennais.

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Comme annoncé, Rennes va accueillir deux éléments de l’OM : le latéral gauche Quentin Merlin, 23 ans, et le capitaine marseillais Valentin Rongier, 30 ans. Le montant global du deal s’élève à 22,5 millions d’euros, bonus inclus. Si le départ de Merlin était attendu après une saison en demi-teinte, celui de Rongier a de quoi surprendre. Titulaire régulier sous les ordres de Roberto De Zerbi, le milieu de terrain a disputé 27 matchs la saison passée, affichant même un bilan honorable de trois buts et une passe décisive. Mais c’est en coulisses que les choses se sont jouées. Dans un entretien à L’Équipe, De Zerbi a livré les dessous de ce transfert. Selon lui, tout aurait basculé en février dernier. Après la victoire face à Lyon, la direction du club, en concertation avec l’entraîneur, avait proposé une prolongation de deux ans à Rongier. L’offre, jugée sérieuse par Medhi Benatia, a pourtant été refusée par le joueur. Un refus qui a rebattu les cartes. À un an de la fin de contrat, la situation s’est déplacée du terrain vers les bureaux. Pour De Zerbi, ce n’était plus de son ressort.

Malgré l’importance du joueur dans le vestiaire et sur le terrain, l’OM a donc décidé de le laisser partir. Rongier a quitté le stage néerlandais pour passer sa visite médicale à Rennes, où il s’apprête à débuter un nouveau chapitre. Une décision qui divise déjà les supporters bretons, mais qui s’inscrit dans la volonté marseillaise de renouveler en profondeur son effectif.

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Mercato OM : Naples s’offre Miguel Gutierrez, l’OM doublé

C’est fait ! Miguel Gutierrez (24 ans) va rejoindre le SSC Naples en provenance de Gérone. Selon les informations de Fabrizio Romano, un accord total a été trouvé entre les deux clubs pour un montant de 18 millions d’euros, auquel s’ajoutent 2 millions de bonus. Le latéral gauche espagnol, formé au Real Madrid, a clairement affiché sa volonté de signer à Naples malgré d’autres propositions. Il doit désormais effectuer sa visite médicale et finaliser son arrivée dans les prochaines heures. Avec cette signature, Naples renforce un poste clé en misant sur un joueur qui s’est imposé comme l’un des meilleurs à son poste en Liga la saison passée.

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L’OM a tenté 

Ce transfert vient mettre un terme à un dossier suivi de près par l’Olympique de Marseille. Comme nous l'avions annoncé la semaine dernière, le club phocéen s'intéressait à Miguel Gutierrez, dans l'optique de renforcer son côté gauche de la défense avec un joueur d'envergure. Séduit par son profil offensif, l’OM avait entamé des échanges avec le clan du joueur. Mais les ambitions sportives et financières du Napoli ont rapidement pris le dessus. Marseille devra désormais se tourner vers d’autres pistes pour renforcer son couloir gauche avant la reprise.

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OM : nouvel épisode de la série « Sans jamais rien lâcher » ce samedi à 20 h

L’Olympique de Marseille innove et séduit. Avec le lancement de sa série documentaire « Sans jamais rien lâcher », le club phocéen propose un format inédit sur sa chaîne YouTube, qui mêle immersion, émotion et storytelling de haut niveau. Le premier épisode, intitulé « PrOMesses », a été un véritable succés, confirmant l’appétit des supporters pour ce type de contenu exclusif.

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À travers six épisodes, cette mini-série revient sur la saison 2024-2025, celle de Roberto De Zerbi, des choix assumés et d’un renouveau footballistique. Des images des vestiaires, des séances d’entraînement, mais aussi des moments de tension et de joie rythment ce récit immersif, pensé pour plonger les fans au cœur de l’intimité du groupe. Le choix du format long et narratif permet de donner de la profondeur à l’histoire d’un club en pleine reconstruction, revenu sur le devant de la scène avec une deuxième place en Ligue 1 et un ticket pour la Ligue des Champions. Ce succès n’est pas anodin : comparé à d’autres grands clubs européens, l’OM parvient à générer un engouement rarement atteint. 

La suite est déjà attendue avec impatience. Le deuxième épisode, prévu pour ce samedi soir à 20h, promet de monter d’un cran, notamment avec une séquence où Pierre-Émile Højbjerg s’emporte dans les vestiaires. De quoi attiser la curiosité et renforcer encore un peu plus l’attachement entre le club et ses fidèles. L’OM réussit là un coup double : renforcer sa marque et rapprocher toujours plus ses supporters de son vestiaire.

Mercato OM : De Zerbi tient son ailier, Paixao débarque !

L’OM arrache Paixao

Il aura fallu du temps, de la patience et une forte dose de détermination pour que l’Olympique de Marseille parvienne à ses fins. Ciblé depuis plusieurs semaines, Igor Paixao s’apprête enfin à rejoindre le club phocéen. Les dirigeants marseillais ont trouvé un terrain d’entente avec le Feyenoord Rotterdam pour un montant avoisinant les 35 millions d’euros, bonus compris. Un accord qui récompense la ténacité de Pablo Longoria et Medhi Benatia, qui ont su résister à la concurrence de Leeds United, prêt à surenchérir dans les dernières heures. Le joueur brésilien de 25 ans, repéré bien avant la fin du dernier championnat, figurait sur une short-list comprenant d’autres ailiers néerlandais comme Noa Lang ou Johan Bakayoko. Mais c’est bien Paixao, droitier percutant évoluant à gauche, qui a remporté l’adhésion du staff marseillais. Son profil colle parfaitement aux attentes de Roberto De Zerbi, en quête d’un renfort offensif pour son système en 4-2-3-1. Auteur d’une saison remarquable aux Pays-Bas avec 16 buts et 10 passes décisives, Paixao a aussi brillé en Ligue des champions. Séduit par la perspective de rejouer cette compétition avec l’OM, il n’a jamais changé d’avis malgré les sollicitations. Actuellement au Brésil pour soigner une blessure musculaire, il est attendu à Marseille pour finaliser son arrivée.

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Paixao, le gros coup de l'OM

Les dirigeants marseillais ont dû s’armer de patience, mais ils tiennent enfin leur homme. Après des semaines d’âpres négociations, l’Olympique de Marseille est parvenu à un accord total avec Feyenoord pour la venue d’Igor Paixao. Le deal, conclu pour 30 millions d’euros assortis de 5 millions de bonus, symbolise l’une des opérations les plus significatives du club phocéen ces dernières années. Convoité également par Leeds, qui avait formulé une offre légèrement supérieure, Paixao a pourtant maintenu sa volonté de rejoindre Marseille. Attiré par la perspective de disputer la Ligue des champions et séduit par le discours de Roberto De Zerbi, le Brésilien s’est montré déterminé. L’entraîneur italien, en quête d’un nouvel ailier gauche après le départ de Luis Henrique, a validé ce profil explosif, capable de faire la différence balle au pied et dans les zones décisives. Formé à Coritiba, puis passé par Londrina en prêt, Paixao a brillé à Feyenoord ces trois dernières saisons. Son dernier exercice a été particulièrement impressionnant : 18 buts, 19 passes décisives, toutes compétitions confondues. De quoi convaincre l’état-major marseillais qu’il s’agit là d’un renfort de premier ordre. Désormais attendu à Marseille pour sa visite médicale, Paixao va découvrir un club exigeant et une ferveur unique. À lui de répondre aux espoirs placés en lui.

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