OM-ST ETIENNE : Réservez vos places !

Le week-end du 14 février, l'OM reçoit St Etienne à l'Orange Vélodrome pour le compte de la 22e journée de Ligue 1 McDonald's. Que vous soyez seul, en famille ou entre amis, ne manquez pas cette occasion de vibrer avec nos Olympiens lors de ce choc historique de la Ligue 1.

Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous est-il déjà arrivé d’avoir besoin d’une aide urgente lors d’une session de jeu tard le soir ? Avez-vous déjà été confronté à un problème technique sans

Ne tardez pas, l'Orange-Vélodrome se remplit rapidement. Choisissez avec précision vos places sur le plan du stade (choix de vos sièges), et vivez au plus près du terrain et des joueurs les rencontres à domicile de l'OM.

Rendez-vous sur : https://billetterie-lephoceen.om.fr/fr

Maupay : "Nous avons beaucoup progressé depuis le match aller contre Strasbourg"

J’aimerais savoir, d’un point de vue général, comment vous avez digéré cette contre-performance. C’était une élimination en Coupe de France, un objectif important pour le club, au sens collectif. Et toi, comment as-tu vécu cette soirée un peu particulière, où tu semblais avoir été malchanceux ?

Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous êtes-vous déjà retrouvé bloqué en pleine partie sans savoir vers qui vous tourner ? Avez-vous déjà ressenti de la frustration en attendant une réponse à

Neal Maupay : "Oui, bien sûr, nous sommes déçus du résultat. Nous avions annoncé notre ambition de faire un beau parcours en Coupe, donc c’est forcément une déception. Mais au-delà du résultat, je pense qu’on a montré de belles choses sur le terrain. On a su rester dans la continuité de nos bonnes performances, et c’est un point positif. Maintenant, on a un match important dimanche, donc il n’y a pas vraiment de temps pour s’apitoyer ou baisser la tête. On s’est remis au travail immédiatement. Comme d’habitude, on a analysé ce qu’on a bien fait, ce qu’on a moins bien fait et ce que l’on peut améliorer. On est prêts pour dimanche."

Cette première mi-temps, où tu as eu le but, quelques situations, mais aussi une main malencontreuse sur un contrôle. Comment as-tu vécu ça ? On sait que tu analyses profondément tes matchs après coup.

Neal Maupay : "Oui, bien sûr. J'ai eu quelques situations où j'aurais pu mieux faire, notamment ce contrôle. Le ballon me tape la main, c'est un peu malheureux. Derrière, on avait un 2 contre 1 qui aurait pu être une belle occasion. Ensuite, sur le lob de Mason, je suis en bout de course et avec le rebond, ça me touche le bras. Il n'y avait pas la VAR, mais l'arbitre a eu de bons yeux sur le coup, donc on peut dire que j'ai eu un peu de chance. Mais bon, c'est comme ça, c'est le foot. Parfois, on est efficace, parfois un peu moins. Ça arrive. Comme je l'ai dit, avec des matchs aussi rapprochés, on n'a pas vraiment le temps de cogiter, et ce n'est pas une bonne chose de le faire. J'ai revu mes actions, comme d'habitude, pour voir ce que je peux améliorer. Maintenant, j'ai hâte de remonter sur le terrain pour la revanche."

Tu parlais du match contre Strasbourg. À l’aller, Strasbourg a été l’une des équipes qui vous a posé le plus de problèmes. Je voulais savoir, dans un premier temps, quelles leçons vous aviez tirées de ce match et ce qu’il faudra faire de mieux au retour ?

Neal Maupay : "Je pense qu’on avait fait un mauvais match à l’aller, donc il faudra changer pas mal de choses. On a beaucoup évolué et progressé depuis. Mais c’est vrai que Strasbourg est une très bonne équipe, agressive, qui joue bien au ballon. Cela nous avait mis en difficulté. Cela dit, j’ai confiance en nous. En ce moment, on montre de belles choses, on progresse bien, et on est tous sur la même longueur d’onde. Je pense que ce sera un match différent dimanche. On sera à la maison, avec nos supporters, ce qui nous donnera un avantage. Quand un match se passe mal à l’aller, on attend toujours le retour avec l’envie de mieux faire et de se rattraper. C’est exactement notre état d’esprit."

OM : Valentin Rongier évoque son avenir

L’arrivée d’Amine Gouiri à l’OM : un coup de pression payant de De Zerbi

Amine Gouiri a officiellement rejoint l’Olympique de Marseille hier matin, signant un contrat de quatre ans et demi. Accueilli à Marignane par une poignée de supporters, l’attaquant de 24 ans a immédiatement affirmé son enthousiasme : « On va se voir au Vélodrome dimanche, avec la victoire ! » Son arrivée concrétise la volonté de Roberto De Zerbi, qui a fortement insisté auprès de la direction pour renforcer le secteur offensif. De Zerbi, satisfait, a décrit Gouiri comme « un joueur fort, utile et polyvalent » capable d’évoluer à différents postes offensifs. Medhi Benatia, directeur du football, a également salué le recrutement, soulignant le talent et les statistiques de l’attaquant, qu’il voit capable d’inscrire 18 à 20 buts cette saison. Cette arrivée n’a pourtant pas été simple. Initialement réticent à dépasser un prêt payant, l’OM a fini par revoir son offre à la hausse, passant de 10 à 22 millions d’euros en moins de 24 heures, sous l’impulsion de De Zerbi. Ce dernier, frustré par le départ d’Elye Wahi à Francfort et par la perspective de compter uniquement sur Neal Maupay et le jeune Robinio Vaz, a fait savoir qu’il visait bien plus que la cinquième place. L’entraîneur italien ne compte pas s’arrêter là et espère encore l’arrivée d’un milieu, possiblement Nicolo Fagioli de la Juventus, et d’un défenseur polyvalent. En interne, De Zerbi a déjà mis de côté des joueurs comme Amine Harit, encore convalescent, et Ismaël Koné, en instance de départ. Jonathan Rowe, lui, pourrait être transféré. La pression exercée par De Zerbi sur la direction semble porter ses fruits, mais il attend encore des renforts pour pleinement consolider l’effectif.

Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous vous demandez comment être assuré d’un accompagnement rapide en cas de souci sur une plateforme de jeu ? Quel type d’assistance peut offrir un casino en

"J’aimerais bien, en tant qu’homme, découvrir autre chose"

Dans une interview accordée à La Provence, Valentin Rongier revient sur ses six saisons passées à l’Olympique de Marseille, où il a disputé 184 matchs. Lorsqu’on lui demande s’il se considère comme une figure de l’histoire olympienne, le milieu de terrain ne cache pas sa fierté : « Je pense que oui. Durer à l’OM, c’est difficile. Les joueurs qui viennent ici s’en rendent compte. Quand on pense à ce qu’ont fait des joueurs comme Steve (Mandanda) ou Dim’ (Payet), on comprend l’exploit. » Rongier aspire à inscrire son nom un peu plus dans l’histoire du club en remportant un trophée : « Je connais l’engouement, l’amour que cette ville porte à l’OM. Ce serait un moment magique. » Interrogé sur son avenir, le capitaine marseillais reste prudent : « C’est une bonne question. On n’a pas encore discuté avec le club, on verra bien ce qui se passe. » Rongier confie toutefois une envie de découvrir de nouveaux horizons : « Je n’ai jamais joué à l’étranger. J’aimerais bien, en tant qu’homme, découvrir autre chose. Ce serait surtout humain. Une expérience à l’étranger apporte beaucoup : une nouvelle langue, une nouvelle culture. J’ai toujours été curieux de cela. » Cependant, l’attraction exercée par l’OM reste forte : « Il y a une réflexion, car l’OM, c’est aussi palpitant chaque année. » Rongier laisse donc la porte ouverte à toutes les possibilités, que ce soit un départ prochain ou la poursuite de son aventure marseillaise. Une chose est sûre : son attachement au club et à la ville est indéniable.

Di Méco : "Rulli leur a mangé le cerveau à travers la télé, et on le met pas…"

On saura peut-être un jour si Roberto De Zerbi avait pour projet de faire entrer Géronimo Rulli pour la séance de tirs au but contre Lille. Le scénario l'en a empêché, puisque le plus important était déjà d'y aller, aux tirs au but. Son coaching aussi, puisqu'en faisant entrer Robinio Vaz à la 84e minute, l'Italien a utilisé sa dernière séquence de remplacements.

casino extra 2 – Vous vous demandez si Casino Extra 2 est la plateforme idéale pour jouer en toute sécurité tout en profitant des avantages des cryptomonnaies ? Est-il

Di Méco : "Maintenant, il faut faire du social !"

Mais pour Eric Di Méco, le problème, c'est le choix de départ, comme il l'a expliqué mercredi sur RMC : "Il y a un match sur deux qui se joue aux pénaltys, surtout avec les tirs au but directs avec le nul à la fin. Le deuxième gardien, c'est peut-être un phénomène, sauf que quand tu n'as qu'une compétition à jouer et que c'est ton objectif prioritaire, et que tu mets ton équipe type sur les dix joueurs de champ, pourquoi tu ne mets pas Rulli, c'est le meilleur olympien et le meilleur gardien de Ligue 1 depuis le début de la saison. Et en plus, il sort 3 pénaltys sur 3 depuis le début de la saison. C'est-à-dire qu'il leur a déjà mangé le cerveau à travers la télé. Et moi on ne me le met pas sur le terrain alors que Lille, l'OM, c'est très proche l'un de l'autre. C'est nouveau cette mode où le deuxième gardien joue en Coupe de France. À mon époque, les numéros deux ne jouaient jamais. Ils regardaient le match des tribunes, toute l'année. Et là maintenant, il faut faire du social !"

Jeffrey De Lange pour sa première au Vélodrome contre Lille

Et, comme nous l'évoquions également mardi dans l'OM au Café, les statistiques sur les pénaltys de Jeffrey De Lange sont terribles. Sur 13 tentatives sur son but dans sa carrière, le Hollandais n'en avait arrêté aucune ! Il est donc finalement logique qu'il ait encaissé les quatre tentatives lilloises, hélas…

Mercato OM : Bamo Meïté va être prêté à Montpellier !

Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Comment être certain de recevoir une aide rapide lorsqu’un problème technique survient pendant votre partie en ligne ? À qui s’adresser pour poser une

La patience de Montpellier aura fini par payer. Jean-Louis Gasset va pouvoir festoyer ce lundi soir puisque Bamo Meïté est attendu dans les prochaines heures à la Paillade.

Comme expliqué ce matin dans l'OM au Café, l'ancien Lorientais va être prêté par l'OM à Montpellier jusqu'à la fin de la saison, sans option d'achat. Une information confirmée par L'Équipe ce midi. L'accord a été scellé ce lundi.

Un deal gagnant-gagnant, puisque Montpellier s'est trouvé un titulaire en défense et que l'OM va pouvoir relancer la valeur marchande de son stoppeur talentueux. Meïté, lui, va pouvoir rejouer au foot !

Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

Angers-OM : les tendances pour la compo de De Zerbi, avec plusieurs recrues ?

Avec Gouiri, Felipe Ramos et Dedic ?

Rulli – Murillo, Balerdi, Ramos – Henrique, Hojbjerg, Rongier*, Dedic – Greenwood, Gouiri, Rabiot

groupe casino – Vous cherchez une plateforme de jeu fiable et moderne qui combine tradition et innovation technologique ? Vous vous demandez si Groupe Casino est le choix

Avec Merlin

Rulli – Murillo, Balerdi, Ramos – Henrique, Hojbjerg, Rongier*, Merlin – Greenwood, Gouiri, Rabiot

Avec Merlin et Kondogbia

Rulli – Murillo, Balerdi, Kondogbia – Henrique, Hojbjerg, Rongier*, Merlin – Greenwood, Gouiri, Rabiot

* Valentin Rongier, forfait de dernière minute, n'est pas du déplacement à Angers. Roberto De Zerbi devrait choisir Ismaël Bennacer ou Bilal Nadir pour le remplacer dans son onze de départ.

Quentin Merlin parti pour conserver sa place dans le onze de départ ?

Et Angers ?

L'Équipe propose le onze de départ suivant pour la probable composition d'équipe d'Alexandre Dujeux. 

Le duo Abdelli-Lepaul à surveiller

Fofana – Raolisoa, Biumla, Lefort, Hanin – Aholou, Belkebla – Allevinah, Abdelli, El-Melali – Lepaul

Angers-OM : On connaît la date et l'heure !

La Ligue 1 a officialisé la programmation de la rencontre Angers-OM, comptant pour la 21e journée du championnat. Le match se déroulera le dimanche 9 février à 20h45, au stade Raymond-Kopa. Avant cette échéance, les Marseillais auront un programme chargé avec un déplacement à Nice ce dimanche, suivi de la réception de Lyon au Vélodrome, également prévue à 20h45 le dimanche suivant.

betify casino app – Vous cherchez une façon simple et rapide d'accéder à vos jeux de casino préférés depuis votre téléphone ? Vous vous demandez si l'application Betify Casino

Historiquement, le SCO d’Angers est un adversaire qui réussit plutôt bien à l'OM. En 49 confrontations en Ligue 1, les Olympiens comptabilisent 21 victoires, contre 13 défaites et 15 matchs nuls. Cependant, en déplacement sur les terres angevines, le bilan est moins reluisant pour les Phocéens. En 24 rencontres à Angers, l'OM ne s'est imposé qu'à 7 reprises, contre 9 succès pour le SCO et 8 nuls.

La dernière défaite marseillaise remonte au 23 décembre 2020, lorsque les Angevins s’étaient imposés 2-1 grâce à des buts de Pereira Lage (3e) et Loïs Diony (23e), malgré une réduction du score de la tête par Valentin Rongier. Depuis, l'OM n'a plus perdu face au SCO, mais les Marseillais avaient peiné à décrocher la victoire cette saison lors de la phase aller, se contentant d'un match nul 1-1 au Vélodrome.

Angers est en pleine confiance en ce moment. L’équipe dirigée par Alexandre Dujeux reste sur une série impressionnante de quatre victoires en 2025, dont trois en championnat et une en Coupe de France, prouvant sa solidité actuelle. Un beau défi attend donc les hommes de Roberto De Zerbi, qui devront se montrer plus inspirés offensivement pour repartir avec les trois points.

OM : ses débuts, sa blessure et sa concurrence avec Kondogbia… Les confidences de Cornelius

Tu t’es senti bien, puis il y a eu cette blessure à Nantes qui t’a stoppé un petit peu en plein élan. Mais comment as-tu appréhendé tes premiers mois à Marseille, dans un nouveau championnat, avec un nouveau groupe, un nouveau coach ? Comment as-tu vécu ça ?

casino magasin app – Comment télécharger et installer la casino magasin app, profiter du bonus de 200 € et quels sont ses atouts au quotidien ?

Derek Cornelius : "Comme vous l’avez dit, c’était un peu dur avec la blessure. Je pense que c’est arrivé à un mauvais moment parce que j’étais vraiment en forme. Mais voilà, c’est le foot. Durant les six premiers mois, tout s’est passé très vite. Honnêtement, parfois, je n’y crois même pas. Ça fait déjà six mois que je suis à Marseille. Ici, le temps passe vraiment deux ou trois fois plus vite qu’ailleurs. Donc non, je suis très content ici. Je pense que là, je suis en forme. L’équipe aussi se sent bien, ce qui est le plus important. J’espère qu’on continuera comme ça."

Sur ton positionnement lors du dernier match tu as joué très haut sur le terrain parce que l'équipe était très haut j'imagine tu t'attendais pas à ça quand tu as signé à l'Olympique de Marseille comment tu te situes par rapport à ce jeu très haut est-ce que tu t'estimes en progrès sur ces six mois et est-ce que tu estimes que tu as encore une marge pour progresser davantage voilà comment tu le sens ?

Derek Cornelius : "Non, quand je suis arrivé ici à Marseille, une des choses que le coach me demandait, c'était vraiment de garder un esprit ouvert. Il aurait pu me demander de jouer parfois dans d'autres positions. C'est ce que j'essayais de faire tout le temps. On savait à ce moment-là qu'on avait besoin de pousser haut, de presser haut pour vraiment toujours appliquer cette pression. J'ai essayé de jouer la meilleure des manières possibles, avec tous mes moyens possibles. Évidemment qu'il y a toujours des choses sur lesquelles on peut travailler tant sur un niveau individuel qu'au collectif. On regarde les vidéos pour voir où est-ce qu'on peut nous améliorer et ce qu'on peut faire pour être la meilleure équipe possible. Donc oui, je me sens à l'aise durant ce match-là, mais on sait que le match de demain nous fournira des défis différents et il faudra qu'on soit prêts."

Tu disais tout à l'heure que ça faisait déjà six mois que tu étais arrivé à l'OM. Qu'est-ce que tu as apporté à l'équipe depuis ton arrivée ? Et justement, Robert De Zerbi, qu’a-t-il apporté à toi ? Comment estimes-tu ta progression au sein de cette équipe de l’OM ?

Derek Cornelius : "Je pense que De Zerbi est un top coach. Il essaie toujours de tirer le maximum de nous tous. En ce qui me concerne, il me pousse vraiment à analyser d’où vient la pression, sans nous surcharger d’informations, et à comprendre comment on peut manipuler cette pression adverse. Encore une fois, c’est vraiment un super coach. J’apprends énormément de lui. Et je pense qu’il ne fait pas cela seulement avec moi, mais avec tout le monde dans l’équipe. Il trouve toujours des façons d’exploiter au mieux nos qualités individuelles pour aider l’équipe et pour nous permettre de devenir la meilleure et la plus forte possible."

Une question sur ton jeu et le jeu de l’équipe défensivement. Il y a eu un changement de système après la trêve de novembre. Comment vous êtes-vous adaptés collectivement et comment as-tu vécu ce changement, toi personnellement ? On remarque que tu es amené à jouer davantage dans le jeu court, mais aussi dans le jeu long. Le troisième but contre Le Havre, par exemple, c’est toi qui effectues le changement d’aile pour trouver Luis Henrique, suivi du centre d’Amir Murillo. Est-ce que cela a été facile pour toi de t’adapter à ce nouveau système ?

Derek Cornelius : "Comme vous l’avez dit, le coach essaie toujours d’observer quels joueurs sont disponibles, ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas pour l’équipe avec ces joueurs. Donc, oui, nous avons changé plusieurs fois la structure, le système. Je pense que nous avons trouvé quelque chose qui fonctionne bien et qui plaît au coach. Je pense aussi que nous avons un groupe très uni. On essaie toujours de suivre les consignes du coach et de donner le maximum. Vous l’avez dit, nous avons mis en place un nouveau système qui marche pour le moment, mais nous savons qu’il y a toujours des axes d’amélioration. Il est toujours possible de faire mieux. Un nouveau système implique également de nouvelles responsabilités. Comme vous l’avez mentionné, j’étais un peu plus haut sur le terrain contre Le Havre. Je ne sais pas comment cela évoluera lors des prochains matchs ou ce qui fonctionnera le mieux, mais il faut toujours être prêt et donner le maximum, peu importe la situation."

On en a un peu parlé, mais c’est vrai que quand on voit le coach, même si Geoffrey Kondogbia est blessé actuellement, opter pour lui en axe gauche ou encore le recrutement de Luiz Felipe, peut-être pour l’axe droit, on se rend compte que la concurrence est rude. Comment vis-tu cette situation ? Est-ce que tu te dis : « Wow, c’est dur de se faire une place à l’OM », ou au contraire, tu le vois de manière positive, en te disant que cela te booste et crée une belle émulation ?

Derek Cornelius : "Non, comme vous l’avez dit, c’est un club qui a toujours eu de la rivalité et de la concurrence, avec beaucoup d’attentes. Donc, évidemment, tous les joueurs doivent toujours être les plus performants possibles pour se faire une place. Je pense que c’est une concurrence saine. Ce qui est le plus important, c’est le collectif au final et que l’équipe gagne.On sait que, pour y parvenir, tous les joueurs doivent donner leur maximum. Donc voilà, je vois ça comme quelque chose de positif. C’est une bonne concurrence, et je pense que cela tire le groupe vers le haut au final."

Votre expulsion en début de saison, avec les deux cartons jaunes contre Nice – notamment le deuxième, que pas grand monde n’a compris – a été assez rapide. Est-ce que cela a changé votre manière d’agir sur le terrain ? En avez-vous parlé entre vous ? Et, à titre personnel, vous êtes-vous dit : « Purée, ici, ça peut aller vite » ?

Derek Cornelius : "Oui, alors, ces cartons jaunes… C’est difficile d’en parler ou de trop s’y attarder. C’est dur. J’avais l’impression que cela pouvait arriver, d’être expulsé. Mais il fallait que je me reconcentre rapidement et que je sois tout de suite prêt pour le prochain match. Je ne sais pas si je peux dire que cela a vraiment changé ma manière de réagir sur le terrain. Il y a des choses qu’on ne peut pas contrôler, comme certaines décisions ou situations. Ce que je peux contrôler, en revanche, c’est ma façon de travailler au quotidien : mon investissement, mon comportement, mes relations avec mes coéquipiers. Donc, non, je ne vais pas m’attarder sur ces cartons rouges."

OM : Adrien Rabiot, un Duc en mission

C’est un détail qui en dit long. Avant de débuter sa conférence de presse cet après-midi, Adrien Rabiot a pris le temps de saluer chaque journaliste présent, alors que l’effervescence régnait encore en salle avec les derniers ajustements techniques. Une courtoisie qui illustre bien son état d’esprit depuis son arrivée à l’Olympique de Marseille : appliqué, impliqué et soucieux de bien faire.

casino vittel – Vous vous demandez si casino vittel, accessible via le site officiel casino-vittel-fr.com, est la meilleure option pour profiter de vos jeux préférés en toute

Le voir sous le maillot de l’OM relevait presque du fantasme il y a encore quelques mois. Un club sans Coupe d’Europe, en quête de renouveau, qui attire un cadre de l’équipe de France ? L’initiative audacieuse porte la signature de Mehdi Benatia, dont le flair, après quelques échecs (Wahi, Brassier), a aussi permis d’attirer des joueurs majeurs. Rabiot fait partie de ces réussites. Arrivé libre après un été passé à s’entretenir en solitaire à la suite d’un Euro frustrant sur le plan collectif, il a dû d’abord retrouver le rythme avant de s’imposer comme un élément incontournable du système De Zerbi.

Un rôle à la hauteur de ses ambitions

Dans le onze olympien, Rabiot n’est pas un simple maillon. Il est un relai essentiel, un électron libre dans l’entrejeu, avec des responsabilités élevées. Roberto De Zerbi n’a d’ailleurs pas tardé à le considérer comme un joueur « fuoriclasse », un statut qui lui confère une place centrale dans l’animation marseillaise. Aux côtés de Mason Greenwood et Geronimo Rulli, son nom figure systématiquement en premier sur la feuille de match, preuve de la confiance que lui accorde le technicien italien.

Jusqu’ici, ses statistiques sont honorables : trois buts et deux passes décisives toutes compétitions confondues. Mais est-ce suffisant au regard de son influence sur le jeu ? Certains estiment qu’il pourrait faire encore plus, notamment en se montrant plus tranchant aux abords de la surface ou en prenant davantage de risques dans l’avant-dernier geste. Pourtant, au-delà des chiffres, son impact dépasse largement le cadre des statistiques et du terrain.

L’importance du leader

Sur le terrain, Rabiot amène une stabilité précieuse. Hors du terrain, son professionnalisme est unanimement salué. À la Commanderie, on loue son implication dans la vie du club, son sérieux aux entraînements et son rôle auprès des jeunes. Pas du genre à se défiler lors des événements institutionnels, il se fond parfaitement dans l’environnement marseillais. « C’est avec des joueurs comme lui que l’OM va continuer à grandir », souffle-t-on en interne.

Il se sent bien ici, cela se voit et cela s’entend. L’ambiance du Vélodrome, la ferveur qui entoure le club, l’exigence du quotidien : tout cela semble correspondre à son caractère et à ses aspirations. La question qui se pose désormais est celle de la durée. Marseille pourra-t-il prolonger cette idylle au-delà de l’été prochain ? La réponse dépendra en grande partie des résultats. Une qualification en Ligue des champions pourrait sceller l’avenir du Duc sur la Canebière.

En attendant, Rabiot est là, bien là, et son début d’aventure marseillaise est une réussite. Sur le terrain, il monte en puissance malgré deux derniers matchs plus ternes contre Strasbourg et Nice. En dehors, il s’impose comme un cadre. Un joueur qui, à sa manière, donne à cet OM des allures de grand club. Reste à voir jusqu’où cette aventure peut le mener.

OM : "Si Greenwood pouvait me faire marquer plus souvent…"

Personnalité rafraîchissante dans un football de plus en plus aseptisé, Neal Maupay se distingue par ses sorties chambreuses après les succès de l'OM. Malheureusement pour lui, quand les résultats tournent moins bien pour les Phocéens, certains ne manquent pas de lui tomber dessus, reprochant alors certaines de ses petites piques.

770 casino Prime – 770 Casino Prime : Découvrez les Bonus Incontournables sur 770-casino-fr.com Vous recherchez un casino en ligne fiable qui offre des bonus attractifs et

Mais Maupay ne se contente pas de chambrer ses adversaires : même ses coéquipiers ne sont pas épargnés, comme en témoigne son intervention en conférence de presse à propos de Mason Greenwood.

D’abord dithyrambique à l’égard de l’Anglais, Maupay n’a pas manqué de glisser une petite pique pour conclure :

Sous couvert d’humour, certains y verront peut-être un message déguisé. Était-ce le cas ici ? Bonne question.

Toujours est-il que Mason Greenwood aurait pu être crédité d’une passe décisive mardi soir contre Lille si l’ancien attaquant d’Everton avait mieux appréhendé le ballon… et ne l’avait pas touché de la main. Et toc !