Mercato OM : la Juve en pince pour Balerdi, l’OM reste ferme

Après l'AS Rome, c'est au tour de la Juventus de Turin de se positionner sérieusement sur Leonardo Balerdi. Selon les informations relayées par La Gazzetta dello Sport, le défenseur argentin de l’Olympique de Marseille séduit de plus en plus en Serie A. En interne, son profil fait l'unanimité, notamment auprès de Giorgio Chiellini. L'ancien capitaine emblématique de la Vieille Dame, aujourd'hui intégré à l'organigramme du club piémontais, verrait en Balerdi un atout idéal pour renforcer la défense centrale turinoise en quête de renouveau.

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Ce regain d'intérêt survient dans un contexte particulièrement favorable : les relations entre la Juventus et l’OM sont excellentes. Pablo Longoria, président de l’OM, a été directeur du recrutement à la Juventus entre 2015 et 2018, tout comme Medhi Benatia, ancien défenseur des deux clubs et désormais dirigeant à Marseille. Un lien de confiance existe, de nature à fluidifier d'éventuelles négociations.

L'OM veut conserver Balerdi

Pour autant, du côté de Marseille, l'heure n'est pas au départ. Si les performances de Balerdi en Ligue 1 cette saison attirent les convoitises, l'OM n'envisage pas de céder son défenseur. Sous contrat jusqu’en 2028, Balerdi a pris une dimension nouvelle sous Roberto De Zerbi, qui apprécie son tempérament et sa capacité à casser des lignes balle au pied.

En coulisses, la Juventus pourrait tenter de faire valoir ses atouts pour convaincre Marseille. Outre les bonnes relations institutionnelles, l'idée d'inclure des contreparties financières importantes, ou même des joueurs, n'est pas à exclure. Reste que le club olympien, fort d'une situation économique désormais plus saine, n'a plus l'obligation de vendre à tout prix ses meilleurs éléments. De quoi compliquer sérieusement la tâche des Bianconeri, même si l’intérêt désormais public de la Juve ne devrait pas rester sans suite cet été.

À suivre dans les prochaines semaines, car si la Juventus passe à l'offensive, il faudra que l'OM reste solide pour conserver l'un de ses piliers défensifs.

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Mercato OM : une proposition d’Al-Ahli pour Greenwood ?

Greenwood, intransférable pour l’OM

L’Olympique de Marseille a reçu une offre importante de 70 millions d’euros de la part du club saoudien d’Al-Ahli pour Mason Greenwood d'après fichajes.net. Mais malgré cette proposition venue du Golfe, le club phocéen ne souhaite pas se séparer de son attaquant vedette, auteur d’une saison exceptionnelle avec 22 buts et 6 passes décisives.

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Un cadre du projet De Zerbi

Arrivé à l’été 2024 en provenance de Manchester United, Greenwood s’est rapidement imposé dans le système offensif mis en place par Roberto De Zerbi. Ses performances sur le terrain et son entente avec des éléments comme Amine Gouiri ou Jonathan Rowe font de lui une pièce maîtresse du projet olympien.

Une clause de revente qui a changé

Une clause insérée lors de son transfert à l'été 2024 stipule que 50 % du montant d’une future revente doit être reversé à Manchester United. Mais comme l'a expliqué Pablo Longoria en conférence de presse à l'issue de la saison, l'OM a levé une clause auprès du club anglais avec la qualification en Ligue des champions de 10% supplémentaires. Ce qui veut dire, en gros, que si jamais une vente avait lieu, l'OM "n'aurait qu'à reverser" 28 millions d'euros aux Red Devils. Vu son prix d'achat, et le paiement de cette clause, il est donc plutôt logique de voir les dirigeants marseillais adopter cette position vu les tarifs sur le marché pour trouver derrière un ailier droit capable d'être décisif 28 fois dans une saison.

Un symbole du renouveau marseillais

Pour Pablo Longoria et Medhi Benatia, Greenwood incarne le renouveau offensif du club. Alors que la préparation pour la saison 2025-2026 bat son plein, l’objectif est clair : bâtir autour de ses talents offensifs et viser les premières places. Refuser cette offre saoudienne, aussi tentante soit-elle, serait un choix stratégique fort.

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OM : De Zerbi dit non à Tottenham et réaffirme sa volonté de rester à l'OM !

De Zerbi dit non à Tottenham !

Alors que l'avenir de nombreux entraîneurs s’écrivait en pointillés en ce début d’été, une rumeur venait perturber les plans de l’Olympique de Marseille : l’intérêt de l'Inter Milan pour Roberto De Zerbi. Selon Fabrizio Romano, bien informé sur les mouvements du marché, les Spurs ont aussi récemment approché l’entraîneur italien pour lui proposer leur banc. Une démarche logique tant De Zerbi, par sa philosophie de jeu ambitieuse et ses qualités de bâtisseur, coche toutes les cases recherchées par le club londonien pour relancer son projet après une saison décevante.

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Mais l’ancien coach de Sassuolo et de Brighton a fait un choix clair : il a décliné l’offre de Tottenham comme celle de l'Inter. Un refus net qui s’explique par sa volonté de rester à l’Olympique de Marseille, où il vient d’achever sa première saison. Malgré les turbulences inhérentes à l’environnement marseillais, De Zerbi semble déterminé à s’inscrire dans la durée sur la Canebière. Son attachement au projet olympien et sa volonté de poursuivre le travail entamé l’ont poussé à repousser les avances italiennes et anglaises.

Tottenham a déja activé une autre piste

Du côté de Tottenham, le club ne perd pas de temps et semble prêt à accélérer dans les prochains jours avec Thomas Frank, l’actuel manager de Brentford, qui apparaît désormais comme le favori pour le poste. Reste que ce refus de De Zerbi est une excellente nouvelle pour l’OM. Dans un contexte où la stabilité est précieuse, surtout après des saisons mouvementées, conserver un entraîneur de ce calibre, sollicité à l’étranger, constitue un véritable signal positif.

Pour De Zerbi, ce choix réaffirme son ambition : faire grandir l’OM sur la scène nationale et européenne. Et pour le club, c’est un gage de continuité dans le développement d’un projet basé sur une identité de jeu affirmée. Cela fait un moment qu'un technicien en poste à Marseille n'avait pas été aussi convoité. Mais cela tient peut-être aussi du contexte avec de nombreux changements sur les bancs en Europe alors que la saison vient à peine de se terminer.

Meracto OM : Lassine Sinayoko, doublure gagnante ou pari risqué ?

Profil et bilan 2024-2025

Né le 8 décembre 1999, Lassine Sinayoko affiche 25 ans au 26 juin 2025.

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L’attaquant de l’AJA vient de boucler la saison 2024-2025 avec 5 buts et 9 passes décisives en 35 matchs toutes compétitions confondues, dont 34 en Ligue 1.

Son impact face à l’OM reste marquant : 1 but et 2 offrandes lors des deux victoires auxerroises cette saison.

Valeur de marché et faisabilité

Estimé à 4 millions d’euros par Transfermarkt, Sinayoko représente l’une des rares opportunités abordables sur le marché français.

Auxerre, désireux de capitaliser sur sa bonne saison, pourrait toutefois réclamer un montant compris entre 8 et 12 millions – un tarif encore séduisant pour un club qualifié en Ligue des Champions.

Pourquoi Marseille s’y intéresse

L’OM a conclu l’exercice 2024-2025 à la deuxième place et disputera la prochaine Ligue des Champions, d’où la volonté de renforcer la profondeur offensive.

Sinayoko offre un profil complémentaire : travail sans ballon, capacité à étirer la défense et marge de progression évidente.

À coût mesuré, Sinayoko coche plusieurs cases : polyvalence, créativité et connaissance de la Ligue 1. Son efficacité devant le but reste perfectible, mais l’opération paraît rationnelle pour un rôle de doublure capable de dynamiter les fins de match ou de bousculer la hiérarchie.

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Mercato OM : retour de la piste Ezequiel Fernandez au milieu ?

À en croire les informations de TNT Sports, l’Olympique de Marseille suit de près la situation d’Ezequiel “Equi” Fernández. Le milieu de terrain de 22 ans, formé à Boca Juniors et passé par Tigre, évolue depuis un an à Al Qadsiah en Arabie Saoudite. Révélé comme l’un des grands espoirs argentins, il souhaite franchir un cap cet été en rejoignant un championnat européen. L’OM s’est manifesté concrètement, tout comme la Real Sociedad. Pour information, le club phocéen avait évalué les possibilités de le faire venir au club l'été dernier. Mais en levant sa clause, le nouveau club de Pierre-Emerick Aubameyang avait enlevé le morceau. Sauf que sa situation a évolué un an plus tard.

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Un profil qui correspond aux besoins du milieu marseillais

Ambidextre, travailleur et doté d’une belle qualité de relance, Equi Fernández s’est imposé comme un pilier à Al Qadsiah, disputant 37 rencontres cette saison. Avec un contrat courant jusqu’en 2029, il ne sera pas facile à déloger, mais le joueur a fait savoir à ses dirigeants sa volonté de partir. L’OM, qui compte déjà plusieurs éléments d’expérience dans l’entrejeu comme Adrien Rabiot ou Pierre-Emile Højbjerg, pourrait profiter de l’occasion pour injecter un nouveau souffle dans l’effectif de Roberto De Zerbi alors que les cas Bennacer et Rongier sont plus dans l'expectative. C'était d'ailleurs l'objet d'un débat dans un récent OM au café que vous pouvez retrouver en vidéo.

Une piste cohérente avec la politique marseillaise

Depuis plusieurs saisons, le club phocéen n’hésite pas à miser sur des profils sud-américains prometteurs. Le cas Equi Fernández s’inscrit parfaitement dans cette logique. Capable de jouer en sentinelle ou en relayeur, il pourrait offrir une complémentarité précieuse au milieu international danois. À seulement 22 ans, il garde une belle marge de progression, ce qui correspond au profil type recherché par Medhi Benatia et son staff. Il a participé aux JO avec l'équipe d'Argentine en France l'été dernier, son transfert dans le Golfe au début du mois d'août pour plus de 18 millions d'euros l'a logiquement éloigné des radars.

Un duel à deux vitesses avec la Real Sociedad

Face à la concurrence de la Real Sociedad, qui va vendre au même poste Zubimendi à Arsenal, habituée à valoriser les jeunes talents, l’OM devra se montrer convaincant tant sportivement que financièrement. Si la priorité du joueur reste un départ vers l’Europe, il souhaite aussi que son transfert se fasse dans les règles, sans conflit avec Al Qadsiah. Cette volonté de respecter son club actuel pourrait ralentir les négociations, mais pas les rendre impossibles. 

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Medhi Benatia en repérage à la Coupe du monde des clubs pour l’OM ?

Benatia en mission aux États-Unis

Le directeur sportif de l’Olympique de Marseille, Medhi Benatia, est actuellement en déplacement aux États-Unis, où se tient depuis le 14 juin la Coupe du monde des clubs. L’ancien défenseur central, désormais figure majeure de l’organigramme marseillais, est attendu ce jeudi sur le sol américain. Une présence qui suscite de nombreuses spéculations autour du mercato olympien.

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Ce voyage n’est accompagné d’aucune communication officielle sur sa durée ni ses objectifs. Toutefois, selon La Provence, Benatia profiterait de cet événement international pour avancer sur plusieurs dossiers de recrutement, dans un contexte où le marché des transferts est déjà en pleine effervescence.

Un mercato à dynamiser

Depuis son arrivée à l’OM, Roberto De Zerbi multiplie les réunions avec la direction sportive pour bâtir une équipe compétitive. La reprise de l’entraînement est fixée au 7 juillet, et un premier stage est prévu aux Pays-Bas du 17 au 24 juillet. D’ici là, Benatia souhaite offrir à son entraîneur un effectif aussi complet que possible.

Avec des noms comme Adrien Rabiot, Mason Greenwood ou encore Pierre-Emile Højbjerg, l’effectif 2025-2026 présente déjà des garanties de qualité. Mais le club cherche encore à se renforcer, notamment en attaque et dans l’animation offensive, secteurs cruciaux aux yeux de De Zerbi.

Un contexte propice aux opportunités

La Coupe du monde des clubs, nouvellement remodelée, attire de nombreux dirigeants et agents du monde entier. L’occasion idéale pour Medhi Benatia de tisser des liens et d’initier des négociations loin des projecteurs marseillais. À Munich, lors de la finale de Ligue des champions, il était apparu en spectateur accompagné de ses fils. Cette fois, l’homme est en mission.

L’OM a souvent su exploiter le contexte des grands événements internationaux pour nouer des contacts stratégiques et initier des discussions clés. La Coupe du monde des clubs, qui réunit dirigeants, agents et observateurs du monde entier, représente une opportunité idéale pour Medhi Benatia de faire avancer certains dossiers dans un cadre moins exposé que Marseille.

Un été déjà chargé pour l’OM

Le club phocéen n’a pas attendu le mois de juillet pour s’activer. Plusieurs pistes sont évoquées, tandis que le directeur sportif multiplie les échanges avec les agents et clubs partenaires. Le groupe actuel, qui compte déjà Gerónimo Rulli, Leonardo Balerdi ou encore Amine Gouiri, devra s’enrichir dans les semaines à venir.

La dynamique semble donc bien enclenchée. Reste à savoir si ce séjour américain de Benatia débouchera sur des avancées concrètes. Les supporters, eux, suivent le feuilleton avec attention, espérant des annonces fortes avant la reprise de l’entraînement.

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Mercato OM : Chelsea veut se débarrasser de 11 joueurs, une chance pour l'OM ?

Après avoir multiplié les achats ces dernières saisons, les dirigeants de Chelsea préparent un grand ménage dans l'effectif, sans doute pour encore un nouveau recrutement qui part dans tous les sens. Du coup, pas moins de 11 joueurs sont concernés par des départs cet été, soit pour faire de la place, soit pour alléger une masse salariale devenue pesante.

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Des profils très cotés sur le marché

Parmi les éléments poussés vers la sortie figure Christopher Nkunku. L’international français, en difficulté depuis son arrivée, pourrait faire l’objet d’une vente importante. Même logique pour Nicolas Jackson, déjà approché par plusieurs clubs d’Arabie saoudite et d’Angleterre. Noni Madueke n’est pas non plus intouchable, tout comme le gardien Djordje Petrovic, prêté à Strasbourg la saison dernière, estimé à environ 30 millions d’euros.

Une liste de départs bien fournie

Le club champion en Ligue Europa Conférence veut également se séparer de plusieurs joueurs plus expérimentés. Raheem Sterling, Ben Chilwell et Axel Disasi ne seront pas retenus. Même situation pour Renato Veiga, Carney Chukwuemeka, Kepa Arrizabalaga et Armando Broja. Cette volonté de renouvellement vise à offrir plus de flexibilité à l’entraîneur et à éviter les blocages dans la rotation.

Un œil marseillais sur le dossier ?

Du côté de l’Olympique de Marseille, aucun de ces joueurs n'est officiellement dans les radars. Et Pablo Longoria ne raffole pas des négociations avec la nouvelle équipe dirigeante des Blues, qui ont déjà un club en Ligue 1 avec Strasbourg. Mais Renato Veiga reste une super opportunité. Récent vainqueur de la Ligue des Nations avec le Portugal, il avait été prêté à la Juventus en deuxième partie de saison. Défenseur central gaucher de 21 ans, il peut également dépanner dans le couloir gauche. Avec Balerdi et Egan-Riley axe droit, Medina et Renato Veiga axe gauche, l'OM aura sûrement résolu ses problèmes défensifs. A 27 ans, Axel Disasi peut être aussi intéressant bien qu'axe droit. Remplaçant à Chelsea, il est parti en prêt à Aston Villa où il n'a pas réussi à se rendre indispensable. Est-il prêt à revenir en Ligue 1 ? C'est toute la question car en l'état, il est hors de portée de l'OM niveau salaire.

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Mercato OM : un nouvel argentin dans le viseur de l’OM ?

La filière argentine s’étoffe à Marseille

Avec Gerónimo Rulli, Leonardo Balerdi et plus récemment Facundo Medina, l’OM confirme un virage sud-américain assumé.

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Aarón Anselmino, un profil prometteur

Recruté en août 2024 par Chelsea pour environ 18 M$ (soit près de 16,5 M€), Aarón Anselmino reste un pari d’avenir. Formé à Boca Juniors, le défenseur central, né le 29 avril 2005, a été prêté à son club formateur pour la saison 2024‑2025, avant d’être rappelé par Chelsea le 3 janvier 2025. Il n'a disputé qu'un match officiel avec Chelsea, étant entré en jeu en fin de match contre Benfica lors de la Coupe du Monde des Clubs début 2025. Son physique imposant, sa lecture du jeu et sa relance propre en font un joueur qui correspond au profil recherché pour l’OM version De Zerbi.

Une concurrence solide sur le dossier

Chelsea cherche à prêter son jeune talent pour lui offrir du temps de jeu. Le Borussia Dortmund, l’OM et le Betis figurent parmi les clubs intéressés, mais c’est bien l’OM qui a formulé une premiere offre de prêt en février 2025. Pour Marseille, ce serait un joli coup à jouer dans une fenêtre étroite, avant que la concurrence ne se renforce.

Un mercato cohérent, une identité qui s’affirme

L’OM version 2025-2026 continue de façonner un effectif à l’image de son entraîneur : audacieux, technique et exigeant mentalement. Miser sur de jeunes talents argentins s’inscrit dans cette logique, tout en donnant une couleur internationale affirmée au vestiaire olympien. La piste Anselmino, si elle se concrétise, prolongerait cette dynamique pleine d’ambition.

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Mercato OM : Ounahi dit non au Spartak, l'OM encore loin d’avoir bouclé le dossier

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Le feuilleton Azzedine Ounahi à l’Olympique de Marseille connaît un nouveau rebondissement. Annoncé sur le départ depuis plusieurs semaines, le milieu marocain ne rejoindra pas le Spartak Moscou. Du moins, pas tout de suite. Selon les informations de La Minute OM, confirmant indirectement les révélations de L’Équipe, l'international marocain a, pour l’instant, opposé un refus clair à la proposition du club russe, malgré un accord déjà ficelé entre les deux clubs.

D’après le quotidien sportif, l’OM et le Spartak avaient scellé un accord autour d’un transfert de 12 millions d’euros. Une somme jugée satisfaisante en interne pour un joueur qui n’a jamais vraiment trouvé sa place sur la Canebière, malgré une Coupe du Monde brillante avec le Maroc fin 2022. Mais la balle est dans le camp du joueur, et Ounahi ne semble pas prêt à dire oui à un exil en Russie.

Le contexte géopolitique, la faible attractivité de la Premier Liga russe et l’absence de visibilité européenne du Spartak sont autant de raisons qui poussent le natif de Casablanca à temporiser. À 25 ans, Ounahi privilégie un projet ambitieux en Europe de l’Ouest, lui permettant de rester compétitif en vue des prochaines échéances avec la sélection marocaine.

Pour l’OM, ce refus est un contretemps. Pablo Longoria comptait sur cette vente pour accélérer son mercato estival et rééquilibrer les finances, tout en libérant une place dans l’effectif au milieu de terrain. Le club pourrait désormais être contraint d’explorer d’autres pistes de sortie, en attendant qu’un autre prétendant se manifeste. Brighton, des clubs d’Arabie saoudite et de Liga auraient déjà pris des renseignements, mais aucun n’a, pour l’heure, formulé d’offre aussi concrète que celle du Spartak.

L’été sera donc long pour Ounahi. La suite du mercato olympien dépendra peut-être de sa décision. Mais pour l’instant, c’est niet pour Moscou.

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OM : quand frapper vaut mieux que parler…

Deux scènes, deux instances, deux mondes

Dimanche 13 juillet, Luis Enrique, entraîneur du PSG, est pris dans une altercation avec João Pedro, attaquant de Chelsea. Les images le montrent bousculant le joueur et le touchant au visage. Aucune sanction immédiate. Aucun carton. Rien. L’arbitre n’a pas bronché, et la FIFA n’a, pour l’instant, pas annoncé de poursuites disciplinaires. Qu’il y ait une enquête ou non, le contraste est déjà saisissant.

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14 janvier, autre décor, autre issue

Ce soir-là, en seizièmes de finale de Coupe de France, Medhi Benatia, directeur du football de l’OM, conteste une décision auprès du corps arbitral. Pas de contact, pas de geste violent, mais un ton ferme et un doigt pointé. Bilan : trois mois de suspension ferme, plus trois mois avec sursis. La sanction est confirmée malgré un appel au CNOSF. Le message est clair : un mot peut coûter plus cher qu’un geste.

La règle, ou l'interprétation de la règle ?

Selon l’article 14 du code disciplinaire de la FIFA, une agression (coup, bousculade, contact au visage) expose à une suspension d’« au moins trois matchs ». Mais le même code précise que ces sanctions s’appliquent si les faits ont échappé aux officiels, ce qui est le cas ici. Pour autant, rien n’indique que la FIFA saisira sa commission de discipline. Et c’est peut-être là, plus que dans le geste lui-même, que réside le cœur du problème : la variabilité dans le traitement des comportements, selon la scène, l’instance, le contexte.

Une justice sportive à deux vitesses ?

Ce n’est pas une affaire de clubs. Ce n’est pas une affaire de pays. C’est une affaire de cohérence, comme l'a souvent expliqué le président Pablo Longoria. Comment expliquer que dans une finale de Coupe du monde des clubs, une main sur le visage d’un joueur reste sans suite immédiate, tandis que dans un 16e de finale de Coupe nationale, un comportement verbal entraîne une suspension lourde, ferme, et confirmée ?

Des instances, des filtres, des inerties

FIFA d’un côté. FFF de l’autre. Deux manières d’agir. Deux vitesses. Deux sensibilités. L’une laisse place à la temporisation, à l’analyse différée. L’autre tranche vite, fort, quitte à surcorriger. Résultat : des sanctions qui ne semblent plus refléter la gravité des faits, mais plutôt la machine administrative qui les traite.

Des réactions qui interrogent

Luis Enrique, en conférence, s’est défendu : « Mon intention était d’apaiser, de séparer les joueurs. » João Pedro, lui, n’a pas officiellement réagi. L’ancien arbitre Iturralde González, lui, a été plus direct : « Si l’on regarde l’action, elle est sanctionnable. » Côté marseillais, Benatia avait reconnu un comportement passionné, sans agressivité physique. La FFF, elle, n’a pas tremblé.

La sanction est un miroir

Au fond, cette affaire n’est pas celle d’un homme, d’un club ou d’une rivalité franco-française. Elle raconte une chose plus simple et plus dérangeante : la sanction ne reflète pas toujours le fait, mais le contexte dans lequel ce fait est jugé. Un même geste peut valoir une tape sur les doigts ou trois mois d’exclusion. Un même mot peut être ignoré ou puni sévèrement. Et ce flou-là, plus que le favoritisme supposé, est ce qui mine la lisibilité et la crédibilité des décisions disciplinaires. Dans le football comme ailleurs, quand la règle dépend de qui l’applique, ce n’est plus une règle. C’est un filtre.