OM-Monaco : Un duo qui inquiète au sifflet et à la VAR ?

Clément Turpin sera l’arbitre du match entre l’OM et Monaco ce dimanche, avec Jérémie Pignard en charge de la VAR. Le bilan de l’OM sous l’arbitrage de Turpin est contrasté, de quoi inquiéter les supporters marseillais. Sur les 42 rencontres arbitrées par Turpin, les Olympiens n’ont remporté que 14 victoires, contre 19 défaites et 9 matchs nuls. Ce qui retient l’attention, c’est la récurrence des décisions controversées, souvent au détriment de l’OM, plaçant Turpin au cœur de nombreuses polémiques.

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L'Historique de Clément Turpin avec l'OM

Le dernier match de l’OM arbitré par Clément Turpin remonte à octobre 2024, lors de la large victoire 5-0 des hommes de Roberto De Zerbi face à Montpellier. Pour retrouver un autre succès des Phocéens sous son arbitrage, il faut revenir à l’époque de Jorge Sampaoli, avec une victoire 4-2 contre l’AS Saint-Étienne à Geoffroy-Guichard. Turpin a également dirigé six confrontations entre l'OM et le club de la Principauté, avec un bilan de 2 victoires, 1 nul et 3 défaites pour les Marseillais.

De son côté, Jérémie Pignard avait arbitré une confrontation entre les deux équipes où il s’était illustré par une décision controversée. Souvenez-vous, il n’avait pas sifflé un penalty en faveur de l’OM après un tacle non maîtrisé de Maripán sur Kolasinac à la 73e minute.

"C'est la plus grosse erreur du VAR", n'avait pas manqué de souligner Igor Tudor sur Canal+ après la rencontre. "Il n'y a aucune explication. Le fait qu'il tire avant, ce n'est pas une bonne explication. Normalement c'est carton rouge… c'est incroyable, INCROYABLE, inacceptable." "Mamma mia! À quoi ça sert le VAR?" avait quant à lui souligné Pablo Longoria devant les caméras de la chaîne cryptée.

OM : votez pour le Phocéen du mois de décembre

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Palmarès 2024-2025

Phocéen du mois d'août : Mason Greenwood

Phocéen du mois de septembre : Geronimo Rulli

Phocéen des mois d'octobre-novembre : Geronimo Rulli

OM : Garcia, et si c’était lui la bonne surprise ?

Ulisses Garcia a connu un été mouvementé à l’Olympique de Marseille, marqué par une mise à l’écart. Placé dans le "loft", le latéral suisse a traversé une période d’incertitude sur son avenir au sein du club phocéen seulement six mois après son arrivée. Mais loin de baisser les bras, le numéro 6 olympien a su rebondir, transformant cette épreuve en une opportunité pour revenir plus fort.

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Un été agité puis la rédemption

" C’était une période difficile, ça a vraiment été un moment compliqué pour moi. Mais j’ai su rester professionnel, continuer à travailler et, surtout, garder une bonne attitude. Je pense que, quand on travaille dans la vie, il y a toujours des bonnes choses qui arrivent ensuite. Aujourd’hui, je me sens très heureux, très épanoui, et content d’être ici ", a confié l'enfant d'Almada. Ce passage à vide, où les doutes s’installent inévitablement, a été un véritable test mental pour le joueur. "On entre dans le doute, on se remet en question. Heureusement, il y a les gens autour de nous, la famille, les proches, qui nous aident à continuer à travailler et à avancer. C’est ce que j’ai fait. Dans ces moments-là, on se raccroche à l’essentiel. Le football, c’est ça : il y a des hauts et des bas dans une carrière. Là, c’était un bas. Il faut se rappeler les bases, se souvenir pourquoi on a commencé, et continuer à travailler dur."

Après avoir traversé cette épreuve, Garcia est parvenu à réintégrer le groupe professionnel, prouvant à Roberto De Zerbi qu’il méritait une place sur le terrain. Sa mentalité exemplaire et sa persévérance ont finalement payé, lui permettant de retrouver, petit à petit, un rôle actif dans l’effectif marseillais.

Une concurrence saine avec Quentin Merlin

Mais ce n'est pas comme s'il était le seul à pouvoir occuper ce rôle de latéral gauche. Ulisses Garcia doit composer avec une (rude) concurrence, celle de Quentin Merlin, auteur d’un début de saison en fanfare. Très vite, l’ancien Nantais s’est imposé comme l’un des hommes forts de Roberto De Zerbi et un rouage essentiel de son plan de jeu. Mais une blessure en sélection Espoirs est venue couper l’élan du Français et a permis à l’international suisse de se frayer un chemin dans le onze de départ. Aujourd’hui, la hiérarchie n’est plus aussi clairement établie.

Alors que l’ancien joueur des Young Boys a débuté les deux dernières rencontres de l’OM, De Zerbi porte en haute estime le natif de Pornic. Les qualités distinctes des deux joueurs offrent des options variées à l’entraîneur italien, qui a détaillé leurs différences ce vendredi en conférence de presse :

" Merlin est plus technique, il est plus propre dans son jeu. Garcia est plus généreux, plus attentif en phase défensive. Merlin peut devenir un joueur très important, il a toutes les qualités pour mieux défendre. Garcia est parti derrière dans la hiérarchie, mais aujourd’hui, il mérite vraiment de jouer. Merlin reste cependant un très bon joueur et, dans ma tête, il fait toujours partie des titulaires ", a expliqué le coach Olympien.

Toujours est-il que Garcia a réussi à se montrer décisif lors de ses apparitions en étant buteur à Lyon, passeur décisif à Montpellier et à l'origine de l'égalisation contre Monaco. Sa générosité et son implication défensive en font une solution crédible pour sécuriser le flanc gauche de la défense phocéenne. Mais pour dimanche, bien malin sera celui qui pourra prédire si Quentin Merlin ou Ulisses Garcia débutera dans le froid stéphanois.

OM : un beau ratio à l'extérieur

Le feuilleton Chancel Mbemba à l'OM : une situation qui s’enlise

Le cas Chancel Mbemba continue de faire couler de l’encre à l’Olympique de Marseille. Toujours mis à l’écart, le défenseur a récemment relancé les spéculations sur son avenir en déclarant au micro de Canal+ Afrique : " Quand le club pense à moi, gloire à Dieu. Quand le club ne pense pas à moi, la vie continue. (…) J’ai un contrat avec Marseille (…). Chacun regarde ses intérêts. " Ces propos alimentent l’hypothèse d’un départ dès le mercato hivernal.Depuis cet été, Mbemba a été confronté à deux mises à pied. La première, fin juillet, faisait suite à une altercation avec Ali Zarrak. Une tentative de transfert vers Al-Shabab, fin août, a échoué lorsque le club marseillais a exigé une indemnité de transfert, tandis que le joueur, se sentant mis à l’écart, souhaitait partir libre. Une seconde mise à pied est intervenue en septembre, pour non-présentation à des examens médicaux.Le 22 octobre, la commission juridique de la LFP a annulé la sanction du club, enjoignant l’OM à verser 23 jours de salaire au joueur. Depuis, Mbemba participe aux entraînements avec l’équipe avant de poursuivre en marge, encadré par des membres du staff. L’impasse semble totale.

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L'OM conquérant à l’extérieur

L’Olympique de Marseille affiche un contraste saisissant entre ses performances à domicile et à l’extérieur. Alors que les Phocéens peinent au Vélodrome, leur réussite loin de leurs bases est éclatante. Avec un ratio de 2,5 points par match à l’extérieur (cinq victoires et une défaite), l’OM détient le meilleur bilan de Ligue 1 dans ce domaine et le troisième en Europe, derrière le Bayern Munich et Liverpool. Le style de jeu y est pour beaucoup : les espaces laissés par les adversaires en déplacement permettent à des joueurs comme Mason Greenwood d’exploiter leur vitesse et leur efficacité en contre-attaque. Un contexte qu’ils n’ont pas au Vélodrome, où les équipes se replient davantage. Parmi les équipes affrontées à l’extérieur, seules Lyon (5ᵉ) et Toulouse (10ᵉ) figurent dans la première moitié de tableau, tandis que Nantes, Montpellier ou Brest se battent en bas du classement, ce qui explique aussi en partie ces résultats. Malgré ces chiffres flatteurs, Roberto De Zerbi ne se montre pas totalement satisfait. L’entraîneur italien attend encore plus de ses joueurs, espérant que cette réussite à l’extérieur se traduise par des performances globales plus régulières.

OM : Rabiot et Balerdi, positions fragiles !

Rabiot milieu droit, pourquoi faire ?

Adrien Rabiot a réalisé un retour fracassant avec l'Equipe de France lors de cette trêve internationale. Pour son retour dans le onze de départ, le milieu de terrain de l'OM s'est offert un doublé de la tête lors de la victoire convaincante des Bleus en Italie (1-3). Son match aura de plus été abouti, dans un poste habituel de relayeur gauche où il semble presque indiscutable. Le Duc compte 50 sélections au compteur et 6 buts inscrits en Bleu. Reste à savoir si Roberto De Zerbi continuera à l'utiliser à un poste moins naturel de relayeur droit. L'Italien aura sans doute apprécié la prestation de son joueur vedette face à son pays.

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Le milieu relayeur gauche titulaire de l'équipe de France, un des plus cotés en Europe, dans la fleur de l'âge du haut de ses 29 ans, a donc rejoint l'OM en septembre sauf que… il n'a jamais joué relayeur gauche. Roberto De Zerbi préfère le voir évoluer à droite dans l'entrejeu. Un problème plus important qu'il n'en a l'air ?

Adrien Rabiot a fait sa carrière et sa réputation sur sa capacité à évoluer au milieu de terrain, souvent dans des 4-3-3 dans un poste de relayeur gauche, ou dans certains cas comme étant le plus à gauche d'une paire de récupérateurs dans un 4-2-3-1. Il a même parfois dépanné comme milieu offensif ou latéral gauche chez les Bleus. Mais presque jamais dans sa carrière il n'a eu à changer ses habitudes en se trouvant déporté sur le côté droit, comme c'est le cas depuis son arrivée à Marseille, soit dans un milieu à deux avec Hojbjerg, soit dans un milieu à trois. Sur le papier, ça n'a pas beaucoup de sens, mais Roberto De Zerbi a ses convictions et il préfère un assemblage de "faux pieds" pour favoriser son jeu intérieur. C'était déjà le cas avec Geoffrey Kondogbia en août. Le long terme en dévoilera peut-être les bienfaits.

Après le match à Nantes, Adrien Rabiot revenait sur ce choix qui peut sembler étrange, mais qui, selon les dires du joueur, ne pose pas de problème majeur : "Je retrouve mes jambes petit à petit. Je suis content d'enchaîner. On parle beaucoup avec le coach sur mon positionnement au milieu avec Pierre-Emile et le troisième milieu. Le coach essaie de trouver le meilleur poste pour chacun. Je me sens bien en relayeur, un peu plus haut sur le terrain. À droite, c'est une volonté du coach. Il préfère un gaucher à droite et un droitier à gauche. C'est quelque chose sur quoi je peux m'adapter. Le coach est à l'écoute de ce qu'on ressent. C'est une position qui me convient. Il nous laisse aussi une certaine liberté sur le terrain". Un choix technique contestable et contesté. Roberto De Zerbi se montrera-t-il pragmatique en renonçant à son idée de départ et en utilisant Adrien Rabiot à son poste ? Ou bien restera-t-il fidèle à son projet, quitte à ce que l'adaptation soit longue ?

Balerdi, la faute aux dirigeants ?

Autre choix contestable : utiliser Leonardo Balerdi en tant que stoppeur droit, accompagné au choix de Lilian Brassier, Derek Cornélius ou Geoffrey Kondogbia. Le technicien italien semble encore hésitant quant à sa paire de centraux. C'est peut-être parce qu'il sait que son meilleur stoppeur gauche n'est autre que Balerdi lui-même. C'est à ce poste que l'Argentin s'est montré performant ces derniers mois, que ce soit aux côtés de Samuel Gigot ou Chancel Mbemba. Problème : ce dernier est mis au placard et ne peut être utilisé. Le seul stoppeur droit à disposition de De Zerbi est donc Bamo Meïté, mais le profil de l'ancien Lorientais ne semble pas convenir à l'ancien coach de Brighton. Par défaut, Balerdi est donc positionné à droite.

Mais pour le coup, la faute n'est-elle pas plutôt à mettre sur la direction phocéenne, qui a décidé de recruter deux défenseurs centraux gauches ? N'aurait-il pas mieux valu chercher un droitier et un gaucher ? En attendant, Leonardo Balerdi est en difficulté et se montre bien moins impérial que la saison dernière. La faute à une position qu'il ne maîtrise pas, et peut-être aussi à son rôle de capitaine, qui lui demande un dépassement de fonctions qu'il n'avait pas à assumer lorsque Pierre-Emile Højbjerg dirigeait l'équipe.

Avec Leonardo Balerdi en stoppeur gauche et Adrien Rabiot en milieu relayeur gauche, l'OM serait-il plus fort ? On a tendance à le penser, mais il faut également laisser à Roberto De Zerbi le temps de travailler paisiblement.

OM : l’OM va se rendre au Danemark pendant quelques jours !

Après le match nul face à Lille (1-1), Roberto De Zerbi, fidèle à son approche innovante, a décidé d’emmener ses joueurs au Danemark pour un court séjour de cohésion. Cette initiative, révélée par Diana Melhem de BFM Marseille, s’inscrit dans une volonté de cultiver la solidarité au sein du groupe olympien, en pleine montée en puissance avant le déplacement à Saint-Étienne dimanche prochain.

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Si l’idée a été approuvée par Roberto De Zerbi, c’est Leonardo Balerdi, capitaine de l’OM, qui serait à l’origine de cette destination. Le défenseur argentin, souvent critiqué pour son manque d’impact sur le terrain, démontre ici un leadership affirmé en dehors. Son initiative souligne l’importance qu’il accorde à la dynamique de groupe, essentielle pour maintenir tous les joueurs concernés pour le dernier match de l'année avant la trêve.

Le choix du Danemark pourrait également avoir été influencé par Pierre-Emile Højbjerg, international danois et figure centrale de l’équipe olympienne. Bien qu’aucun détail sur le programme du séjour n’ait été divulgué, on imagine que le milieu de terrain a pu glisser quelques recommandations sur les lieux à visiter ou les activités à privilégier. 

Une méthode qui a déjà porté ses fruits

Cette stratégie de renforcement de la cohésion n’est pas une première pour Roberto De Zerbi. Avant la réception de l’AS Monaco, le coach italien avait déjà surpris en organisant un stage express à Mallemort, à seulement une heure de Marseille. L’OM avait d’ailleurs signé une prestation convaincante lors du match suivant en empochant les trois points contre les monégasques.

En emmenant son équipe hors de ses bases, De Zerbi cherche à maintenir un équilibre subtil entre travail et décompression. Ces moments hors du cadre habituel du centre d’entraînement permettent de resserrer les liens et d’apaiser d’éventuelles tensions ou frustrations dans le vestiaire, tout en renforçant la concentration avant les prochaines échéances.

Objectif : prolonger la dynamique positive

Ce séjour danois intervient dans un contexte où l’OM semble retrouver des couleurs après un début de saison en dents de scie. En capitalisant sur la bonne dynamique instaurée lors des derniers matchs, De Zerbi et ses hommes espèrent arriver à Saint-Étienne dans les meilleures conditions.

Mercato OM : Payet réagit à la rumeur Pogba !

En mars prochain, Paul Pogba, sera de nouveau éligible pour fouler les terrains de football, après avoir purgé sa suspension pour dopage. Alors que cette échéance se rapproche, les spéculations sur son avenir s’intensifient dans les médias européens. Ce week-end, un intérêt de Manchester City et de Pep Guardiola a été évoqué. Selon certaines sources, le technicien espagnol verrait en Pogba une recrue capable d’apporter une expérience immédiate pour renforcer son milieu de terrain, notamment en l’absence de Rodri. Une perspective qui aurait intrigué, même si le profil de Pogba diffère de celui du milieu espagnol.

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Manchester City écarte la piste Pogba

Cependant, les derniers échos venus d’Angleterre, relayés par The Mirror et le Manchester Evening News, semblent refroidir cette hypothèse. Les Skyblues ne seraient finalement pas enclins à recruter l’ancien joueur de Manchester United. En cause : son passé chez les Red Devils, mais aussi les doutes sur son niveau après plusieurs mois sans compétition. Pogba manquerait également les rendez-vous décisifs de février, ce qui poserait problème à Guardiola, en quête d’immédiateté pour les échéances européennes et domestiques. Ainsi, la piste Manchester City semble désormais peu réaliste.

Marseille dans la course ?

Ce désistement pourrait bien raviver les espoirs de l’Olympique de Marseille, où une rumeur persistante place Pogba comme une cible potentielle. Dimitri Payet, interrogé ce week-end, n’a pas caché son enthousiasme : "Comme tous les supporters marseillais, bien sûr, ça fait rêver. Après, est-ce que c’est vrai ou pas, je ne peux pas vous en dire plus. Je l’ai côtoyé en sélection, il a côtoyé d’autres anciens Marseillais, il sait où est-ce qu’il met les pieds. Il a déjà joué ici, ça ne peut qu’être bénéfique pour lui, un club comme Marseille."

Talk Show : Doit-on avoir des regrets contre Lille ?

Retrouvez le replay du Talk Show de ce lundi 16 décembre 2024 présenté par Sébastien Volpe avec Romain Canuti, Matthias Manteghetti et Jean-François Peres.

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Partie 3 : Kondogbia, la renaissance ?

Partie 4 : Questions / Réponses

Lens 1-3 OM : notez les Olympiens !

Tout au long de cette saison, et à l'occasion de ce match, vous avez l'occasion de noter vous-même les joueurs olympiens selon leur prestation lors des rencontres de l'OM.

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Après Lens-OM, vous pouvez donner vos notes aux Olympiens. À la clôture des votes, nous indiquerons les moyennes obtenues par chaque joueur, ce qui permettra de désigner le "Phocéen du match".

Pour noter les performances des Olympiens cliquez ici.

Clôture des notes ce dimanche à 21h00. Vous devez noter les joueurs sur 10.

OM : Payet juge les premiers pas de De Zerbi !

L’Olympique de Marseille pourrait bientôt retrouver l’un de ses anciens joueurs emblématiques,bien décidé à revenir au club après la fin de sa carrière professionnelle. Lors de son passage sur La Chaîne L’Équipe, Dimitri Payet a exprimé son amour intact pour l’OM et son envie de participer à l’avenir du club : "Je regarde tous les matchs de l’OM. Quand (Roberto) De Zerbi a signé, j’étais le premier à féliciter le président."

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Aujourd’hui meneur de jeu à Vasco da Gama, il ne cache pas son admiration pour le projet de l’entraîneur italien. "C’est un coach qui peut faire quelque chose de grand à Marseille. Il a un football qui va forcément plaire aux supporters. Je pense qu’il faut prendre le temps de construire quelque chose de concret", a-t-il expliqué, convaincu que De Zerbi est l’homme de la situation. Malgré un début de saison irrégulier, marqué par des défaites contre Strasbourg (0-1), le PSG (0-3) et Auxerre (1-3), l’OM montre des signes encourageants. La victoire éclatante à Lens (3-1) a permis aux Marseillais de grimper à la troisième place de Ligue 1. Avec l’AS Monaco, deuxième du classement, en visite au Vélodrome ce dimanche, le club phocéen a l’occasion de confirmer son redressement.

L’ancien Marseillais, qui ne cache pas son ambition de retrouver l’OM, est persuadé que le projet de De Zerbi peut emmener le club vers de nouveaux sommets. En attendant de réintégrer l’organigramme, il reste un fervent supporter à distance, tout en se projetant déjà dans ce qui pourrait être une nouvelle étape de sa carrière, cette fois sur le banc ou dans les coulisses de son club de cœur.