Categories
Cassino

OM : c'est fini pour le ritiro, les Olympiens de retour à Marseille !

OM : c'est fini pour le ritiro, les Olympiens de retour à Marseille !

Comme nous vous le disions ces dernières semaines sur Le Phocéen, il était prévu de faire deux semaines en Italie, puis de faire un point après le match de Lille. Et d'après les informations de RMC Sport et de L'Équipe, le "ritiro" à Rome est terminé.

casino joka vip Retraits – Le montant minimum de retrait sur Casino Joka VIP est de 20 €.

Retour à la Commanderie

Les Olympiens vont préparer les deux dernières journées dans leurs quartiers habituels. Il a été jugé que le long stage avait porté ses fruits et qu'il ne fallait pas trop tirer sur la corde en privant certains de leurs enfants, notamment. Plusieurs joueurs n'auraient toutefois pas été déçus de prolonger l'épisode italien.

Hier soir, après le match nul à Lille (1-1), Roberto De Zerbi avait fait un bilan de ces deux semaines en expliquant qu'il n'était pas certain qu'il faille y retourner : "Rome nous a fait du bien. Avant Rome, le climat était à l’opposé, l’atmosphère dans le vestiaire entre nous était différente. Mais je ne sais pas si on y retournera, il faut qu’on décide avec le club et les joueurs. Je n’ai pas d’autre engagement. Donc on peut aller à Rome, à New York ou rester enfermés toute la semaine, moi ça ne me change pas."

Et l'Italien d'ajouter : "Ce qui est important, c’est qu’on a pris le temps d’être ensemble. Marseille, c’est difficile d’être tous ensemble. Marseille, ce n’est pas Lille ou d’autres endroits plus tranquilles. Être entre nous, ça a été une chose décisive pour trouver cet esprit."

Categories
Cassino

OM : "Le club a toujours été une passoire, beaucoup trop d’informations en sortent"

OM : "Le club a toujours été une passoire, beaucoup trop d’informations en sortent"

La sortie de Pablo Longoria en conférence de presse n’est pas passée inaperçue. À l’heure du bilan de fin de saison, le président de l’Olympique de Marseille a ciblé un mal bien connu dans les coulisses du club : les fuites d’informations. "Ici à Marseille, depuis que je suis arrivé, il y a le fait de se mêler des affaires qui n’appartiennent pas aux gens, je ne l’ai trouvé dans aucun club. C’est une maladie et je vais l’éradiquer. Le fait de chercher des tensions en interne, que chacun des salariés pouvait voir les entraînements, ce n’est pas normal. On ne doit pas travailler avec autant de tension", a-t-il affirmé, dénonçant un climat de tension permanente à La Commanderie.

Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous êtes à la recherche d’un casino à proximité avec un service client irréprochable ? Le casino near me Service client est-il vraiment disponible à toute

Si la fermeté du ton a surpris, le fond du message n’est pas nouveau. Ancien président de l’OM entre 2002 et 2004, Christophe Bouchet a immédiatement réagi dans une interview accordée à RMC Sport. Pour lui, ce phénomène est récurrent au sein du club : "L’OM a toujours été une passoire. Il y a toujours eu beaucoup trop d’informations qui sortaient, bien plus que dans d’autres clubs." Une situation qu’il attribue à des rivalités internes, à une organisation trop ouverte, et à une certaine culture locale de la proximité. Selon Bouchet, "dès qu’un président arrive, il faudrait changer toute l’équipe dirigeante pour repartir sur des bases saines". Il pointe également le caractère poreux de La Commanderie, où les allées et venues ne sont pas toujours maîtrisées : "Il y a le copain du copain qui passe… mais on ne sait pas toujours qui c’est."

De son côté, Longoria critique aussi les infrastructures, affirmant que les locaux de La Commanderie "ne sont pas à la hauteur du club" et évoque une organisation à revoir de fond en comble. Il appelle à un environnement plus hermétique, plus professionnel, loin des interférences d’un passé encore trop présent. Un chantier d’ampleur qu’il semble déterminé à mener sans détour.

Categories
Cassino

Mercato OM : un grand club de Premier League s'intéresse à Rowe ?

Mercato OM : un grand club de Premier League s'intéresse à Rowe ?

Jonathan Rowe a bouclé sa première saison complète sous les couleurs de l’Olympique de Marseille avec 29 apparitions toutes compétitions confondues. Auteur de 3 buts et 3 passes décisives, l'ailier anglais de 22 ans n’a pas affolé les compteurs, mais ses performances ont laissé entrevoir des qualités brutes encore à polir. Son explosivité, sa capacité à éliminer et sa marge de progression en font un profil intéressant dans le projet marseillais. Mais son avenir sur la Canebière pourrait bien se compliquer dans les semaines à venir.

banque casino app – Vous êtes passionné par les jeux de hasard et vous cherchez une application mobile fiable pour jouer en toute liberté ? Vous vous demandez comment profiter

En interne, Rowe reste convaincu de pouvoir s’imposer. "Je suis convaincu que je peux apporter encore plus à l’équipe. Je pense que vous n’avez pas encore vu la meilleure version de moi-même", confiait-il récemment. Une déclaration qui témoigne de sa volonté de franchir un cap à Marseille. Mais le destin d’un joueur ne dépend pas uniquement de son ambition personnelle. En coulisses, les convoitises s’aiguisent. Selon TBR Football, Newcastle United, ambitieux pensionnaire de Premier League, suit de près l’évolution de Rowe. Le manager Eddie Howe apprécierait depuis longtemps le profil du jeune ailier, et aurait déjà tenté de le faire venir lors du dernier mercato estival. Sans succès à l’époque, mais les Magpies pourraient bien revenir à la charge.

Pour l’OM, l’enjeu est double : conserver un joueur encore en développement mais qui pourrait exploser ailleurs, ou profiter d’une potentielle belle offre d’un club anglais pour réinvestir. Tout dépendra de la stratégie de Pablo Longoria et de la volonté du joueur. De son côté, Jonathan Rowe s’est officiellement engagé avec l’OM après la levée de son option d’achat. Désormais lié au club jusqu’en 2029, il est estimé à 12 millions d’euros sur le site Transfermarkt.

Categories
Cassino

Le Havre – OM : De Zerbi déjà prêt pour la suite !

Le Havre – OM : De Zerbi déjà prêt pour la suite !

L'OM joue sa saison sur les deux derniers matchs. Cela semble fou, alimente les théories comme quoi notre société vit trop dans la culture de l'instant. Mais c'est juste la situation dans ce championnat de France de Ligue 1 qui est folle. Imaginez l'OM dans les années 90 avec Bernard Tapie à sa tête, dans une saison où, sur les deux derniers matchs, il est possible de perdre cinq matchs au classement. Le climat à la Commanderie aurait pu être autrement plus tendu… Pour être honnête, la température est déjà élevée, même quand il pleut. Ces deux matchs peuvent tellement tout changer, notamment avec les perspectives d'avenir. Une qualification directe pour la Ligue des champions et le plan de croissance mis en place peut continuer. Roberto De Zerbi sait qu'il se doit d'avoir de bonnes épaules pour supporter la pression, mais il se projette déjà sur la saison 2 en conférence de presse, et c'est peut-être le moment le plus intéressant :

"Au niveau de la qualité du jeu, on peut faire encore mieux, on peut faire beaucoup, beaucoup plus. Si vous me demandez si je suis content des résultats de cette saison, je vous réponds oui, parce que je pense qu'on a fait plus au niveau des résultats que ce à quoi on s'attendait, ce à quoi je m'attendais. On a une moyenne très élevée de points. Évidemment qu'il y a eu quelques faux pas : Auxerre à la maison, Auxerre chez eux, Reims… Mais au niveau des résultats, et le classement le démontre, je pense qu'il faut qu'on soit contents. En ce qui concerne le jeu, on pourrait faire beaucoup plus, beaucoup mieux. Donc on essaiera de progresser".

Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous vous demandez si le casino cabourg Service client est vraiment à la hauteur de vos attentes en matière d’assistance et d’écoute ? Est-il accessible à

Récemment, Xavi citait spontanément l'OM de De Zerbi, comme il parlait de l'Atalanta de Gasperini, pour illustrer le fait qu'il aimait regarder ce qui se passait sur la planète football. Loin de son Espagne, l'équipe phocéenne façon RDZ est donc une curiosité suffisamment singulière pour être une référence. Ce qui est d'autant plus beau, c'est que l'entraîneur italien est parvenu à insuffler cette identité en changeant de schéma : 4-2-3-1 en début de saison, puis 5-2-3 à l'automne et désormais 4-3-3. Au moment de s'en expliquer, il est tout autant intéressant : "Le coach doit essayer de prendre un peu la température des joueurs de l’équipe et faire des choix. Parfois, ce sont des choix courageux à prendre, à faire. Et au moment du changement, j’ai pensé qu’on n’avait plus trop d’énergie, d’imprévisibilité, plus de un contre un sur les couloirs. On était arrivé à un point où on était vraiment trop 'lisibles'. On savait à quoi s’attendre contre nous, donc j’ai essayé de changer les choses. Mais au début de la saison, on jouait toujours à 3, on défendait à 4. Et on construisait le jeu lorsqu’on avait le ballon à 3, puisque Merlin remontait, ensuite on avait Murillo, Balerdi, et ceux qui se sont alternés sur l’axe gauche, un peu comme joue le PSG. Au début, on avait des joueurs sur les couloirs qui étaient habiles, avec Luis Henrique à gauche et Greenwood à droite. J’ai changé pour la phase défensive parce que, malheureusement, on n’a pas toujours défendu avec la même attention qu’à Lille. Les 10 joueurs de champ, les 11 joueurs, on a quand même obtenu des résultats importants. Quand on jouait à trois derrière, on a remporté le match contre Lyon. On a joué un gros match. On avait gagné le match aussi contre Monaco à l’aller. On avait fait match nul contre Lille à l’aller, un gros match. On avait fait un match nul contre Lille à l’aller, et aussi en Coupe de France, on aurait mérité la victoire. Je ne veux pas parler de chiffres, mais je veux que les joueurs puissent jouer à leur poste, dans leur position, et comprendre un peu le moment de l’équipe, comment se sent l’équipe. Moi, je suis à la Commanderie pour voir ce dont l’équipe a besoin, comment elle se sent. Cette année m’a aussi beaucoup aidé au niveau de ma progression, de mon évolution en tant qu’entraîneur".

Cela pourra donc évoluer encore la saison prochaine. Mais pour cela, il faut savoir dans quelle catégorie l'OM boxera. Et donc comment se sera finie cette saison…

Categories
Cassino

OM : "Marseille a changé Rabiot !"

OM : "Marseille a changé Rabiot !"

Hier soir, au Stade Pierre-Mauroy, l’OM a réalisé un très bon match face à Lille. Maîtres du jeu et ne laissant quasiment rien à des Lillois plus que discrets, les hommes de Roberto De Zerbi ont concédé un match nul à la fois positif pour la fin de saison, mais frustrant au vu de la physionomie de la rencontre. Dans la presse, les réactions ne se sont pas faites attendre.

Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous êtes-vous déjà demandé à quel point un service client fiable peut transformer votre expérience de jeu ? Comment réagir en cas de problème technique, de

"L’OM a été supérieur"

Daniel Riolo, figure de l’After Foot sur RMC, a donné son ressenti après le match. S’il a été déçu par la première période, il a salué la performance des hommes de Roberto De Zerbi. "Globalement, l’OM a été supérieur, plus entreprenant, avec plus d’idées et de volonté que Lille, qui recevait et que j’attendais à un meilleur niveau. J’ai trouvé l’OM très cohérent", a-t-il expliqué, mettant en avant plusieurs individualités, en commençant évidemment par Adrien Rabiot.

Son collègue Florent Gautreau a quant à lui mis en lumière le travail de Roberto De Zerbi, grand gagnant de la bataille tactique face à Genesio : "De Zerbi a gagné sa bataille tactique contre Genesio. Marseille mérite d'être 2e et de remporter ce match."

 

 

"Marseille a changé Rabiot"

Régis Brouard, sur le plateau de L’Équipe du soir, a approuvé le travail de l’OM, insistant sur la solidité défensive de l’équipe olympienne, qui prend selon lui un bon point face à une équipe lilloise qui a l’habitude de se créer des occasions. "L’OM n’a jamais été mis en danger. On n’a pratiquement pas vu Lille. Il y avait une structure bien équilibrée. Ils ont été récompensés. C’était un Marseille très, très solide", a-t-il affirmé.

À l’instar de Daniel Riolo, Ludovic Obraniak a lui aussi mis en avant la prestation de Rabiot, qu’il trouve transformé par son arrivée à l’OM : "Marseille l’a changé, un feu s’est animé en lui. Marseille a déclenché un amour, une reconnaissance qu’il attendait. Cela l’a aussi emmené à un très haut niveau."

 

 

C’est également le cas de Walid Acherchour, qui a fait son édito sur le gaucher marseillais, dans le débrief d’après-match sur DAZN. Après le match taille patron de l’ancien milieu de la Juventus, le consultant a été bluffé. Il estime que Rabiot aurait pu faire partie des cinq nommés au trophée UNFP du meilleur joueur de la saison : "Il fait partie de ces joueurs supérieurs dans le championnat. Il aurait pu faire partie des cinq nommés au trophée UNFP. Il tire le collectif vers le haut. Ce soir il montre que c’est un leader, un vrai patron. En espérant le voir en Ligue des Champions l’an prochain avec l’OM."

Categories
Cassino

OM : Basile Boli face à la colère marseillaise : explications et regrets

OM : Basile Boli face à la colère marseillaise : explications et regrets

Une déclaration mal comprise qui embrase Marseille

Basile Boli a ravivé les tensions à Marseille après avoir déclaré, lors d'une émission sur France Télé, qu'il soutenait le PSG en finale de Ligue des champions face à l'Inter Milan. Ces propos ont été perçus comme une trahison par de nombreux supporters de l'Olympique de Marseille, où Boli reste une figure mythique depuis son but victorieux du 26 mai 1993 contre l'AC Milan.

Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – casino stake Service client : Une Assistance 24h/24 Réactive et Professionnelle au Cœur de Votre Expérience de Jeu Le casino stake Service client est-il à la

Une mise au point nécessaire

Face à l'ampleur de la polémique, Basile Boli a tenu à s’expliquer dans La Provence : "Je suis marseillais à la vie à la mort, mais je suis français d’abord". L'ancien défenseur a rappelé son attachement indéfectible à l'OM, soulignant que ses paroles avaient été mal interprétées. "Je ne peux pas être parisien, c'est impossible !" a-t-il martelé, insistant sur le fait que sa déclaration se voulait avant tout patriotique, espérant voir une équipe française remporter enfin la Ligue des champions après 32 ans d'attente.

Des réactions en chaîne

Malgré ses explications, le malaise persiste à Marseille. Éric Di Meco, autre héros de 1993, n’a pas mâché ses mots sur RMC : "Quand je lis ça, j’ai mal au cul". Les anciens coéquipiers de Boli, tels que Bernard Casoni et Jean-Philippe Durand, cités dans L'Équipe, ont quant à eux adopté un ton plus mesuré, reconnaissant les progrès du PSG cette saison et la difficulté de choisir entre rivalité et soutien national.

Un contexte historique sensible

La rivalité entre l’OM et le PSG, ancrée dans l'histoire du football français, rend toute forme de sympathie suspecte aux yeux des supporters marseillais. Depuis son sacre en 1993, l’OM demeure le seul club français à avoir remporté la Ligue des champions, une fierté jalousement préservée. Dans ce climat, toute manifestation de soutien à Paris est perçue comme une offense.

L’attachement indélébile de Boli à l’OM

Pourtant, difficile de remettre en cause la loyauté de Basile Boli envers l’OM. En quatre saisons sous le maillot olympien, il a non seulement marqué l’histoire avec son but légendaire, mais a aussi contribué à bâtir la légende du club. En rappelant dans La Provence : "Ce que l'OM m'a donné, personne ne pourra jamais m'en donner autant", Boli espère apaiser la colère des supporters.

À l'heure où l’OM, entraîné par Roberto De Zerbi, s’efforce de retrouver les sommets européens avec des joueurs comme Adrien Rabiot et Greenwood, la passion des fans reste intacte. Cette fidélité sans faille est aussi ce qui rend chaque mot d'une légende aussi lourd de conséquences.

Entre rivalité et patriotisme

En conclusion, si Basile Boli a blessé, c'est peut-être davantage par maladresse que par réelle infidélité. Dans une finale aux enjeux énormes pour le football français, beaucoup, comme Didier Deschamps, préfèrent voir le PSG triompher pour l’honneur national, tout en gardant à l’esprit que, comme le dit si bien Bernard Casoni dans L'Équipe : "On restera à jamais les premiers."

Categories
Cassino

Longoria : « On cherche un partenaire en Europe pour faire jouer nos jeunes »

Longoria : « On cherche un partenaire en Europe pour faire jouer nos jeunes »

Cette saison, il y a eu moins de place pour les jeunes, notamment en raison d’un calendrier plus léger. L’an dernier, malgré une saison compliquée, le plus grand nombre de matchs avait permis à plusieurs jeunes de se montrer. Quelle est la place de la formation aujourd’hui dans le projet du club ?

lucky8 casino – Vous cherchez un casino en ligne sécurisé, innovant et agréable à utiliser ? Vous vous demandez si Lucky8 Casino est la plateforme idéale pour vos sessions de

Pablo Longoria : "La formation reste une priorité, même si elle s’inscrit dans une dynamique différente. On a opéré plusieurs changements, et sincèrement, je suis très satisfait du travail réalisé par Lasaad Hasni depuis son arrivée. Il fait un travail remarquable, à la fois sur le plan professionnel et humain. Quand on parle de formation, il faut aussi regarder les résultats : cette saison, les U14, U15, U17 et U19 ont fait de belles performances. Malheureusement, les U19 ont été éliminés aux tirs au but, et c’est un domaine dans lequel nous devons encore progresser. Mais pour progresser, il faut aussi améliorer les infrastructures, et aujourd’hui, il faut être honnête : nous ne sommes pas au niveau. C’est un chantier prioritaire. Sur le plan sportif, nous avons renforcé la compétitivité. Nous avons sécurisé plusieurs jeunes joueurs par des contrats, ce qui donne de la crédibilité à notre travail. Nous accordons également une grande importance à la post-formation. L’arrivée de profils comme Alexis Koum ou Robinio Vaz , qui ont su trouver leur place dans le groupe pro cette saison, en est un bon exemple. Nous voulons désormais renforcer la deuxième équipe, en nous inspirant des modèles portugais et espagnol. L’idée est de construire une réserve forte, compétitive. Mais il faut aussi dire la vérité : le format du championnat en France n’est pas adapté à une bonne formation des joueurs. À l’OM, les attentes sont énormes, et le saut entre les U19 et l’équipe première est trop grand.

Je suis critique, mais sincère : je ne comprends pas comment on peut penser qu’un joueur qui dispute 26 matchs avec la réserve va ensuite pouvoir enchaîner 50 matchs avec l’équipe première. C’est incohérent. Dans des pays comme l’Espagne ou le Portugal, les équipes B peuvent monter jusqu’en deuxième division. Ce n’est pas le cas ici, et c’est un vrai frein. C’est pour cela que nous avons décidé de renforcer la réserve, notamment en organisant de nombreux matchs amicaux contre d’autres clubs français et étrangers. Le but est de leur donner différents types d’expériences, pour les rapprocher du haut niveau.

Parmi nos projets, il y en a un que nous n’avons pas encore concrétisé cette saison : celui de nouer un partenariat avec un autre club européen, comme annoncé l’an dernier. Cela permettrait de créer une forme de collaboration totale, et d’offrir du temps de jeu à nos jeunes qui sortent du centre de formation. Nous voulons des effectifs pros avec 18 joueurs, et que le reste soit composé de jeunes formés au club ou dans notre système. C’est pour cela qu’on a investi, qu’on a trouvé un stade pour la réserve, et que la Youth League l’an prochain sera un moment clé pour la progression de nos jeunes. Mon objectif, très clair, c’est d’avoir 5 ou 6 joueurs comme Bilal Nadir dans le groupe pro. Cette saison, il a joué plusieurs matchs importants, il a été performant et régulier. C’est cette intégration progressive que je veux renforcer. Avoir 5 ou 6 Bilal, capables de participer régulièrement avec l’équipe première, c’est notre ambition."

Categories
Cassino

Kassim Abdallah, nouveau diplômé : un tournant vers les bancs de touche

Kassim Abdallah, nouveau diplômé : un tournant vers les bancs de touche

Kassim Abdallah ouvre un nouveau chapitre de sa vie footballistique. L’ancien latéral droit de l’Olympique de Marseille et international comorien vient de décrocher le Brevet d’Entraîneur de Football (BEF – UEFA A), marquant ainsi ses premiers pas officiels dans le métier d’entraîneur.

roulette casino app – Vous êtes passionné par les jeux de roulette et souhaitez y jouer depuis votre mobile en toute simplicité ? Comment télécharger l'application Roulette Casino

Le Brevet d’Entraîneur de Football (BEF – UEFA A) est un diplôme de niveau avancé pour les entraîneurs de football. Concrètement, le BEF est délivré par la Fédération Française de Football (FFF) et correspond à l'UEFA A Licence, un grade reconnu à l’échelle européenne. Il permet d’entraîner une équipe jeune de niveau régional, une équipe jeune de niveau national si le club ne dispose pas d’un Centre de Formation agréé, une équipe Sénior de niveau R2 ou R1 ou une équipe féminine évoluant en Seconde Ligue. En revanche, ce diplôme n’autorise pas à être entraîneur principal en Ligue 1, Ligue 2 ou National pour cela il faut obtenir le BEPF (UEFA Pro Licence). En résumé, c’est un diplôme hautement qualifié, mais qui reste quelques marches en dessous du plus haut niveau professionnel.

Cette saison, Abdallah apportait déjà son expérience aux jeunes talents de la réserve de l’OM, jouant un rôle de guide et de grand frère. Désormais diplômé, à 38 ans, il semble prêt à s’épanouir dans sa nouvelle vocation et à transmettre sa passion depuis les bancs de touche. Félicitations à lui pour cette étape décisive !

Categories
Cassino

OM : dans l'intimité de la deuxième semaine des Olympiens à Rome

OM : dans l'intimité de la deuxième semaine des Olympiens à Rome

Un cadre idéal pour un moment-clé de la saison

Installé dans le nord de Rome, sur les installations du Roma City FC, l’Olympique de Marseille profite d’un environnement de travail serein et propice à la concentration selon Florent Germain, journaliste d'RMC Sport qui s'est rendu dans la ville éternelle pour mener l'enquête. Le club de Serie D, aux infrastructures modestes mais bien entretenues, offre à la délégation marseillaise un cocon favorable pour préparer la dernière ligne droite de la saison.

casino pornichet 💰 Bonus exceptionnel ! 300 USDT pour chaque nouvel inscrit + 100 USDT à la première connexion sur casino pornichet ! – casino pornichet 💰 Connectez-vous sur casino-pornichet.com et obtenez instantanément 300 USDT de bonus. Inscrivez-vous et recevez jusqu'à 1000 USDT en plus.

Ce jeudi après-midi, les Olympiens ont effectué une séance d’entraînement alliant détente et rigueur. Après quelques toros dans la bonne humeur, la partie tactique s’est déroulée à huis clos. Le tout sous le regard attentif de Mehdi Benatia, directeur sportif, arrivé la veille à Rome pour suivre de près cette phase décisive.

Une ambiance apaisée dans un contexte studieux

Le groupe mené par Roberto De Zerbi a retrouvé des couleurs après le succès contre Brest. Le technicien italien, toujours souriant et disponible, même avec les deux journalistes qui ont fait le déplacement, a su instaurer un climat serein, loin des tensions ayant parfois parasité la saison. Selon des témoignages recueillis sur place, l’ambiance est à la complicité, sans jamais négliger l’exigence sportive. C'est ce qu'a assuré Valentin Rongier sur ce séjour à Rome. 

Concentration maximale avant Lille

Le déplacement à Lille dimanche pourrait être décisif dans la course à l’Europe, voire à une qualification pour la prochaine Ligue des champions. C'était l'objet des débats du dernier Talk Show, avec notamment Kassim Abdallah, que vous pouvez retrouver en vidéo. L’OM reste à Rome jusqu’à samedi, avant de s’envoler directement pour le Nord. Les joueurs ont pu bénéficier de quelques moments de liberté : sortie au restaurant, balade dans le centre historique de Rome, ou encore shopping. Des instants encadrés, qui permettent néanmoins de relâcher la pression tout en renforçant la cohésion. Hasard du calendrier, l’OM partage actuellement son hôtel avec des invités d’un certain Rudi Garcia, en pleine célébration de mariage à Rome. L’ancien entraîneur marseillais, qui avait mené l’OM jusqu’en finale de la Ligue Europa en 2018, n’a pas (encore) croisé les joueurs. Et il n'y a plus de joueurs de son époque dans l'effectif actuel. Il a cependant déjà entraîné, avec un certain succès, le directeur sportif, Mehdi Benatia, révélation de Série A en 2013. Et c'était… à Rome. 

Categories
Cassino

Mercato OM : un club de Ligue 1 fonce sur Chancel Mbemba ?

Mercato OM : un club de Ligue 1 fonce sur Chancel Mbemba ?

lucky8 casino – Vous cherchez un casino en ligne sécurisé, innovant et agréable à utiliser ? Vous vous demandez si Lucky8 Casino est la plateforme idéale pour vos sessions de

Mis à l'écart du groupe olympien dès le début de saison, Chancel Mbemba a traversé une période compliquée à l’Olympique de Marseille cette année. Un passage délicat de sa carrière, qui le pousse aujourd’hui vers la sortie alors que l’exercice 2024-2025 touche à sa fin. D’après les informations d’AfricaFoot, un club de Ligue 1 aurait déjà manifesté un intérêt concret pour le défenseur congolais en vue de la saison prochaine : le Stade Brestois. Auteur d’un joli parcours européen cette année, le club breton cherche à renforcer son arrière-garde et garderait Mbemba dans son viseur. Déjà intéressé à l’été 2024, Brest n’avait pas pu concrétiser l’opération. Mais l’opportunité d’un départ libre pourrait relancer les discussions dès le mercato estival.

Un salaire hors de portée pour Brest ?

Estimé à 3 millions d’euros, Chancel Mbemba représenterait une piste de choix sur le plan sportif pour les Ty’ Zefs. Fort de son expérience en Premier League et au Portugal, le défenseur de la RDC pourrait s’intégrer dans le projet brestois. Toutefois, un obstacle de taille persiste : son salaire. Mbemba perçoit actuellement plus de 5 millions d’euros par an, soit plus du double du joueur le mieux payé à Brest. Un effort financier significatif serait nécessaire pour boucler l'opération. À moins que le joueur n’accepte une baisse de rémunération, son retour en Ligue 1, hors de l’OM, pourrait s’avérer plus compliqué que prévu. D'autres pistes, notamment à l'étranger, sont bien plus crédibles à l'heure actuelle.