OM-Seville : De Zerbi entre satisfaction et exigences pour la suite
Quelles sont vos impressions après le match nul contre Séville ?
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Il y a beaucoup de choses positives à retenir, que ce soit dans le jeu, l’attitude ou l’agressivité. Les nouvelles recrues — Angel (Gomes), CJ (Egan-Riley), Facundo (Medina), Pierre-Emerick (Aubameyang) — ont bien joué, comme s’ils étaient là depuis longtemps. Mais comme face à Valence, on a beaucoup subi et on ne s’est pas créé assez d’occasions. Il faut qu’on s’habitue à gagner, mais dans l’ensemble, je suis très satisfait.
Vous aviez demandé que le mercato s’accélère il y a quelques jours. Depuis, il y a eu les arrivées de Paixao et Aubameyang. Désormais, qu’attendez-vous d’ici la fin du mercato ? Quel poste souhaitez-vous encore renforcer ?
Je suis désolé, mais je ne peux rien vous révéler. Ce que je peux dire en revanche, c’est que je suis très satisfait de ce qui a été fait jusqu’ici. Toutes les décisions ont été prises en total accord avec Pablo (Longoria) et Medhi (Benatia), que ce soit pour les arrivées ou les départs. Nous sommes parfaitement alignés avec la politique du club. Lors de notre réunion à Miami à la fin de la saison, c’est ce plan que nous avions défini. Jusqu’à maintenant, tout le monde est sur la même longueur d’onde, moi y compris. Je vous assure que je suis très content. Ce n’est pas terminé, dans un sens comme dans l’autre, mais je ne veux laisser place à aucun doute.
Vous avez testé plusieurs choses en défense. Medina est-il destiné à rester dans l’axe ? Egan-Riley va-t-il prendre plus de responsabilités ?
Medina peut jouer dans l’axe lorsqu’on évolue à quatre derrière, ou occuper un rôle plus excentré dans une phase de possession à trois. Il est différent de Garcia et Murillo, et il a une mentalité tellement positive qu’il pourrait jouer n’importe où. CJ est une très belle surprise. Il montre de très bonnes choses. Puisque Medina sera suspendu pour le premier match de championnat contre Rennes, CJ devrait jouer en défense centrale contre Aston Villa pour gagner du temps de jeu et se préparer.
Un mot sur les jeunes comme Bakola ou Vaz. Comptez-vous sur eux cette saison ?
Oui, bien sûr. Ils auront davantage de temps de jeu cette saison. Ce sont des joueurs nés en 2007, très jeunes, mais s’ils sont là avec nous, c’est parce qu’ils sont bons. Quand on est jeune, talentueux et prêt, il faut être lancé.
Vous aviez demandé que le mercato s’accélère il y a quelques jours. Depuis, il y a eu les arrivées de Paixao et Aubameyang. Désormais, qu’attendez-vous d’ici la fin du mercato ? Quel poste souhaitez-vous encore renforcer ?
Je suis désolé, mais je ne peux rien vous révéler. Ce que je peux dire en revanche, c’est que je suis très satisfait de ce qui a été fait jusqu’ici. Toutes les décisions ont été prises en total accord avec Pablo (Longoria) et Medhi (Benatia), que ce soit pour les arrivées ou les départs. Nous sommes parfaitement alignés avec la politique du club. Lors de notre réunion à Miami à la fin de la saison, c’est ce plan que nous avions défini. Jusqu’à maintenant, tout le monde est sur la même longueur d’onde, moi y compris. Je vous assure que je suis très content. Ce n’est pas terminé, dans un sens comme dans l’autre, mais je ne veux laisser place à aucun doute.
Que pensez-vous du recrutement de Paixao et d’Aubameyang ?
Je les apprécie tous les deux. "Auba" voulait vraiment revenir ici. Son départ l’été dernier nous avait fait mal. Je l’ai fait entrer seul sur le terrain pour qu’il puisse recevoir tout l’amour du public. Il a bien répondu. Cela ne remet rien en question pour (Amine) Gouiri, qui a déjà prouvé sa valeur et son talent, et qui part avec une longueur d’avance sur Aubameyang. Pour Paixao, nous cherchions un joueur capable de courir, de marquer mais aussi de défendre. Il faudra toutefois patienter un peu, car il souffre d’un problème musculaire à la cuisse.
Êtes-vous heureux d’avoir retrouvé le stade Vélodrome ?
Revenir ici, c’est toujours particulier, émouvant. C’est presque comme une crise d’abstinence. Je suis convaincu que cette saison, nous aurons moins de difficultés au Vélodrome que l’an passé. Paixao a de l’expérience, Medina aussi. Le vrai défi, ce sera d’enchaîner tous les trois jours. Je vais devoir gérer l’effectif, faire tourner pour éviter les blessures et maintenir tout le monde motivé.
