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Mercato OM : Accord OM-Montpellier pour Ngapandouetnbu

Mercato OM : Accord OM-Montpellier pour Ngapandouetnbu

Un transfert finalisé entre l’OM et Montpellier

Comme annoncé fin juillet, Montpellier s’était positionné avec insistance sur Simon Ngapandouetnbu pour renforcer son poste de gardien, suite au départ de Benjamin Lecomte vers Fulham. Le MHSC a rapidement fait du jeune portier de l’OM sa priorité pour aborder la saison de Ligue 2. Les négociations entre les deux clubs ont avancé dans un bon climat, les deux directions partageant l’envie de finaliser rapidement ce dossier.

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Selon les information de Foot Mercato, un accord a désormais été trouvé. Simon Ngapandouetnbu va rejoindre Montpellier à titre définitif. Le transfert se fera sans indemnité, mais l’OM a intelligemment intégré deux clauses importantes : une prime en cas de remontée du MHSC en Ligue 1 et une option prioritaire de rachat si le joueur venait à exploser.

Une nouvelle étape dans sa progression

À 22 ans, Ngapandouetnbu doit désormais franchir un cap. Barré par la concurrence à Marseille, il avait été prêté à Nîmes en National pour gagner du temps de jeu. S’il n’a pas encore percé au plus haut niveau, ses qualités et son potentiel sont bien identifiés. Ce départ vers Montpellier peut lui offrir un vrai tremplin, dans un club en reconstruction après sa relégation. Le joueur est attendu ce jeudi dans l’Hérault pour passer sa visite médicale et parapher son contrat. L’OM, de son côté, poursuit l’épuration de son effectif tout en gardant un œil sur l’avenir de ses jeunes talents.

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Mercato OM : le Pana insiste, nouvelle offre pour Ounahi ?

Mercato OM : le Pana insiste, nouvelle offre pour Ounahi ?

Le Panathinaïkós revient à la charge

Le dossier Azzedine Ounahi continue d’animer l’actualité marseillaise. Après avoir soumis une offre estimée à 5 millions d’euros, plus 3 millions de bonus et un pourcentage à la revente, le Panathinaïkós a essuyé un refus net de la part de l’Olympique de Marseille. La proposition, jugée insuffisante par la direction olympienne, n’a pas refroidi les ardeurs du club grec, déterminé à formuler rapidement une nouvelle tentative.

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Une stratégie ferme côté marseillais

La direction phocéenne reste intransigeante sur la valorisation du joueur. Arrivé en janvier 2023 après un Mondial remarqué avec le Maroc, Ounahi n’a jamais trouvé une place de titulaire indiscutable. Néanmoins, son profil technique et sa marge de progression incitent l’OM à maintenir un prix de départ élevé, estimant que l’offre initiale ne reflète pas son potentiel sur le marché.

Un feuilleton à suivre d’ici la clôture du marché

Avec moins d’un mois avant la fermeture du mercato estival, le dossier pourrait se transformer en véritable bras de fer. Du côté grec, on croit à une issue favorable, surtout si les moyens financiers sont revus à la hausse. À Marseille, le dossier est abordé avant tout sous l’angle financier, la situation sportive du joueur ne faisant plus partie des priorités du staff.

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Rennes 1-0 OM : clash verbal entre Rowe et Rabiot dans le vestiaire après le match

Rennes 1-0 OM : clash verbal entre Rowe et Rabiot dans le vestiaire après le match

La première journée de Ligue 1 a laissé un goût amer à l’Olympique de Marseille. Battus à Rennes (1-0) malgré une supériorité numérique durant une grande partie du match, les Olympiens ont vu leur frustration exploser une fois la porte du vestiaire refermée. D’après RMC Sport, plusieurs joueurs ont laissé éclater leur colère dans une atmosphère électrique, reflet d’un groupe agacé par sa prestation et par l’écart entre les promesses estivales et le visage affiché sur le terrain.

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Une altercation tendue entre Rowe et Rabiot

Au cœur de ce moment de tension, un épisode a particulièrement marqué les esprits : une confrontation verbale entre Adrien Rabiot et Jonathan Rowe. L’ailier anglais, visiblement touché par des critiques adressées à son manque d’investissement, a vivement répliqué en anglais, entraînant un face-à-face houleux avec le milieu de terrain. Plusieurs sources confirment qu’il n’y a pas eu d’échange physique, mais la scène a cristallisé le malaise ressenti par une partie du vestiaire. L’avenir de Rowe, déjà incertain en cette fin de mercato, pourrait s’assombrir encore davantage.

Un vestiaire qui refuse la médiocrité

Cette colère ne s’est pas limitée à l’altercation entre deux joueurs. Plusieurs cadres du groupe ont élevé la voix pour dénoncer une prestation jugée indigne du standing marseillais. Geronimo Rulli, Léo Balerdi et Pierre-Emile Hojbjerg ont pris la parole dans différentes langues, rappelant les exigences de rigueur et d’engagement attendues. Des phrases tranchantes ont fusé, comme : “On n’a pas le droit de faire ce match” ou “On ne respecte pas tout ce qu’on a mis en place” selon le même média.

De Zerbi en chef d’orchestre de la tempête

Face à cette explosion collective, Roberto De Zerbi n’a pas immédiatement calmé le jeu. Bien au contraire, l’entraîneur italien a laissé les tensions s’exprimer pour permettre à chacun de vider son sac. Ce n’est qu’après cette décharge émotionnelle qu’il a pris la parole, fermement, pour recadrer l’ensemble de son effectif. Accompagné de Medhi Benatia, il a insisté sur des principes fondamentaux : humilité et respect du maillot. Un discours qui a permis de refermer momentanément la parenthèse houleuse. Il s'est ensuite présenté en conférence de presse, ce qui explique son passage tardif, où il a plus tenu un rôle de catalyseur, comme vous pouvez le voir dans la vidéo.

Un mal pour un bien ?

Ce samedi, les joueurs assumaient pleinement ce coup de sang, perçu en interne comme un signal positif : celui d’un vestiaire qui ne tolère pas la défaite et refuse de se contenter de l’à-peu-près. Reste à savoir si cet épisode sera suivi d’effets sur le terrain, dès la prochaine sortie à domicile contre le Paris FC. En tout cas, fort qui plus est de la diffusion d'un documentaire sur la saison dernière où les cadres banalisaient face caméra ce genre d'incidents, nul doute que cela ne choquera pas, et n'influencera pas qui que ce soit, concernant Jonathan Rowe ou Adrien Rabiot. 

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OM : “J’ai eu des frissons d’être encore respecté à Marseille" livre Max Lopez

OM : “J’ai eu des frissons d’être encore respecté à Marseille" livre Max Lopez

Dis-nous un peu ce que ça fait ce retour au Vélrodrome. Le score n'est pas en votre faveur, mais ça a dû être émouvant.

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Maxime Lopez : Non, déjà, en plus d'être capitaine aujourd'hui, c'était un symbole, une fierté. On en a parlé avec le coach. C’est vrai qu’il avait ce souhait-là et attendait beaucoup de moi. Ce ne sont que de bons souvenirs. En sortant du tunnel, on voit la photo de Dimitri Payet et Sakai lors du match contre Leipzig, ils se prennent dans les bras. J'ai vécu des moments magnifiques ici, d'autres plus compliqués, mais j'ai un amour fou pour ce club. Après, ce n'est pas forcément mérité, mais leur victoire n'est pas imméritée non plus. Le score est lourd.

Il y a un truc qui fait plaisir, c’est que tu as été acclamé avant le match, ce qui n’a pas toujours été le cas. Ça s’est bien passé avec Steve il y a quelques mois, et là on sent du respect pour ton passage. Tu avais une petite appréhension avant ?

M.L. : Non, honnêtement. J’ai toujours repecté le club. On peut dire ce qu’on veut à propos de mes 150 matchs à l’OM, mais je pense que je n’ai jamais triché. Je n’ai jamais créé de vagues au club. J’ai toujours respecté le maillot. Je suis un jeune issu du centre, en plus. Les frissons, honnêtement, d’être encore acclamé, d’être encore respecté par ce club… Pour moi, ça restera le plus grand club en France, même s’il y en a un autre qui a fait de belles choses l’an dernier. C’est une fierté. J’ai kiffé mon moment. Mon frère jouer au vélodrome, pour lui c'est la consécration.… franchement, je pense qu’il va en rêver toute la nuit, même si la fin de match a été compliquée.

Tout à l’heure tu disais que ce n’était pas démérité. Vous y avez vraiment cru ?

M.L. : Franchement, oui. Je dis que ce n’est pas démérité parce que voilà, le match finit à 5-2, je ne peux pas dire qu’on a mérité de gagner, on ne va pas se mentir. Mais moi, qui ai joué ici, qui connais le contexte, on savait qu’avec la semaine qu’ils ont passée, si on arrivait à les faire douter, ça allait jouer en notre faveur. Et voilà, ça fait chier de prendre ces buts un peu bêtes, parce que contre ces joueurs-là, tu ne peux rien faire. Si tu fais ces cadeaux-là, t’es mort. Et malheureusement, le score est là. Mais il y a eu de bonnes choses. On ne va pas dire qu’on a fait des très bonnes choses, mais il y en a eu.

Justement, en face, il manquait des joueurs importants, et ils n’ont pas encore fini leur mercato. Mais on a vu que c’était le très haut niveau, non ?

M.L. : Oui, des joueurs comme Greenwood, Aubameyang, Gouiri… c’est le très haut niveau. Même Højbjerg au milieu, c’est quelque chose. Je suis fier de mon équipe et je leur redirai à mes coéquipiers. Je ne l’ai pas dit après le match, chacun est dans son coin, mais franchement, je trouve qu’ils me l’ont rendu. C’était un peu mon match, on ne va pas se mentir. Et franchement, sur le terrain, ils ont tout donné. J’ai vu des mecs fatigués. On a tout donné. Après, ça fait chier de perdre 5-2, mais le football, c’est aussi prendre des points. On n’est pas inquiets du tout. On sait que le mercato doit se terminer, on a besoin de se renforcer. Tout le monde le sait. On en est conscients. Donc, tranquillement, on va profiter un peu à Marseille, puis on retournera bosser à Paris. Il y a des choses à faire.

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Mercato OM : Laurienté file en Premier League

Mercato OM : Laurienté file en Premier League

Ce ne sera pas pour cette fois. Annoncé parmi les cibles étudiées par l’Olympique de Marseille afin de muscler son secteur offensif en vue de la Ligue des Champions, Armand Laurienté ne rejoindra pas la Canebière. L’ailier français de 26 ans s’apprête à prendre la direction de l’Angleterre, où il va retrouver Régis Le Bris à Sunderland, selon les informations de Fabrizio Romano.

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Auteur d’une saison éblouissante en Serie B avec Sassuolo, Laurienté a été l’un des grands artisans du retour immédiat du club italien dans l’élite. Avec 19 buts et 6 passes décisives en 34 matchs, l’ancien Rennais a confirmé tout son potentiel offensif, mêlant vitesse, percussion et justesse dans les zones décisives. Sunderland, récemment promu en Premier League, n’a pas hésité à casser sa tirelire : le transfert est estimé à 20 millions d’euros. Un investissement ambitieux pour un club qui affiche clairement sa volonté de s’installer durablement dans l’élite anglaise. Laurienté viendra renforcer un effectif où la patte francophone est de plus en plus marquée, avec déjà les arrivées de Noah Sadiki, Habib Diarra et Enzo Le Fée.

Régis Le Bris, qui a déjà dirigé Laurienté lors de son passage à Lorient, compte bien s’appuyer sur lui pour faire franchir un cap aux Black Cats. Mais le défi est grand : la Premier League exige rigueur, adaptation rapide et rendement immédiat. Des qualités que le joueur a su démontrer en Italie, mais qu’il devra confirmer à un tout autre niveau. Pour l’OM, ce revers reste relatif. Laurienté n’était pas une priorité absolue du nouveau directeur sportif Medhi Benatia. Néanmoins, ce dossier refermé oblige désormais Marseille à redoubler d’efforts sur d’autres cibles pour étoffer une attaque encore en construction.

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De Zerbi : "pour être une grande équipe, il faut faire plus"

De Zerbi : "pour être une grande équipe, il faut faire plus"

Quelle analyse faites-vous du match ?

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Roberto De Zerbi : Nous avons eu de nombreuses occasions, mais nous n'avons pas marqué. Ensuite, nous avons concédé un but stupide. Comme je l’ai dit hier en conférence de presse, les matchs précédents ne comptent pour rien. C’est une défaite dont nous devons tirer parti : si nous pensons que nous sommes meilleurs que nous ne le sommes et que les buts tombent du ciel, alors nous n’avons rien compris.

Quelle a été votre réaction à la position d’Adrien Rabiot en numéro 10 ? Et que pensez-vous de sa performance contre Rennes ?

R.D.Z. : Rabiot a toujours joué avec moi à cette position. Il est vrai que lorsqu’ils ont été réduits à dix, il y avait encore moins d’espace dans la surface. Il s’est bien déplacé, parfois à droite, parfois à gauche. Ce n’était pas sa meilleure performance, mais ce n’est pas à cause de lui que nous n’avons pas gagné. Il faut simplement plus de mordant, de cynisme, de désir et d’engagement. Les buts ne tombent pas du ciel, il faut aller les chercher.

Qu’est-ce qui vous agace le plus ce soir ? Ne pas avoir gardé le 0-0 ou avoir encaissé ce but stupide ?

R.D.Z. : Ce qui m’a vraiment agacé, c’est d’avoir concédé ce but. Nous avons tout fait pour marquer, parfois ça rentre, parfois non. Nous avons commis des erreurs dans la finition, mais surtout, nous ne devrions même pas risquer de concéder ce genre de but.

Quel message avez-vous adressé à vos joueurs après ce match ? Les murs ont tremblé?

R.D.Z. : Personne n’a secoué le vestiaire. Dans le football, ce que vous avez fait hier ne compte pas aujourd’hui. Le prochain match commencera toujours à 0-0. Pour rester à Marseille, la qualité la plus importante est l’équilibre : rester toujours au même niveau de motivation, d’humilité, de travail et de sacrifice. Si on alterne trop entre euphorie et relachement, on ne peut pas progresser. Ce soir, on aurait pu gagner vu les occasions créées, mais pour être une grande équipe, il faut faire plus.

Pensez-vous que votre équipe a manqué de personnalité ?

R.D.Z. : Non, je pense que nous avons eu la personnalité pour jouer. Mais nous n’étions pas au niveau d’ambition, de faim et de dureté montré contre Aston Villa. Même en cas de victoire ce soir, j’aurais tenu le même discours : pour viser haut, il faut maintenir ce niveau d’exigence en permanence.

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Mercato OM : l'arrivée d'Aubameyang prévue début de semaine prochaine

Mercato OM : l'arrivée d'Aubameyang prévue début de semaine prochaine

L’attente a été à la hauteur de l’enthousiasme suscité par le retour annoncé de Pierre-Emerick Aubameyang à l’Olympique de Marseille. Mardi, le club a dû publier un communiqué inhabituel pour calmer l’impatience de ses supporters, expliquant que l’arrivée de l’attaquant était retardée, sans toutefois préciser la raison de ce contretemps. De quoi laisser place à toutes sortes de rumeurs, allant du problème administratif au retournement de veste. Le silence prolongé du club a entretenu le flou, jusqu’à ce qu’une photo, diffusée vendredi sur les réseaux sociaux, montre Aubameyang à l’entraînement, habillé aux couleurs de l’OM. Un signe rassurant qui a ouvert la voie à une confirmation officielle.

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Ce samedi, Marc Mechenoua, journaliste reconnu pour sa fiabilité sur le dossier Aubameyang, a levé les dernières incertitudes. Selon lui, rien ne fait obstacle à la signature du joueur de 36 ans, qui devrait poser ses valises à Marseille en début de semaine prochaine. Libre depuis son départ d’Arabie saoudite, le Gabonais rejoindra donc le groupe un peu plus tard que prévu, après le stage aux Pays-Bas. Mais ses séances individuelles lui auraient permis de rester affûté. Une bonne nouvelle pour De Zerbi, qui compte sur l’expérience de l’ancien joueur d’Arsenal pour renforcer son secteur offensif.

Greenwood, déjà en mission

Pendant que le feuilleton Aubameyang animait les discussions sur la Canebière, les joueurs présents au stage ont entamé leur préparation estivale. Et un nom s’est particulièrement distingué : celui de Mason Greenwood. Critiqué la saison passée pour un investissement physique jugé insuffisant, l’attaquant anglais semble déterminé à faire taire ses détracteurs. D’après L’Équipe, le staff olympien s’est montré agréablement surpris par son état de forme et son implication dès les premières séances.

L’arrivée annoncée d’un concurrent du calibre d’Aubameyang n’est pas étrangère à ce regain de motivation. Le message envoyé par Roberto De Zerbi est limpide : la concurrence sera totale, et chacun devra mériter sa place. Greenwood, visiblement, a bien reçu le message.

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Mercato OM : « Paixão à l’OM ? C’est un recrutement cohérent et ambitieux »

Mercato OM : « Paixão à l’OM ? C’est un recrutement cohérent et ambitieux »

 Sur les ondes de RMC, dans l’After Foot, Walid Acherchour a livré une analyse très positive de la signature d’Igor Paixão à l’OM, proche d'être officialisée pour un montant de 30 millions d’euros, assortis de 5 millions de bonus. Une opération ambitieuse, qui selon lui témoigne d’une réelle cohérence dans le projet marseillais. "C’est une vraie bonne nouvelle", a-t-il lancé d’entrée. "Ça fait longtemps que l’on savait que l’OM avait fait de Paixão sa priorité numéro un, et malgré la concurrence de clubs comme Leeds ou d’autres à l’étranger, ils ont réussi à aller au bout."

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Pour ce dernier, cette arrivée est d’autant plus significative qu’elle s’inscrit dans une stratégie assumée : "Ce que je trouve intéressant, c’est que le club a un plan clair. Ils ne prennent pas un joueur au hasard. Paixão, c’est une cible identifiée, validée par De Zerbi, en lien avec ce qu’il veut faire de cette équipe. C’est en totale symbiose avec le projet de jeu." Le journaliste reconnaît ne pas être un spécialiste absolu du joueur, mais il se montre confiant : "Je l’ai vu par moments, je me suis documenté, et ce qui revient, c’est qu’il a du caractère, qu’il a joué la Ligue des champions avec Feyenoord, et surtout qu’il a été coaché par Arne Slot, un grand entraîneur qui en dit le plus grand bien."

Et dans le contexte actuel, il estime que le prix n’est pas excessif : "30 + 5 millions ? Bien sûr que c’est beaucoup, mais c’est le marché. Quand on voit Nathan Zeze à 22 M€, Luis Henrique à 25 M€, ou Gimenez à 35 M€… C’est le tarif aujourd’hui pour des joueurs offensifs qui ont déjà performé à haut niveau." Il en profite pour rappeler que le poids d’un transfert peut être un facteur à Marseille, mais ne doit pas tout conditionner : "Oui, jouer à l’OM, c’est une pression énorme. Et encore plus avec un gros prix. Mais si le joueur est prêt mentalement, qu’il est bien accompagné dans une équipe qui commence à trouver des repères, alors ça peut très bien se passer." En conclusion, Acherchour se montre résolument optimiste : "On jugera sur pièces, évidemment. Mais aujourd’hui, c’est un recrutement cohérent, ambitieux, et qui envoie un signal fort. Pour moi, oui, c’est une très bonne nouvelle pour l’OM."

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Mercato OM : le projet de l'OM pour Tsimikas

Mercato OM : le projet de l'OM pour Tsimikas

Suite à l'annonce vendredi de Medhi Benatia avant Rennes-OM, qui indiquait que le club voulait recruter un latéral gauche, de nombreux supporters se sont mis à imaginer le recrutement de Kostas Tsimikas. Ce mercredi, Foot Mercato annonçait que l'OM se penchait sur son cas. Selon L'Equipe, les dirigeants de l’Olympique de Marseille étudient la possibilité de faire venir Kostas Tsimikas sous la forme d’un prêt. Le profil du latéral gauche grec, actuellement à Liverpool, plaît au staff olympien, en quête d’une option fiable pour renforcer le couloir gauche.

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Une expérience précieuse malgré un temps de jeu limité

Arrivé en Premier League à l’été 2020 en provenance de l’Olympiakos, Tsimikas n’a jamais réussi à déloger Andrew Robertson de son statut de titulaire. Malgré cela, il a disputé 115 matchs avec les Reds, délivrant 18 passes décisives, preuve de son activité dans son couloir. À 29 ans, il pourrait être tenté par un nouveau challenge pour retrouver du rythme et de la régularité alors qu'il est désormais numéro 3 de la hiérarchie chez les Reds, qui ont lâché 47 millions d'euros pour le Hongrois Milos Kerkez, titulaire devant Robertson sur ce début de saison.

Un deal compliqué mais pas impossible

Sous contrat avec Liverpool jusqu’en 2027, l’international grec a des portes de sortie en Premier League. L’OM devra convaincre le joueur sur le projet sportif… et espérer que rien ne se décante pour Robertson. Car Arne Slot, le coach de Liverpool, ne laissera pas partir Tsimikas si Robertson trouve preneur. Avant que le Real Madrid n'opte pour Carreras, et l'Atlético pour Ruggeri, le nom de l'international écossais circulait dans la capitale espagnole. Le dossier pourrait se débloquer dans les derniers jours du mercato. Mais l'OM aurait besoin d'un Tsimikas rapidement dans un couloir où ne se trouve pour l'instant qu'Ulisses Garcia.

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OM : tout ce qu'il faut retenir de la nouvelle interview de Véronique Rabiot

OM : tout ce qu'il faut retenir de la nouvelle interview de Véronique Rabiot

Aucune rivalité entre Marseille et le Paris FC

Le match entre l’Olympique de Marseille et le Paris FC, prévu samedi au Vélodrome, ne porte en lui aucune notion de rivalité sportive ou de tension historique entre supporters. Pour la première fois depuis 2015, un parcage visiteurs accueillera un peu plus d’une centaine de supporters parisiens, une décision validée par les autorités après la traditionnelle réunion de sécurité. L’autorisation s’explique par le faible nombre de supporters encadrés, leur profil bien identifié et l’absence totale d’antagonisme entre les deux clubs. Contrairement au PSG, auquel le PFC est parfois associé par confusion, aucune animosité n’existe avec Marseille. Du côté des ultras parisiens, le ton est à l’humilité : conscients de découvrir l’élite et de ne pas avoir les moyens de rivaliser numériquement ou symboliquement, ils se rendent à Marseille dans un esprit de fête et de découverte. Clément, porte-parole des Old Clan, résume cette approche en expliquant qu’ils viennent « pour le foot » et qu’ils voient surtout l’occasion d’observer la ferveur du Vélodrome comme une leçon. Même son de cloche chez Maxence des Ultras Lutetia, qui balaye l’idée d’une rivalité et insiste sur le fait que leur club n’est pas le PSG et ne cherche pas à l’être. Du côté des dirigeants parisiens, le déplacement est aussi perçu comme une opportunité unique. Le président Pierre Ferracci parle d’un bonheur de vivre la Ligue 1 malgré ses contraintes, et la délégation du club s’annonce conséquente, avec notamment la présence d’Antoine Arnault. Les joueurs eux-mêmes expriment leur enthousiasme : Ilan Kebbal, natif de Marseille, avoue son excitation de retrouver la pelouse du Vélodrome, qu’il considère comme un stade à part, et espère profiter du moment tout en ramenant un résultat. À l’inverse, dans la cité phocéenne, l’annonce de cette confrontation dès la deuxième journée du championnat n’a suscité aucune émotion particulière. Les supporters marseillais restent largement indifférents au Paris FC, concentrés sur les affaires internes du club et surtout sur l’affaire Rabiot, qui occupe toutes les conversations. Les dirigeants de l’OM redoutent davantage les banderoles hostiles qui pourraient s’adresser à eux que les éventuels débordements liés à la présence des supporters parisiens. Sur les réseaux sociaux, la plaisanterie autour d’un possible but décisif de Maxime Lopez, désormais au PFC, illustre ce climat où l’ironie l’emporte sur l’intérêt sportif. Ce Marseille-Paris n’a donc rien d’un duel électrique : pour le PFC, c’est une fête et un apprentissage, pour l’OM, une simple formalité noyée dans un contexte de crise.

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Nouvel entretien fleuve de Véronique Rabiot

Dans un long entretien, Véronique Rabiot, mère et représentante d’Adrien Rabiot, ne cache ni son incompréhension ni sa colère face à la décision de l’Olympique de Marseille de pousser son fils vers la sortie. Alors que le joueur a été placé sur la liste des transferts à la suite d’une altercation dans le vestiaire après la défaite à Rennes, elle dénonce une « histoire montée », des mensonges de la direction et une sanction qu’elle juge totalement disproportionnée. Dès les premières minutes de l’interview, elle conteste la version officielle évoquant une « violence inouïe » : pour elle, il ne s’agit que d’un incident banal de vestiaire, sans blessé, sans intervention médicale, et qui aurait très vite dû être classé sans suite. Elle assure que la bagarre n’a même pas commencé entre Adrien et Jonathan Rowe, mais entre Rowe et Geronimo Rulli, et que son fils ainsi que Pierre-Emile Højbjerg avaient tenté de séparer les deux hommes avant que les choses ne dégénèrent. Apprenant l’affaire par la presse, Véronique Rabiot explique que son fils considérait l’incident comme anecdotique, au point de ne pas lui en avoir parlé lors de leur rencontre le lendemain. Elle raconte avoir tenté d’obtenir une discussion tripartite avec Medhi Benatia, en vain, ce dernier préférant déléguer la communication au secrétaire général Benjamin Arnaud. C’est ainsi qu’Adrien aurait appris qu’il n’entrait plus dans les plans de Roberto De Zerbi, au motif de la bagarre mais aussi d’un prétendu manque d’implication depuis le stage d’été. Des reproches qu’elle balaie, soulignant que son fils s’entraîne et travaille toujours avec sérieux. La mère du joueur parle d’ingratitude, de trahison et de manque de respect. Elle rappelle les sacrifices consentis par Adrien pour signer à l’OM, notamment une division par deux de son salaire, et estime qu’après une saison où il a été l’un des leaders de l’équipe, le salir ainsi est inacceptable. Elle s’étonne aussi du décalage entre l’incident et la communication officielle, intervenue plusieurs jours plus tard, comme si tout avait été scénarisé pour justifier une mise à l’écart. Pour elle, les dirigeants utilisent cette histoire comme prétexte pour régler d’autres comptes. Très offensive à l’égard de la direction olympienne, elle pointe directement Pablo Longoria, Medhi Benatia et Roberto De Zerbi. Elle reproche au président et au directeur du football d’avoir eux-mêmes des comportements problématiques – Longoria criant « corruption » devant les caméras, Benatia sanctionné pour ses échanges avec les arbitres, ou encore De Zerbi toujours dans l’excès, parfois même proche d’en venir aux mains avec d’autres entraîneurs. Selon elle, leur attitude n’est pas exemplaire et décrédibilise leur volonté d’imposer une discipline stricte aux joueurs. Elle considère que « le costume est trop grand pour eux », que leur ego prend le dessus et qu’ils ne sont pas capables de gérer leurs émotions. Véronique Rabiot insiste sur l’absurdité d’une sanction aussi lourde pour une simple altercation, quand l’histoire du football regorge d’incidents similaires jamais suivis de telles décisions. Pour elle, Adrien est traité comme un bouc émissaire, alors même qu’il représentait la tête de gondole du projet sportif marseillais et qu’il avait exprimé son envie de rester pour disputer la Ligue des champions. Elle affirme que les joueurs eux-mêmes n’ont pas compris la sanction et que la seule surprise dans le vestiaire est la mise à l’écart d’un élément aussi important. Elle évoque aussi la réaction des supporters, qu’elle comprend, eux qui voient un joueur impliqué et apprécié soudainement relégué au rang d’indésirable. Pour elle, il s’agit d’un immense gâchis et d’un manque de respect non seulement envers Adrien, mais aussi envers les fans et ses coéquipiers, qui peuvent légitimement craindre d’être traités de la même manière un jour. Elle compare même la situation à celle vécue au PSG quelques années plus tôt, estimant que l’OM a réussi à aller encore plus loin dans la mauvaise gestion. Concernant Medhi Benatia, celui qui avait pourtant été l’artisan de la venue de son fils à Marseille, Véronique Rabiot se dit choquée de ses prises de position publiques, qu’elle interprète comme une trahison. Elle rappelle qu’elle s’était opposée initialement à la signature de son fils à l’OM, craignant les tensions liées à son passé parisien, mais que la détermination d’Adrien et l’accueil chaleureux des supporters avaient fini par la convaincre. C’est donc avec encore plus de déception qu’elle vit aujourd’hui ce retournement de situation. Pour elle, la direction marseillaise agit plus par orgueil que par raison. Elle accuse Pablo Longoria de se comporter comme un agent plus que comme un président, et estime que la hiérarchie a choisi de trancher en faveur de De Zerbi au détriment d’un joueur majeur. Elle souligne d’ailleurs le paradoxe d’avoir laissé Adrien s’entraîner à l’écart… avec Jonathan Rowe, l’autre protagoniste de l’altercation, preuve selon elle que la gravité de l’incident est largement exagérée. Véronique Rabiot conclut en regrettant la manière dont son fils est traité, estimant qu’il ne doit plus rien à l’OM, tant il a payé d’avance par ses efforts et ses sacrifices. Elle juge intolérable qu’on l’humilie ainsi après une saison réussie, et rappelle que d’autres joueurs dans des situations bien plus graves – citant Mason Greenwood – ont eu droit à une deuxième chance, contrairement à Adrien. Elle refuse de regretter l’aventure marseillaise, marquée par le soutien des supporters, mais déplore que tout se termine sur une telle note de gâchis et de maltraitance.