OM : Talk Show à 18h, posez vos questions !

Le Talk Show de ce lundi est en direct à partir de 18h, présenté par Sébastien Volpe avec Romain Canuti, Bastien Cordoleani et Sylvain Souvestre.

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Voici le programme :

Partie 1  : OM 0-1 Lens : Peut-on en vouloir à De Zerbi ?

Partie 2 : Comment relancer la dynamique ?

Partie 3 : A-t-on une chance face au PSG ?

Partie 4 : Questions/Réponses

Pour poser vos questions, rien de plus simple : rendez-vous sur le forum via le lien ci-dessous. Il existe également la possibilité de poser vos questions en direct sur les chaînes Twitch et Youtube du Phocéen. Vous pouvez d'ailleurs (si ce n'est pas déjà fait) vous y abonner dès maintenant afin d'être notifié du direct sur votre ordinateur ou smartphone. Les dernières minutes de l'émission seront consacrées aux questions Twitch.

Vous pouvez également participer à l'émission et poser vos questions :

Rulli : "Je m'amuse énormément dans cette équipe"

Ton positionnement et l'importance de ton jeu au pied, c'est quelque chose que vous travaillez régulièrement depuis quelques semaines. Il y a eu des changements en défense devant toi, notamment à cause des blessures, la dernière en date étant celle d'Amir Murillo. Comment travaillez-vous cet aspect ? Quelle est la relation technique que tu entretiens avec ta défense, et comment fais-tu pour être efficace dans ton jeu au pied ? Toi, en tant que gardien de but, on attend habituellement de toi que tu sois bon sur ta ligne et dans ta surface. As-tu dû évoluer pour développer ces qualités-là ?

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Geronimo Rulli : "Sans aucun doute. Ce n’est peut-être pas la première fois, mais cela faisait longtemps qu’on ne m’avait pas demandé ou exigé de participer autant au jeu. Ensuite, en tant qu’équipe, nous avons énormément travaillé sur ce sujet, pas seulement sur la relance du ballon, mais aussi sur notre positionnement quand nous jouons plus haut ou lorsque nous devons redescendre. Il y a différentes situations de match que nous avons analysées en détail, avec beaucoup d’heures de travail et d’analyses vidéo. Aujourd’hui, nous savons presque tous exactement ce qu’il faut faire à chaque poste, et c’est un vrai point positif pour nous. Avec le staff, nous étudions des exemples concrets de situations de match à travers des vidéos, afin d’anticiper les scénarios possibles. Ensuite, bien sûr, chaque joueur doit appliquer ces principes correctement sur le terrain. Personnellement, j’adore ce style de jeu, je prends beaucoup de plaisir, je m’amuse énormément, et je pense que c’est la meilleure façon de gagner."

Cet été, on savait que vous étiez un très bon gardien, mais, sans vous faire offense, on ne s'attendait peut-être pas à vous voir atteindre un tel niveau cette saison. Est-ce que vous vous attendiez à réaliser une telle saison ou est-ce que, même à 32 ans, vous continuez à vous surprendre ?

Geronimo Rulli : "Chacun est libre de penser ce qu’il veut. Personnellement, je sais que j’ai énormément travaillé pour atteindre ce niveau et pour continuer à progresser. J’ai une grande motivation personnelle, en plus de celle du groupe, mais c’est vrai que mes ambitions individuelles me poussent à m’entraîner toujours plus, à essayer d’être meilleur chaque jour. Mais au final, ce qui compte, c’est ce qui se passe sur le terrain, lors des matchs. Moi, je suis très heureux ici. Je le dis toujours : quand on est heureux et à l’aise quelque part, tout devient plus simple. Cela facilite les choses et permet que tout se passe bien, et c’est exactement mon cas. Je viens d’un endroit où je n’étais peut-être pas aussi à l’aise. Aujourd’hui, je me sens vraiment bien, et je pense que cette différence se voit au quotidien."

J’ai plutôt envie de te poser une question sur ton rôle de gardien avec les mains. Dans tous les clubs où tu es passé, est-ce la première fois que tu as aussi peu de ballons à arrêter, moins de frappes adverses, moins d’interventions à faire, et où tu dois surtout rester concentré ? Est-ce une situation nouvelle pour toi, et comment la gères-tu ?

Geronimo Rulli : "Oui, c’est vrai. Lors de mes six premiers mois à l’Ajax, j’avais plus d’interventions à effectuer. Mais ici, quand elles arrivent, ce sont des situations très nettes. Ce sont souvent des face-à-face, des actions où c’est soit l’arrêt, soit le but, ou encore des tirs hors cadre. C’est un scénario que j’ai déjà vécu dans d’autres clubs. Il y a aussi beaucoup plus de monde devant moi, ce qui change la manière dont je dois intervenir. C’est une situation qui me plaît, j’y prends du plaisir. On sait que notre rôle reste très important dans l’équipe, même si on est moins sollicité. Le fait d’avoir peu d’arrêts à faire ne signifie pas que nous sommes inactifs. Au contraire, chaque intervention devient décisive. C’est une nouveauté pour moi, et c’est quelque chose que j’ai appris à gérer tout au long de cette saison. J’espère que cela continuera ainsi, car cela signifierait que nous dominons les rencontres, et non l’inverse."

Internationaux OM : Kondogbia va enchaîner pendant la trêve

Alors qu'il revient peu à peu dans le onze de départ après une blessure plus longue que prévu, Geoffrey Kondogbia ne va pas se reposer pendant la prochaine trêve internationale. Le capitaine du Centrafrique a été retenu, sans surprise, pour les 5e et 6e journées des qualifiactions pour la prochaine coupe du Monde.

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Eloge Enza-Yamissi a dévoilé sa liste de joueurs retenus pour affronter Madagascar puis le Mali. On y retrouve d'autres joueurs évoluant en France comme Goduine Koyalipou (Lens).

La liste centrafricaine

OM : Rémy Cabella revient sur son aventure à l’OM

Pour Rémy Cabella, signer à l’Olympique de Marseille a été bien plus qu’un simple transfert. Invité dans Zack en Roue Libre, l’ancien meneur de jeu de l’OM a raconté les coulisses de son arrivée à l’été 2015, un moment fort en émotions pour lui.

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Un transfert lié au choix de l’entraîneur

Alors sous contrat avec Newcastle, Cabella a été contacté directement par Vincent Labrune, alors président de l’OM. " Il m’appelle et me dit : "Écoute, il y a Bielsa qui s’en va, on est sur trois coachs, si on fait ce coach-là, lui te veut." C’était Michel. Michel signe, et je signe en même temps que lui." " Une arrivée qui s’est donc jouée en fonction du choix de l’entraîneur espagnol, qui voyait en lui un renfort important pour son projet.

Un rêve d’enfance devenu réalité

Mais au-delà des circonstances de son arrivée, c’est l’OM en lui-même qui fascinait Cabella depuis son plus jeune âge. Il se souvient de son premier passage au Vélodrome en tant que spectateur : " J’ai dit : "C’est quoi ça ? C’est quoi ces supporters ?" C’était incroyable ! " L’ambiance et la ferveur marseillaise ont laissé une empreinte indélébile dans son esprit.

Ce sentiment l’a accompagné tout au long de son passage à l’OM. " D’avoir le maillot de Marseille, de dire je suis à Marseille, c’était incroyable. De me dire que j’étais un joueur de l’OM, c’était beau. " Une déclaration qui rappelle à quel point le club olympien suscite une émotion particulière chez ceux qui ont la chance d’en porter les couleurs.

OM : les dessous du problème

OM : les dessous du problème

L’OM traverse une période délicate après sa défaite contre Lens (0-1), la deuxième en trois matchs, réduisant son avance en Ligue 1. Avant d’affronter le PSG, l’équipe de Roberto De Zerbi semble en difficulté. Ce dernier a notamment exprimé son mécontentement envers Mason Greenwood et Luis Henrique lors de la dernière séance d’entraînement, leur reprochant un manque d’implication. S’il n’a pas encore rompu avec eux, leur faible engagement l’agace. Malgré une possession impressionnante (76 % contre Lens et 79 % à Auxerre), les Marseillais peinent à concrétiser leurs occasions et s’exposent aux contres adverses. Leur domination stérile met en lumière un problème récurrent sous De Zerbi, privilégiant la maîtrise sans efficacité offensive. En défense, les choix restent incertains. Si Leonardo Balerdi s’impose dans l’axe, ses partenaires changent constamment. La blessure d’Amir Murillo a poussé Rongier à droite, tandis que Kondogbia, peu à l’aise à gauche, doit s’adapter, mais devance toujours Cornélius dans la hiérarchie. Le mercato hivernal n’a pas résolu ces lacunes, notamment avec un Luiz Felipe trop peu utilisé. En quête d’un équilibre défensif et d’efficacité offensive, l’OM doit vite réagir avant le Classique contre Paris.

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Les Olympiens gardent la foi

Malgré leur défaite frustrante contre Lens (0-1), les Olympiens refusent de sombrer dans la négativité. Si cette contre-performance complique leur situation, elle n’a pas entamé leur confiance, à une semaine d’un déplacement crucial à Paris. Contrairement à certaines défaites précédentes, l’état d’urgence n’a pas été décrété, et Roberto De Zerbi n’a pas cherché à tout remettre en question après cette défaite. Les joueurs, notamment Geoffrey Kondogbia, ont insisté après le match sur la maîtrise du jeu et la possession, même si l’efficacité offensive reste leur principal problème. Selon eux, l’équipe dicte le rythme mais manque de réalisme devant le but. Ce constat, partagé par l’entraîneur italien, souligne la difficulté à percer des blocs défensifs regroupés comme celui de Lens. Leonardo Balerdi, agacé par les critiques sur le jeu jugé prévisible de l’OM, estime qu’un but aurait suffi à changer la perception du match. Pourtant, Marseille reste sur deux défaites en trois rencontres et doit vite rebondir. À l’approche du Classique contre le PSG, l’équipe veut rester soudée et concentrée. De Zerbi appelle à tourner la page et à lutter jusqu’au bout pour atteindre les objectifs de la saison, alors que les neuf derniers matchs seront décisifs.

Foot : Lilian Brassier revient sur son passage raté à l’OM

Un retour aux sources pour Brassier

Après une expérience difficile à l’OM, Lilian Brassier a retrouvé son club formateur, le Stade Rennais, sous forme de prêt. Douze ans après son entrée au centre de formation, il revient dans des infrastructures modernisées et dans un environnement qui lui est familier. Dans son interview accordée à L’Équipe, le défenseur central ne cache pas sa satisfaction de retrouver Rennes, même s’il n’imaginait pas revenir aussi vite.

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Un passage à l’OM qu’il assume pleinement

Lorsqu’il a signé à Marseille l’été dernier, Brassier espérait franchir un cap. Mais en six mois, il a rapidement été relégué sur le banc, sans jamais parvenir à s’imposer. Il ne cherche pourtant pas d’excuses et assume son passage raté : " Ce passage à l’OM, forcément je le prends comme un échec. J’aurais aimé que ça se passe différemment, mais j’accepte ce qui s’est passé."

Si Roberto De Zerbi avait des attentes élevées à son sujet, les résultats immédiats attendus à Marseille ne lui ont pas laissé le temps de s’adapter. Après la défaite contre Auxerre (1-3) en novembre, il a compris que son avenir s’inscrivait ailleurs.

Un nouveau départ à Rennes

Depuis son arrivée à Rennes, Brassier a rapidement retrouvé du temps de jeu et des sensations positives. Il admet que cela l’a rassuré, tout en affirmant qu’il n’avait "pas de doute" sur ses qualités. Il met en avant le rôle clé du coach Habib Beye, qui lui accorde sa confiance et le voit déjà comme un leader dans le vestiaire.

Avec Rennes, il espère désormais retrouver l’Europe, un objectif réaliste après le redressement du club ces dernières semaines. Son expérience marseillaise, bien que difficile, lui a permis de progresser mentalement, et il entend bien se servir de cette expérience pour continuer à avancer.

Auxerre-OM : un forfait et un incertain importants dans les rangs auxerrois

À deux jours de la réception de l'OM (samedi, 21h05) pour le compte de la 23e journée de Ligue 1, Christophe Pélissier, l'entraîneur d'Auxerre, a fait le point sur l'état de son effectif lors de la conférence de presse de ce jeudi.

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Diomandé forfait, doute sur Traoré

Sinaly Diomandé, défenseur central d'Auxerre, ne sera pas de la partie. Toujours en délicatesse avec ses adducteurs, il est officiellement forfait pour le match face aux Marseillais. Son absence représente un coup dur pour la défense auxerroise, tant il s'est montré précieux cette saison.

Le cas de Hamed Junior Traoré reste incertain. Le milieu offensif ivoirien, meilleur buteur de l'AJA avec 9 réalisations, est sorti à la pause lors du match nul contre Brest (2-2), vendredi dernier, en raison d'une gêne à une cuisse. Bien qu'il se soit entraîné ce jeudi matin, une décision définitive sera prise ce vendredi, après consultation du staff médical. Traoré a toutefois des chances d'être opérationnel.

Des retours bienvenus pour Pélissier

L'entraîneur bourguignon a tout de même annoncé une bonne nouvelle avec le retour de Paul Joly. Le latéral droit est à nouveau disponible et devrait intégrer le groupe. De plus, le défenseur central Gabriel Osho et le piston gauche Fredrik Oppegard n'ont pas participé à l'entraînement de jeudi, mais leur présence est tout de même attendue pour le match contre l'OM.

Côté marseillais

Leonardo Balerdi est suspendu. C'est le principal absent attendu dans le groupe marseillais. On saura demain, jour de la conférence de presse de Roberto De Zerbi, si Luiz Felipe Ramos sera ou non de la partie.

OM : explication prévue entre Roberto De Zerbi, Greenwood et Luis Henrique

À l’Olympique de Marseille, la défaite contre Lens samedi soir (0-1) a révélé bien plus qu'un simple revers sportif. Roberto De Zerbi a clairement envoyé un message fort en laissant sur le banc au coup d'envoi Mason Greenwood et Luis Henrique, deux des éléments offensifs majeurs de son effectif. Derrière cette décision radicale du technicien italien, il y a surtout une volonté manifeste d’envoyer un avertissement à ses joueurs : personne n’est intouchable, encore moins ceux dont l’attitude à l’entraînement n’est pas à la hauteur des exigences du club. Même si, comme cela a été souligné sur le plateau du Talk Show, le fait de les réintégrer dès la mi-temps a atténué l’impact de son message.

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Depuis son arrivée à l’OM, Roberto De Zerbi s’est imposé par son exigence et sa rigueur. L'entraîneur italien ne transige jamais sur l’implication, considérant que seule une préparation exemplaire permet de garantir une performance optimale le jour du match. C’est précisément sur ce point que Mason Greenwood et Luis Henrique semblent avoir déçu ces dernières semaines, au grand désarroi du staff olympien, mais aussi des dirigeants, qui attendaient une implication irréprochable à un moment crucial de la saison.

Luis Henrique, auteur d’une première partie de saison remarquable, connaît actuellement un coup de mou évident, qui pourrait être lié à une fatigue physique accumulée. Toutefois, son cas dépasse le simple cadre d’un ralentissement athlétique. Contre Lens, son replacement défensif très approximatif, notamment lors de l'action menant au seul but lensois, n’a échappé à personne au sein du club. Ce manquement majeur à ses responsabilités collectives a profondément agacé Roberto De Zerbi, qui considère que ces efforts défensifs sont absolument non négociables, particulièrement dans les moments décisifs d'une rencontre à fort enjeu.

La séance vidéo prévue mardi pourrait donc s’avérer particulièrement difficile pour le jeune Brésilien, selon des informations de RMC Sport. Les images de ce manque d’implication défensive seront très probablement mises en avant par De Zerbi, déterminé à faire comprendre à Luis Henrique que l’engagement sur le terrain est la clé indispensable à tout succès collectif. Cette confrontation directe doit être un électrochoc pour l’ailier marseillais, afin qu’il retrouve l’intensité et la détermination qui faisaient de lui un élément incontournable dans le dispositif offensif de l’OM.

Quant à Mason Greenwood, son cas préoccupe particulièrement au sein du club olympien, et ce depuis plusieurs semaines déjà. Si l’attaquant anglais brille régulièrement par ses statistiques flatteuses, son attitude et son manque apparent d’implication à l’entraînement irritent profondément l’ensemble du staff technique. Greenwood, recruté pour son potentiel exceptionnel et ses qualités offensives hors normes, semble parfois trop sûr de son talent, au point de négliger les efforts quotidiens indispensables au très haut niveau.

Ce sentiment de nonchalance, visible à plusieurs reprises ces derniers temps, a conduit De Zerbi à prendre une décision forte samedi soir en le reléguant sur le banc face aux Lensois. L'objectif était clairement de provoquer une réaction immédiate chez l’ancien attaquant mancunien, dont l’engagement fluctuant contraste avec les principes du coach italien, basés sur l’intensité permanente et une implication irréprochable. Le décalage entre son potentiel et son investissement sur le terrain est aujourd'hui jugé beaucoup trop grand par le staff marseillais, qui espère encore voir Greenwood prendre conscience de l'urgence de changer radicalement son approche.

La pause de 48 heures accordée par De Zerbi après la défaite contre Lens visait justement à permettre à l’ensemble du groupe de se ressourcer mentalement avant d'entamer une semaine décisive, marquée par le déplacement crucial au Parc des Princes pour affronter le PSG dimanche prochain. Mais cette coupure sera aussi l’occasion pour Greenwood et Luis Henrique de réfléchir à leur engagement personnel et à leur état d’esprit.

Cette mise au point musclée intervient dans un contexte sportif particulièrement sensible pour l’OM. Malgré la défaite face à Lens, le club phocéen demeure toujours en position favorable au classement, avec une avance préservée sur ses concurrents directs comme l’OGC Nice, également battu ce week-end. Toutefois, une réaction immédiate est impérative pour éviter tout début de spirale négative, alors que l’OM a concédé deux défaites lors des trois derniers matchs. Et plus particulièrement à l’approche du Classique face au PSG, match toujours très attendu et médiatisé.

De Zerbi, qui n’a jamais hésité à prendre des décisions fortes pour préserver l’équilibre de son groupe, pourrait continuer à se passer d’eux si aucune amélioration notable n’est observée rapidement. La réaction des deux joueurs sera donc particulièrement scrutée dès ce mardi.

OM : revivez le gala "Treizième Homme" comme si vous y étiez

Mardi soir, l’Olympique de Marseille a organisé la cinquième édition du dîner de gala du programme "Treizième Homme", en partenariat avec le Fonds de dotation de Marseille. L’événement, qui s’est tenu à l’hôtel InterContinental de Marseille, a rassemblé de nombreuses personnalités du club et permis de récolter 379 000 euros pour financer des initiatives à vocation sociale, éducative et sportive.

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Parmi les invités de marque figuraient Shéhérazade Semsar-de Boisséson, CEO de McCourt Global, Jeff Ingram, président du conseil de surveillance de l’OM, ainsi que Pablo Longoria, président du club. Les joueurs de l’effectif marseillais étaient également tous présents, soulignant leur engagement dans ce projet solidaire.

Photo OM

Le programme "Treizième Homme" vise à structurer et soutenir plusieurs actions menées par l’OM, parmi lesquelles le centre de formation, l’équipe féminine, OM Légendes, la fondation "Droit au Cœur" et OM Education. Au cours de la soirée, deux projets majeurs ont été mis en avant : "Né.e sous une bonne étoile" et "Capitale du Foot", portés respectivement par Fabrizio Ravanelli et Jean-Pierre Papin.

L’événement a été animé par le commissaire-priseur Jean-Baptiste Renart et présenté par l’humoriste Mathieu Madenian, offrant une ambiance conviviale tout en mettant en lumière l’importance des actions entreprises. Grâce aux fonds récoltés, l’OM et son Fonds de dotation pourront poursuivre et développer leurs initiatives sociales et éducatives, renforçant ainsi leur ancrage local et leur engagement envers la jeunesse marseillaise.

Cette soirée démontre une nouvelle fois que l’OM ne se limite pas au terrain, mais joue aussi un rôle clé dans la vie sociale de la région. Un engagement qui, grâce à la générosité des participants, continuera de porter ses fruits dans les mois à venir.

"Si on joue haut, on en prend 3 ou 4"

Le Phocéen : Pierre, que peut-on attendre de cette rencontre ? L’OM a dominé Saint-Étienne récemment en championnat (2-0) et en Coupe de France (4-0), mais les Verts ont changé d’entraîneur et se sont renforcés. Peut-on s’attendre à un match plus compliqué pour Marseille ?

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Pierre Celeschi : "Non, je ne pense pas. Saint-Étienne en ce moment est dans une mauvaise passe, même s'il joue un peu plus au football, mais l'OM en ce moment est en très grande forme et avec le jeu de Saint-Étienne qui ose plus en attaque, j'ai peur que ce soit difficile, que l'OM puisse procéder en transition rapide qu'on en prenne 3 ou 4 je pense."

Le Phocéen : Y a-t-il des joueurs en forme à Saint-Étienne ?

PC : "Si on arrive à bien défendre avec Nadé qui est en super forme, le retour de Batubinsika, le retour de Maçon aussi, je pense qu'on peut un peu limiter les dégâts en bien défendant, mais pas en jouant comme on joue en ce moment, un peu haut. Et à l'OM, si on joue très haut, ça va être dur. On l'a vu contre Rennes où on a joué assez haut et on se procure des occasions, on a des situations, mais devant, c'est pas terrible. Peut-être avec le retour de Cardona ça ira mieux mais je pense que ça va être très très très difficile surtout que l'OM est en super forme en ce moment."

Le Phocéen : Penses-tu que Saint-Étienne pourrait adapter son approche et jouer plus défensivement, comme Angers ou Lyon récemment ?

PC : "C'est ce que j'espère, parce que si on joue comme on a joué les derniers matchs… Alors certes, on joue bien, je me régale, je vois des matchs de football, je vois des occasions, alors qu'en début de saison on ne faisait que défendre, défendre… Depuis qu'Horneland est là, on joue plus haut, mais on n’a pas, je pense, de joueurs assez techniques pour garder le ballon et pour marquer des buts devant. Donc oui, j'espère qu'on jouera plus défensivement et pourquoi pas accrocher un nul. Mais franchement, avec les forces en présence, je n'y crois pas trop."

Le Phocéen : Saint-Étienne a-t-il les moyens de bien défendre et de résister à l’OM ?

PC : "Oui, on a de très bons défenseurs. Mais il faut que la défense commence par les attaquants. Si on est trop haut, ça ne pourra pas le faire. Si on se retrouve en 3 contre 3 ou 4 contre 4, avec les joueurs talentueux qu’a l’OM, ça va être très difficile, je le répète. Donc oui, je privilégierais peut-être plus de joueurs défensifs, de milieux défensifs plutôt que de jouer avec beaucoup d'offensifs, vouloir faire du jeu et prendre des buts comme on en prend beaucoup cette année."

Le Phocéen : À l’OM, quel joueur redoutes-tu particulièrement ?

PC : "Je vois une équipe à Marseille, une équipe qui s'est vite mise en place malgré les nombreux changements cette année. Avec l'arrivée de Bennacer et de Greenwood, ils ont de la qualité individuelle mais c’est le collectif qu’il faut craindre. N'importe qui peut marquer et moi, je crains l’équipe, pas un joueur en particulier."