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OM : Neal Maupay, entre chambrage assumé et admiration pour Geronimo Rulli

OM : Neal Maupay, entre chambrage assumé et admiration pour Geronimo Rulli

Neal Maupay, l’attaquant de l’Olympique de Marseille, s’est illustré ces derniers jours par ses déclarations franches et piquantes, revenant notamment sur son célèbre chambrage de l’OL et en multipliant les éloges pour Geronimo Rulli, le gardien de l’OM.

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Lors de son passage au Canal Football Club, Maupay a expliqué l’origine de la photo polémique où on le voit poser avec une bouteille arborant le logo de l’Olympique Lyonnais après la victoire marseillaise face aux Gones. "On était dans le vestiaire après le match, on célèbre, tout le monde était content. J’étais en train de boire après la douche et Micka, notre intendant, m’a dit : ‘ce serait bien que je te prenne en photo avec cette bouteille’. J’ai dit : ‘attends, viens, on pose, je bois, avec le logo (de l’OL), on vient de gagner, les gens vont faire le rapprochement’. J’aime bien quand il faut gratter un peu. Je ne vois pas de mal à ça, tant qu’on ne dépasse pas les limites", a-t-il déclaré. Une attitude qui reflète son goût pour le jeu psychologique, autant sur le terrain qu’en dehors.

Maupay fan numéro un de Rulli

Hier, lors d’un live Twitch, l'ancien buteur de Brentdord s’est également illustré par ses éloges appuyées envers Geronimo Rulli. Interrogé sur une comparaison entre Rulli et Jordan Pickford, il n’a pas hésité : "Rulli ou Pickford ? Y’a pas photo, Geronimo c’est un crack." Il a ensuite répété son admiration : "Je vous l’ai dit la semaine dernière, les gars ! Rulli, c’est le meilleur gardien de Ligue 1. Il est trop fort."

 

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TV : l’OM au café et le début de la 12e journée

TV : l’OM au café et le début de la 12e journée

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OM : "Brassier, c'est avant tout une question de confiance"

OM : "Brassier, c'est avant tout une question de confiance"

Comment jugez-vous la saison passée de Lilian Brassier ? On sait qu'il a été un des éléments forts de Brest, qui a terminé sur le podium. Pouvez-vous nous parler un peu de ses qualités et de la manière dont il s'est imposé au fil de la saison ?

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Alexis Czaja : "Oui, alors pour Brassier, c'est un parcours un peu particulier avec Brest. Il a mis trois ans avant de vraiment s'imposer dans l'équipe. Il est arrivé de Rennes, son club formateur, sans avoir joué là-bas. Au début, on voyait son potentiel et ses qualités, mais en match, c'était parfois plus compliqué. Il lui a fallu du temps pour trouver de la régularité et s'imposer. Il a joué à plusieurs postes : défenseur central, axial gauche, et même latéral gauche, un peu comme ce qu’on a pu voir à Marseille en début de saison. C’est à ce poste de latéral qu’il a commencé à obtenir du temps de jeu, il y a deux saisons, et il s’y est plutôt bien débrouillé, même si ce n’est pas son poste de prédilection. Eric Roy a ensuite progressivement décidé de le repositionner en défense centrale en tant qu’axial gauche, début 2023. C'est là qu'il a vraiment explosé. L'année dernière a été la meilleure saison de sa carrière. Il a enfin pu exprimer tout son potentiel qui n'avait pas encore été totalement exploité. Dans le parcours de Brest, qui termine 3e, Brassier, aux côtés de Lees-Melou, a été l'un des joueurs majeurs de l'équipe. Lees-Melou a peut-être un rôle différent, étant plus organisateur du jeu, mais derrière lui, Brassier était le pilier défensif. Même si on parle beaucoup de Brendan Chardonnet en tant que capitaine emblématique, Brassier était le meilleur sur le plan du niveau de jeu .Je n'ai pas souvenir d'un match raté de sa part. Il a eu une expulsion contre Paris, mais c’est une des rares taches dans sa saison, et pour Brest, ça reste anecdotique."

Pouvez-vous nous parler un peu de ses qualités et de la manière dont il s'est imposé au fil de la saison ?

Alexis Czaja : "Pour ses qualités, Brassier possède une excellente lecture du jeu. Il est très fort dans les duels, et surtout, sa capacité de relance est remarquable. C'était le premier relanceur de l’équipe, un rôle essentiel pour Eric Roy qui cherche à imposer un jeu propre et maîtrisé, même dans un contexte de maintien. Brassier a également une bonne qualité de jeu long, avec de très belles transversales, et une sérénité à toute épreuve. Au duel, il est solide, et sa lecture du jeu est excellente. Il a aussi montré son efficacité sur coups de pied arrêtés, notamment avec un but marquant dans le 5-4 contre Rennes, dans les dernières secondes du match. Il a inscrit un ou deux autres buts de la tête durant la saison, montrant qu’il est aussi un bon joueur de tête."

Ses débuts à Marseille vous surprennent-ils ?

A.C : "Ses débuts à Marseille ne me surprennent qu'à moitié. C’est en effet un joueur qui a besoin d’être en confiance. À Brest, qui est un club plus modeste, il lui a déjà fallu du temps pour exploiter pleinement ses qualités. Il a été beaucoup aidé par un préparateur mental, il y a eu un vrai travail de fond qui a permis un déclic, l'aidant à se sentir mieux et à optimiser son jeu. La saison dernière, il a été vraiment très, très bon, et cela coïncidait avec ce travail mental qu’il faisait. C’est un joueur qui a besoin de prendre ses marques et d’être bien entouré pour donner le meilleur de lui-même. Alors, à Marseille, c’est clairement un pari pour lui. Il aurait pu choisir de partir à l’étranger, mais il a préféré prendre son temps et relever ce défi ici."

Avez-vous été surpris par l'intérêt de Marseille, ou même par ce transfert en général ? Pensez-vous que c’était un choix gagnant pour le joueur, ou vous l’imaginiez plutôt partir dans un autre club, peut-être à l’étranger ?

A.C : "Il avait un bon de sortie, donc on savait qu’il allait partir. Chaque année, Brest prévoit le départ d’un joueur majeur, c’est un peu leur modèle économique – même si avec la qualification en Ligue des champions, cela pourrait évoluer. Il avait donc son bon de sortie. D’ailleurs, dès l’hiver dernier, il avait reçu des offres, notamment de Monaco en Ligue 1 qui était très très chaud sur lui. Ca ne s'est pas fait car Monaco voulait un transfert rapide pour pallier les abscences en défense liées à la CAN. L'été dernier, des clubs comme Porto, Milan et certaines équipes de Bundesliga se sont également manifestés. Cependant, le club a décidé de le retenir, et lui-même n’était pas spécialement pressé de partir en milieu de saison. Cet été, il y avait encore des offres de plusieurs clubs, donc c’était un peu surprenant de le voir choisir Marseille, d’autant qu’il n’y avait pas de compétition européenne cette saison-là pour le club. Mais en même temps, ce choix semble logique dans son parcours. Rejoindre un grand club de Ligue 1, c’est un palier supérieur, tout en restant dans un environnement qu’il connaît. C’est un choix réfléchi et intelligent, avec une éventuelle porte ouverte pour l’étranger plus tard. Évidemment, le contexte marseillais est particulier, avec une grosse atmosphère, beaucoup de pression sur les résultats et le niveau de jeu. C’est un vrai pari pour lui, car il va devoir maintenir la dynamique de sa belle saison précédente. C’est un très bon joueur, mais il a besoin d’être en confiance. Sans cela, il pourrait ne pas réussir à exprimer toutes ses qualités."

Vous avez évoqué ses qualités en début d'entretien, notamment sa relance et son jeu aérien. Pourtant, sur ses 11 premiers matchs, on voit surtout un joueur en difficulté balle au pied. Selon vous, est-ce simplement un problème psychologique, une difficulté à gérer la pression marseillaise, ou est-ce qu’il pourrait ne pas être adapté au style de jeu de De Zerbi ? Parce que, d’après ce que vous décrivez, c’est un joueur à l’aise balle au pied, et justement, Roberto De Zerbi demande à ses défenseurs centraux de bien ressortir le ballon. Donc, est-ce simplement un problème de confiance ?

A.C : "Oui, justement, quand il a rejoint Marseille avec De Zerbi, je pensais que ça collerait parfaitement. C’est un joueur qui, comme vous le dites, correspond bien à cette philosophie de relance depuis la défense. La saison dernière, il était le premier relanceur à Brest et très performant dans ce rôle. Il avait vraiment brillé, ce qui a été une belle surprise, et montrait beaucoup d’assurance. Je pense donc qu’il s’agit surtout d’un déclic psychologique, un manque de confiance. À Marseille, il fait face à un palier bien supérieur. Le vrai risque, c’est que Marseille ne lui laisse peut-être pas trois ans pour trouver ses repères. Pour moi, c’est avant tout une question de confiance. Il a montré qu’il savait jouer sereinement, qu’il appréhendait bien son rôle une fois stabilisé. Mais là, c’est son premier gros transfert, avec toute l’attention médiatique qui l’accompagne. Il n’avait jamais joué en Ligue 1 avant Brest, donc il se retrouve exposé à un tout autre niveau de pression. J’espère vraiment qu’il réussira à s’imposer et à montrer l’étendue de ses qualités, parce que c’est un bon joueur. C’est frustrant de le voir dans une équipe censée correspondre à son style, sans pour autant réussir à s’imposer et enchaînant les erreurs. Oui, quand on voit ses maladresses, ça confirme qu’il y a un blocage. J’espère qu’il parviendra à le dépasser."

Est-ce que vous croyez au déclic?

A.C : "Cela va beaucoup se jouer en interne. Il va falloir que le coach réussisse à le mettre en confiance. Moi, j’ai tendance à penser que ça finira par marcher, car ce style de jeu semble bien adapté à ses caractéristiques comme je l'ai expliqué. Il a l’air d’avoir la confiance de De Zerbi, même s’il fait encore des erreurs. C’est son premier grand saut dans un club de ce niveau, alors on verra. Il faut savoir être patient avec lui, mais on sait qu’à Marseille, et dans les grands clubs en général, le temps est souvent limité. C'était donc un vrai pari pour lui. Mais je pense qu’il savait dans quoi il s’engageait. L’année dernière, il était l’un des meilleurs défenseurs de Ligue 1 et un peu sous-coté même, car c’est un joueur assez discret, qui ne se met pas en avant. C’était sa force : il avançait masqué, sans faire de bruit. Mais cette discrétion peut aussi devenir une faiblesse quand il faut être exposé. Il lui faudra peut-être un peu de temps pour s’adapter à cette nouvelle visibilité, mais j’ai confiance en lui. Il peut devenir un très bon joueur: Cette saison est un peu un test pour lui. S’il parvient déjà à relever un peu le niveau, à être solide dans ses matchs, ce sera une bonne base pour la suite. Cela pourrait le mettre en confiance pour, ensuite, avoir une deuxième saison où il pourrait vraiment s’imposer. C’est un joueur pour qui ça peut prendre un peu de temps, mais je pense que cela en vaudra la peine."

Vous mentionniez tout à l'heure que c'était un joueur très discret. À l’entraînement, est-ce quelqu'un qui travaille beaucoup ?

A.C : "Oui, c’est un gros travailleur à l’entraînement, mais sur le terrain, il reste quelqu’un de discret. Ce n’est pas une grande gueule, mais il sait échanger avec ses coéquipiers. En tant que défenseur central, il peut s’imposer physiquement quand c’est nécessaire, mais il n’est pas vraiment un leader de vestiaire. C’est plus un leader sur le terrain, par ses qualités et son sérieux. . Il est très sérieux et ne se satisfait jamais de ses acquis. Je pense qu’il doit son parcours au haut niveau à son travail et à sa persévérance. Il n’a jamais lâché. Je dirais que Brest a été une étape cruciale. Il était vu comme un joueur prometteur, et la saison dernière, à 24 ans, c’était un peu le moment où il devait éclore pour prouver son potentiel. S’il avait fait une saison moyenne, il aurait peut-être fini par retomber dans l’ombre. Mais au contraire, il a pris son envol. C’est un parcours assez classique pour un jeune talent. Il entre maintenant dans une phase charnière, avec une ou deux années pour s’imposer définitivement. Mais je suis confiant, c’est un joueur déterminé qui ne lâchera rien. Il a traversé des périodes de doute, et aujourd’hui, il est prêt pour cette étape supérieure."

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OM : Mea Culpa pour Iliman Ndiaye et Ismaïla Sarr ?

OM : Mea Culpa pour Iliman Ndiaye et Ismaïla Sarr ?

La Premier League, avec son jeu ouvert et ses exigences physiques, semble convenir bien mieux à Ismaïla Sarr et Iliman Ndiaye que la Ligue 1. Sarr, qui a rejoint Crystal Palace, a disputé 17 rencontres de championnat cette saison, avec 9 titularisations consécutives. Auteur de 4 buts et 2 passes décisives, il s’est imposé comme un élément clé de l’équipe londonienne avec un banger claqué contre Arsenal. Ndiaye, quant à lui, a été titulaire lors de 14 des 16 matchs d’Everton en championnat, inscrivant 2 buts en Premier League et un en FA Cup. Il sort d'un gros match contre Chelsea, tout de même dauphin de Liverpool dans cette PL.

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Retourner sur leur passage à l’OM permet de mieux comprendre leur difficile acclimatation. L’attente était immense autour de ces deux joueurs, censés porter le poids de l’attaque phocéenne dans une équipe aspirant à briller en Ligue des champions pour la deuxième année consécutive. Même si ce n'était pas le même registre, si le coach, et donc ses demandes, étaient différents, il fallait, derrière l'attaquant de pointe, faire aussi bien que Cengiz Under et Dimitri Payet. Or, ni Sarr ni Ndiaye n’ont su répondre aux exigences d’un tel contexte. Ndiaye a souvent donné l’impression de se chercher sur le terrain, peinant à s’adapter à un jeu plus restrictif que celui qu’il pratiquait en Championship avec Sheffield United. Son raté à Bergame en demi-finale d'Europa League illustre bien cela. Quant à Sarr, son impact épisodique et son manque de régularité ont fini par lasser les supporters marseillais.

Le retour en Premier League a permis aux deux joueurs de retrouver des contextes mieux adaptés à leurs caractéristiques. Ismaïla Sarr, fort de ses quatre années à Watford, bénéficie d’un environnement qu’il connaît bien. Sa vitesse et sa capacité à exploiter les espaces en transition se marient parfaitement avec le jeu d’une équipe comme Crystal Palace. Selon Saïd Aïgoun, ancien adjoint à Palace, interrogé dans L'Équipe, "le jeu plus ouvert de la Premier League offre à Sarr des opportunités qu’il n’avait pas en Ligue 1". En effet, depuis fin octobre, Sarr s’est imposé dans un rôle plus axial, au sein d’un système en 3-4-2-1, où il peut exploiter son sens du placement et sa vitesse. De son côté, Ndiaye semble également plus à l’aise dans le jeu box-to-box de la Premier League. Idrissa Gueye, son coéquipier à Everton, souligne dans le même article son engagement et sa progression : "Iliman travaille dur et prend progressivement conscience que le talent seul ne suffit pas. Le jeu anglais lui convient bien mieux, avec ses courses incessantes et ses duels physiques". Un des facteurs clés de leur rebond est leur travail hors du terrain. Diomansy Kamara, ancien international sénégalais, révèle que Sarr et Ndiaye ont tous deux investi dans des préparateurs physiques pour perfectionner leur condition et leur finition devant le but. Mais il ne faut pas oublier qu'Everton est 15e du championnat, Crystal Palace est 16e. C'est autre chose de jouer le haut du tableau, la gagne à tous les matchs, même dans une Ligue 1 bien, bien plus faible.

On peut être heureux de leur réussite actuelle et ne pas s'éloigner du constat que ni Sarr ni Ndiaye n’étaient au niveau requis pour triompher sous les couleurs phocéennes. Le poids des attentes, combiné à la pression constante de retrouver la Ligue des champions, a sans doute été trop élevé pour eux. Cela ne sert à rien de refaire l'histoire, sauf à bien s'en rappeler pour ne pas reproduire les mêmes erreurs de recrutement. La direction de l'OM en est consciente. Certains supporters de l'OM, fans des joueurs sénégalais, peuvent afficher un certain regret de ne pas les avoir vus passer une deuxième saison au club pour montrer leur vraie valeur. Une question existe pourtant pour bien resituer leur résurrection : aujourd’hui, qui les échangerait contre leurs successeurs à l’OM, Mason Greenwood (dont vous pouvez retrouver le gril en vidéo) et Jonathan Rowe ?

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Talk Show : Pas de pression pour dimanche

Talk Show : Pas de pression pour dimanche

Retrouvez le replay du Talk Show de ce jeudi 19 décembre 2024 présenté par Sébastien Volpe avec Romain Canuti, Bastien Cordoleani et Antonin Portal.

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Avant-match : OM-Le Havre

Partie 4 : Questions / Réponses

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OM : De Zerbi a joué gros face à Monaco selon Daniel Riolo

OM : De Zerbi a joué gros face à Monaco selon Daniel Riolo

Sur les ondes de RMC Sport, Daniel Riolo est revenu sur la victoire de l’Olympique de Marseille contre Monaco (2-1) au Vélodrome. Un succès important selon le journaliste, qui estime que Roberto De Zerbi jouait une partie de son crédit sur ce match.

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"Vous vous rendez compte du risque qu’ils ont pris avec ce stage commando de trois jours ? Ils ont misé sur la ferveur du Vélodrome et ont joué avec le stress autour de ce match, surtout après la contre-performance face à Auxerre. Organiser une telle opération émotionnelle avant une rencontre comme celle-ci, c’est tout ou rien. Si tu perds, c’est une claque dont il est difficile de se remettre", a analysé Riolo. Le journaliste souligne néanmoins que le pari de l’entraîneur italien a payé. L’OM s’est imposé face à un concurrent direct pour les premières places, confirmant son statut de candidat sérieux dans la course au podium. "Au lieu de ça, tout tourne bien. Meilleur début de saison depuis l’ère Bielsa, tout est positif à l’OM. Mais maintenant, il faut passer à autre chose et continuer à avancer", a-t-il ajouté.

 

Deuxième du classement de Ligue 1, à égalité de points avec Monaco, l’OM impressionne par sa capacité à gérer les changements opérés l’été dernier, entre les départs marquants et les arrivées stratégiques. La patte De Zerbi commence à se dessiner, mais le club phocéen garde une marge de progression intéressante pour le reste de la saison. Une victoire comme celle-ci pourrait être un tournant, tant sur le plan mental que sportif.
 

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OM : " De Zerbi n'est pas venu pour jouer avec des éléments qui ne lui plaisent pas "

OM : " De Zerbi n'est pas venu pour jouer avec des éléments qui ne lui plaisent pas "

Enquête après l'incident sur Ambre Godillon au Vélodrome

La commission de discipline de la LFP a décidé d'ouvrir une enquête suite à l'incident survenu lors du match OM-Auxerre au Vélodrome, où Ambre Godillon, journaliste de DAZN, a reçu un projectile venant des tribunes en fin de première période. Touchée au visage, entre le nez et un œil, la journaliste a exprimé son choc à l’antenne et remercié ses abonnés pour leurs messages de soutien. Malgré l’incident, elle a poursuivi son travail durant le week-end, assurant des reportages à Angers pour le match SCO-PSG puis à Lyon pour le derby OL-ASSE, où elle a été accueillie par un bouquet de fleurs remis par John Textor, dirigeant du club lyonnais. La LFP rendra sa décision le 27 novembre, et des sanctions contre l’Olympique de Marseille pourraient être envisagées en fonction des conclusions de l’enquête.

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Lirola-Garcia, le retour inattendu

Ce matin, La Provence met en lumière le retour surprenant de Pol Lirola et Ulisses Garcia, deux latéraux marseillais qui semblaient en marge du projet cet été. Lirola, en instance de départ, et Garcia, exilé dans le "loft" des indésirables, ont finalement retrouvé une place dans le groupe, voire dans le onze de départ, grâce aux blessures ou à la méforme des autres joueurs. "Quand un entraîneur comme De Zerbi fait confiance à des joueurs, c’est qu’il voit des qualités en eux, les choses qu’ils peuvent apporter. Il n’est pas venu ici pour jouer avec des éléments qui ne lui plaisent pas. Ce n’est pas un hasard", confie Demetrius Ferreira, ancien latéral olympien. Le destin a aussi joué en leur faveur, notamment avec la blessure de Quentin Merlin, qui a permis à Garcia de regagner du temps de jeu. Lirola, lui, a été préféré à Murillo sur plusieurs rencontres, renforçant sa candidature comme titulaire. Symboliquement, lors de l’Olympico contre Lyon, ils avaient chacun marqué, participant activement à la victoire. Malgré des performances irrégulières, comme la prestation décevante de Lirola contre Auxerre, les deux joueurs ont répondu présent la plupart du temps, rappelant qu’ils peuvent encore apporter à la défense marseillaise, bien qu'ils ne soient pas exempts de défauts.

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Saint-Etienne 0-4 OM : les notes de la presse

Saint-Etienne 0-4 OM : les notes de la presse

Balerdi, Rabiot, Hojbjerg et Greenwood accompagnent Luis Henrique

De Lange (5,5) – Murillo (5,5), Balerdi (7), Kondogbia (6) – Henrique (8), Rongier (6,5), Hojbjerg (7), Merlin (6) – Greenwood (7), Maupay (6) Rabiot (7)
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Des belles notes pour les Marseillais !

De Lange (6) – Murillo (6), Balerdi (7), Kondogbia (6) – Henrique (8), Rongier (6), Hojbjerg (6), Merlin (6) – Greenwood (7), Maupay (5) Rabiot (7)
De Zerbi (7)

 

Vous pouvez également retrouver les notes du Phocéen en vidéo et dans l'article des notes.

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Mercato OM : un attaquant italien dans le viseur ?

Mercato OM : un attaquant italien dans le viseur ?

Selon La Repubblica, l’Olympique de Marseille aurait ciblé l’attaquant italien Giacomo Raspadori pour le mercato hivernal. Le joueur du Napoli, en difficulté avec un temps de jeu limité, pourrait retrouver Roberto De Zerbi, qui l’avait révélé à Sassuolo. Malgré un début de saison prometteur, l’OM cherche à se renforcer en janvier.

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La priorité reste la défense, avec un besoin criant d’une doublure pour Quentin Merlin à gauche et des options plus solides à droite, où Amir Murillo et Pol Lirola peinent à convaincre. Cependant, les dirigeants marseillais, Mehdi Benatia et Pablo Longoria, explorent également des opportunités dans d'autres secteurs.

 

 

Giacomo Raspadori, 24 ans, peine à s’imposer au Napoli cette saison, n’ayant été titularisé que quatre fois en Serie A. Il n’a pas joué lors des trois dernières rencontres des Napolitains (Rome, Inter et Milan), ce qui pourrait le pousser à envisager un départ. Le joueur est actuellement valorisé à 20 millions d'euros. L’OM représente une destination idéale pour se relancer, avec la perspective de retrouver son ancien mentor De Zerbi, sous les ordres duquel il avait brillé à Sassuolo.

Cependant, l’arrivée de Raspadori poserait des questions en attaque. Elye Wahi, déjà devancé par Neal Maupay dans la hiérarchie des avant-centres, pourrait voir ses opportunités de jouer se réduire encore davantage. Ce transfert potentiel montre que l’OM reste ambitieux et prêt à saisir les occasions sur le marché pour renforcer son effectif, tout en s’appuyant sur les relations de De Zerbi avec ses anciens protégés. Reste à voir si l’opération se concrétisera dans les semaines à venir.
 

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De Zerbi : "Rowe, Koné et Brassier, ça m'embête…"

De Zerbi : "Rowe, Koné et Brassier, ça m'embête…"

Quand on interroge les anciens éducateurs et formateurs d'Elye Wahi, ils expliquent que sa saison un peu mitigée à Lens, qui présentait quelques points communs avec votre style de jeu, par le fait que, dans ses catégories de jeunes, il n’a pas eu l’occasion d’être formé physiquement, ayant souvent sauté des catégories. De même, il n’a pas appris tactiquement à presser, ce qui a entraîné certaines difficultés. Dans sa carrière, notamment à Montpellier chez les pros, il a souvent évolué dans des équipes à bloc bas, misant beaucoup sur sa vitesse et sa capacité à exploiter la profondeur. Je voulais savoir si, au contact de Franck Haise et du vôtre, il a réussi à gommer ces lacunes, ou si c’est encore ce qui freine son adaptation à votre équipe ?

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Roberto De Zerbi : "C’est une bonne question. Tout d’abord, oui, il a actuellement un problème physique, et je ne sais pas s’il sera disponible demain. Pour répondre, je dirais qu’il y a une part de vérité dans ce que vous évoquez. Ce n’est pas uniquement une question de connaissances tactiques ou footballistiques, même si, c’est vrai, il y a peut-être eu des manques à ce niveau dans le passé. C’est aussi une question d’adaptation à un environnement particulier, un club différent de tous les autres. L’idylle avec ce club est également différente de tout ce qu’il a connu auparavant. Mais je juge les joueurs en fonction de leurs qualités, aussi bien sur le plan sportif qu’humain. Elye est vraiment un bon garçon, un très bon joueur avec un potentiel énorme. Une partie de mon travail est de l’aider à s’améliorer. Je crois moins à un collectif imposé qu’aux individualités qui construisent un collectif. Donc, si Elye parvient à progresser et si je peux l’y aider, alors le collectif en tirera naturellement des bénéfices."

Vous établissez vos compositions d’équipe en fonction de ce que vous observez au quotidien à l’entraînement. Depuis votre arrivée il y a cinq mois, comment jugez-vous l’implication de vos joueurs à l’entraînement ? Et quand je parle d’implication, je fais référence au sérieux, à la rigueur et à la discipline. Êtes-vous satisfait ou, au contraire, estimez-vous parfois qu’il faut en demander davantage ? Constatez-vous des différences entre les jeunes joueurs et ceux plus expérimentés, qui ont peut-être davantage de recul ?

Roberto De Zerbi : "Le sérieux des joueurs, du premier jour jusqu’à hier, a toujours été à 100%. Mais il faut évaluer un autre aspect : l’habitude d’être constamment poussé à donner le maximum avec la bonne mentalité, en considérant que chaque entraînement est un match. C’est une habitude à prendre. Un joueur peut tout donner à l’entraînement, mais le véritable palier à franchir, c’est lorsque l’entraînement est perçu comme un match. Si on réussit à inculquer cette mentalité, on est alors réellement prêts à affronter les matchs. À chaque fois que tu enfiles ton maillot et tes crampons, c’est comme si tu jouais un match, que ce soit une opposition le mardi, une séance de finitions ou une rencontre contre le PSG. Il faut être prêt, peu importe l’heure ou le jour : 3h du matin, 10h, 17h, le lundi, Noël ou au mois d’août. C’est une question d’habitude. Quand on regarde des joueurs comme Højbjerg, Rabiot ou Maupay, par exemple, ils ont un avantage à ce niveau par rapport à des jeunes comme Jonathan Rowe ou Elye Wahi. Cela s’explique par l’âge et l’expérience. L’expérience est une valeur ajoutée. On ne la considère pas toujours comme essentielle au début, mais quand on l’acquiert, on comprend qu’elle permet de mieux anticiper et d’appréhender plus rapidement ce qui se passe sur le terrain."

Je voulais vous poser une question sur Adrien Rabiot et son but marqué l’autre jour contre Saint-Étienne. Est-ce que vous considérez que vous avez besoin d’un Rabiot buteur ? On se souvient qu’Allegri, en Italie, lui demandait de marquer 10 ou 12 buts par saison. On sait que votre milieu de terrain n’est pas particulièrement prolifique devant le but. Par exemple, Rongier marque traditionnellement peu de buts, et Højbjerg, avec son positionnement et son rôle, n’en marquera probablement pas énormément non plus. Même Harit, historiquement, n’est pas un grand buteur. Attendez-vous que Rabiot marque 8 ou 10 buts cette saison, ou qu’il apporte quelque chose de plus dans ce domaine ?

De Zerbi : "Rabiot, on aurait besoin d’en avoir deux, trois, quatre, voire cinq comme lui ! J’ai même demandé s’il n’avait pas un frère qui lui ressemble, mais il m’a dit que ses frères ne jouent pas au football, malheureusement. Cela dit, on cherche à augmenter le nombre de buts marqués par tout le monde, y compris les attaquants. Par exemple, Greenwood, qui a déjà inscrit 10 buts, doit se fixer un objectif de 20 à 25 buts. Cela vaut aussi pour Merlin, Ulisses Garcia, Luis Henrique et Højbjerg. Avec leur bagage technique, ils ont la possibilité de marquer davantage. Bien sûr, certains joueurs ont plus de propension à marquer, comme Rabiot, en raison de leurs caractéristiques. D’autres, en revanche, sont moins orientés vers le but, ce qui dépend aussi de leur rôle et de leurs qualités individuelles."

Une question sur Valentin Rongier. On a beaucoup évoqué récemment le fait qu’il apporte, comme vous le dites, de l’équilibre ou même une forme de géométrie à l’équipe. Est-ce qu’il doit aussi être un exemple mentalement pour certains joueurs qui jouent moins, notamment les jeunes, puisqu’il a dit lui-même qu’il avait "fermé sa bouche", qu’il était resté concentré et avait travaillé ? Est-ce qu’en ce sens, c’est un modèle pour le vestiaire ?

Roberto De Zerbi : "Hier, justement, je l’ai pris comme exemple lors de la réunion avec les joueurs. J’anticipe d’ailleurs les questions qui pourraient venir après, notamment sur des joueurs comme Brassier, Koné ou Rowe. Brassier, par exemple, c’est moi qui l’ai voulu ici. Je les ai soutenus, et ça m’embête qu’ils n’aient pas de temps de jeu. Mais le football, c’est ça : personne ne joue parce qu’il est "fils de quelqu’un" ou par favoritisme. C’est le terrain qui décide. Rongier a mérité sa place, et c’est pour cela qu’il joue. Il est une pièce essentielle de notre équipe, et il s’est battu pour cela. J’espère que d’autres, comme Wahi, Koné, Brassier ou d’autres jeunes, auront aussi leur moment, à force de travail et de persévérance. Sur le système de jeu, que ce soit en 4-3-3, avec trois attaquants ou un playmaker, cela ne change pas mon idée principale du football. Mon idée reste la même, peu importe le système. Mais évidemment, je veux voir un bon rendement, et j’adapte en fonction des performances et des besoins."

L’autre question concerne les très jeunes joueurs. On évoquait Jonathan Rowe, Wahi, Brassier, etc., mais cette semaine, Medhi Benatia a donné une interview au magazine La Provence où il expliquait qu’il demandait aux très jeunes de se lâcher davantage, de prouver leur valeur. Selon lui, il n’y a pas encore de "crack", mais il estime qu’ils doivent prouver à l’instant T. Pensez-vous qu’ils sont encore loin de frapper sérieusement à la porte de l’équipe première ?

Roberto De Zerbi : "Je ne sais pas s’ils sont encore loin ou pas, mais le niveau est élevé, très élevé. Je veux continuer à les intégrer, peut-être dès janvier. Moi, je n’ai pas peur de faire jouer les jeunes. Par exemple, lors du match contre Saint-Étienne, Brassier ou Cornelius auraient pu entrer à ce poste, ou bien Méité à la place de Murillo, avec Murillo décalé à celle de Merlin. J’ai décidé de faire entrer celui qui me semblait la meilleure solution à ce moment-là. Je n’offre rien à personne : tout est une question de mérite. Mais cela ne veut pas dire que je ne m’intéresse pas aux jeunes. Au contraire, je les observe constamment et j’attache beaucoup d’importance à leur progression."

Coach, une petite question sur Amine Harit, qui a été expulsé contre Paris avant de souffrir d’une blessure persistante au mollet. On l’a vu la semaine dernière rejoindre le groupe, mais vous ne l’avez pas pris pour le déplacement à Saint-Étienne. Où en est-il physiquement ? Et comment l’intégrez-vous dans le cœur du jeu, compte tenu des changements tactiques que vous avez effectués ces dernières semaines ?

Roberto De Zerbi : "C’est vrai qu’Amine a été sur le banc pendant un certain temps, donc il faut respecter son rythme sur le plan physique. Mais il a réalisé une bonne semaine d’entraînement, et il sera disponible demain. Nous avons joué avec Mason Greenwood et Rabiot en milieux offensifs, mais nous pouvons aussi repositionner Greenwood à droite pour faire jouer Harit. On peut également mettre Luis Henrique à gauche. Il y a encore beaucoup de possibilités tactiques à exploiter. Évidemment, c’est mieux qu’au début de la saison. Harit a été décisif lors de plusieurs matchs, et son retour en forme est une très bonne nouvelle pour l’équipe."